vendredi 19 septembre 2014

TEST APPLE

Test Apple iPhone 6 et 6 Plus : Plus grand, c'est finalement mieux (1e partie)

La puce A8 de l’iPhone 6 tourne à 1,2 GHz contre 1,39 GHz pour le 6 Plus et semble se traduire par des différences en termes de durée de vie de la batterie ou d’échauffement. (crédit : D.R.)
Les modifications de taille et de design apportées par Apple pour ses nouveaux smartphones apparaissent plutôt judicieuses. Les premiers essais font ressortir une autonomie et une consommation énergétique sensiblement améliorées, sans toutefois révéler un gain notable de puissance.
Lors de la sortie du premier iPhone d'Apple, l'écran tactile de 3,5 pouces semblait surdimensionné comparé à celui des autres mobiles. À l'époque, les concurrents, qui cherchaient une bonne idée pour rivaliser avec le smartphone d'Apple, ont commencé à proposer des mobiles avec des écrans encore plus grands. Les consommateurs ont été séduits, et depuis, la taille des écrans ne cesse de grandir. Aujourd'hui, l'iPhone 6 et l'iPhone 6 Plus d'Apple sont une réponse à la réussite des smartphones Android avec grand écran. L'écran de iPhone 6 mesure 4,7 pouces, et celui de l'iPhone 6 Plus atteint les 5,5 pouces. Avec ces deux modèles, Apple veut toucher un public pour lequel les iPhone 5s et 5c avec écrans de 4 pouces ne suffisaient tout simplement plus. Mais, à l'inverse, le constructeur pourrait également s'aliéner le public qui préfère les petits écrans.

Deux smartphones presque jumeaux


À part leurs écrans de tailles différentes et quelques variations internes mineures, l'iPhone 6 et l'iPhone 6 Plus sont comme deux jumeaux. A noter que c'est la première fois qu'Apple sort deux nouveaux iPhone simultanément, si l'on considère que l'iPhone 5c sorti l'an dernier n'était rien de plus qu'une base d'iPhone 5 avec une coque différente. Quand on prend un iPhone 6 pour la première fois, on peut clairement dire que l'on tient dans la main un terminal très différent des iPhone auxquels Apple nous a habitués ces quatre dernières années. Par exemple, on ne retrouve pas la sensation des iPhone 4 et 5, avec leurs côtés droits et leurs bords chanfreinés très manufacturés. Les iPhone 6 ont des bords arrondis, qui font davantage penser à un iPod Touch, un iPad, voire même au tout premier iPhone. Si l'iPhone 6 avait repris le même design que celui de l'iPhone 5, tout en étant plus grand, on le trouverait vraiment immense. L'iPhone 6 est légèrement plus lourd que l'iPhone 5. Mais ses bords arrondis - pas seulement ceux du métal, mais aussi ceux de la façade en verre - lui donnent une certaine finesse qui atténue sa taille. Après quelques jours, Jason Snell, notre confrère d'IDG (auxquel LMI est affilié) , qui a réalisé ce test, a remarqué que, sans s'en rendre compte, il avait changé la position de ses doigts pour tenir l'iPhone 6, et à l'usage, il a trouvé cette nouvelle position tout à fait naturelle.



Les IPhone 6 et 6 Plus sont un peu plus fins que le 5S.

Donc, il y a aussi un iPhone 6 Plus et, à l'essai, notre confrère a trouvé que sa taille n'était pas « monstrueusement surdimensionnée », même s'il reconnaît que le 6 Plus est très grand. Comme avec l'iPhone 6, la finesse de l'iPhone 6 Plus et ses bords arrondis atténuent un peu le sentiment de grandeur. De fait, il n'y a aucune chance de confondre l'iPhone 6 Plus avec l'iPhone 6 puisqu'il a trois-quarts de pouce (14 %) de plus en largeur. Selon notre confrère, avec des mains de taille moyenne, on peut tenir l'iPhone 6 Plus et atteindre, en se concentrant un peu, le bord opposé de l'écran en bas. Mais, mis à part ces quelques gestes simples, il semble que l'iPhone 6 Plus est plutôt fait pour être utilisé à deux mains. Ce n'est pas nécessairement un défaut. Souvent, comme le fait remarquer notre confrère, on utilise l'iPhone à deux mains, même si parfois il arrive que l'on feuillette négligemment des pages d'une seule main, ce qui ne sera pas possible avec un iPhone 6 Plus. Quoique, ceux qui ont de grandes mains n'auront probablement pas ce problème. Notre confrère a aussi découvert, à sa grande surprise, que l'on pouvait « sans aucun problème » entrer un iPhone 6 Plus dans une poche de jean Levi's ! « La taille des poches peut varier, mais j'ai pu faire entrer un iPhone 6 Plus dans la poche où je mets habituellement mon iPhone 5. Et ce n'était pas ridicule ! », explique-t-il.




Si l'iPhone 6 est sensiblement plus grand (à l'oeil et à la main) que le 5S 6, le 6 Plus est beaucoup, beaucoup plus grand.

Le Plus, pas tout à fait un iPad Mini

Cela dit, l'iPhone 6 Plus ne ressemble à aucun iPhone précédent. Ce n'est ni tout à fait un téléphone, ni tout à fait un iPad. C'est un dispositif intermédiaire qui va combler ou agacer les utilisateurs. En Asie, les terminaux de cette taille sont très populaires - et nombreux sont ceux qui ne possèdent aucun autre appareil informatique que la phablette, si bien qu'un écran de grande taille pourra vraiment améliorer leur productivité. Pour ceux qui n'ont jamais été tentés d'avoir un iPad en plus de leur smartphone, un iPhone plus grand pourrait devenir un choix logique. Quant à ceux pour qui « bigger is better », ils auront le choix de prendre le plus grand des deux. Et si ce critère n'est pas déterminant, le mieux est encore de se rendre dans un Apple Store ou chez un autre revendeur et d'essayer les deux modèles. Selon notre confrère, l'iPhone 6 Plus est vraiment une autre espèce de mobile, et il craint que beaucoup de gens ne se précipitent pour l'acheter sans réaliser vraiment l'ampleur de la chose.



La caméra de l'iPhone 6 s'étend légèrement de l'arrière. Notez la bague autour de l'objectif (crédit photo Jason Snell/IDG).

Mis à part les bords incurvés et la différence de taille, les nouveaux iPhone comportent également plusieurs modifications de design. Par exemple, les boutons de volume de l'iPhone 5 - ils sont ronds - ont été remplacés par des boutons en métal ovales et fins, légèrement en retrait, juste en dessous du bouton Silence. Le bouton de veille/allumage au sommet du téléphone est plus en arrière et plus à droite. Du coup il n'y a plus rien sur cette arête, une première pour un iPhone. Ceux qui possèdent un iPhone depuis longtemps vont sans doute avoir besoin d'un peu de temps pour s'y habituer, mais sur les grands téléphones, le bord supérieur est plus difficile à atteindre, d'où ce changement. Au dos de l'appareil, la modification la plus notable, c'est que la caméra sort un peu vers l'extérieur, l'objectif étant cerclé par un mince anneau de métal. Le changement est subtil et n'empêche pas de poser l'iPhone à plat sur le dos avec un effet de bascule très réduit. Mais il ne sera certainement pas parfaitement à plat à moins d'utiliser une coque adaptée.

A8 : un gain plus modeste par rapport à la puce A7

Le design extérieur de l'iPhone 6 marque un changement de ligne pour l'iPhone, mais les deux nouveaux mobiles d'Apple comportent également des mises à niveau matérielles internes. En particulier, l'iPhone 6 et l'iPhone 6 Plus intègrent la nouvelle puce A8 d'Apple, dernier processeur en date conçu par Apple et optimisé pour son propre matériel. L'an dernier, l'introduction du processeur A7 64 bits avait permis aux appareils iOS de faire un saut en matière de performance. En fait, le gain de vitesse de l'A7 était tellement énorme que le challenge était impossible à battre pour l'A8. Celui-ci est nettement plus rapide que la version précédente, mais le gain est plus modeste. Dans le tableau de performances de l'iPhone, qui montre une performance exponentielle, on note un certain affaissement.



Cependant, il est intéressant de noter que la puce A8 est produite selon un processus de fabrication plus fin et qu'elle est beaucoup plus efficace sur le plan énergétique que le modèle précédent. Comme pour l'iPad Air et l'iPad mini à écran Retina sorti l'an dernier, l'iPhone 6 et l'iPhone 6 Plus sont équipés du même processeur, mais leur vitesse d'horloge est différente. Il semble que cette différence soit liée à la durée de vie de la batterie ou à des contraintes en termes d'échauffement ou les deux. Selon GeekBench, la puce A8 de l'iPhone 6 tourne à 1,2 GHz, contre 1,39 GHz pour l'iPhone 6 Plus. Mais les deux mobiles ont semble-t-il tous les deux 1 Go de mémoire, comme les iPhone 5 sortis l'an dernier.

Apple affirme que la batterie de l'iPhone 6 a une autonomie légèrement supérieure à celle de l'iPhone 5S, et que l'iPhone 6 Plus fait encore un peu mieux. Notre confrère n'a pas eu le temps d'effectuer des tests de batterie complets pour vérifier cette information, même si l'on sait que la vie de la batterie peut varier du tout au tout en fonction de l'usage. Néanmoins, après avoir passé un long week-end avec les deux appareils, celui-ci semble corroborer les résultats d'Apple. Selon lui, l'iPhone 6 a vraiment une meilleure autonomie que l'iPhone 5S. Cependant, pour être tout à fait juste, il précise que son iPhone 5S date d'il y a un an et que sa batterie n'est peut-être plus aussi performante. Toujours selon notre confrère, de tous les iPhone, l'iPhone 6 Plus est probablement celui qui offre la meilleure autonomie. Mais cela ne veut pas dire que sa batterie dure suffisamment longtemps pour se passer d'une batterie externe supplémentaire en cas d'usage intensif. Apple affirme que l'iPhone 6 et 6 Plus intègre aussi une nouvelle version de son coprocesseur de mouvement, le M8. Cette puce sert à recueillir les données des capteurs de l'iPhone, même quand le processeur A8 est en veille. La puce tire parti du nouveau baromètre inclus dans l'iPhone 6. Ce capteur permet de mesurer les changements d'altitude quand on monte un escalier par exemple. Enfin, l'iPhone 6 et l'iPhone 6 Plus sont les premiers smartphones de la firme à être équipés du NFC (Near Field Communication) appelé à fonctionner avec le futur service Apple Pay. A suivre...

Test Apple iPhone 6 et 6 Plus : Plus grand, c'est finalement mieux (2e partie)

L'iPhone 6 dispose d'une taille d'écran de 4,7 pouces (à gauche) contre 5,5 pouces pour l'iPhone 6 Plus (à droite). Crédit : D.R.
Les derniers smartphones d'Apple disposent de fonctions plutôt pratiques de mise à l'échelle des caractères et de défilement d'écran. Ils restent cependant difficiles à saisir pour des personnes ayant des mains de petite taille.
Note aux lecteurs : Cet article est la seconde partie du test de l'IPhone 6 et de l'iPhone 6 Plus. La première partie est disponible ici.

À propos des écrans

Selon la dénomination d'Apple, les écrans des deux iPhone 6 sont « Retina HD ». Cette description est étrange et presque redondante. En réalité, l'écran 4,7 pouces de l'iPhone 6 a la même densité, soit 326 pixels par pouce, que l'écran de l'iPhone 5. Les pixels ne sont pas plus serrés, il y en a juste un peu plus : 110 pixels de plus en largeur et 198 pixels de plus en hauteur. Le cas de l'iPhone 6 Plus est différent. Son écran de 5,5 pouces (en diagonale) a une résolution de 401 pixels par pouce, une densité jamais vue sur un appareil iOS, ce qui signifie qu'il affiche en 1080p, soit l'équivalent d'un téléviseur haute définition.

Jusqu'ici, la mise à l'échelle de l'image sur les écrans ne pouvait tout simplement pas être accomplie, car elle s'accompagne d'artefacts étranges et de flous. Elle demande aussi beaucoup de puissance graphique. Si vous avez déjà essayé d'utiliser un écran Mac non Retina à une résolution non native, vous savez ce que cela veut dire. Mais dans le cas des écrans Retina, chaque pixel est tellement petit que le flou se produit à une échelle quasi invisible. L'écran de l'iPhone 6 Plus, comme celui du MacBook Pro Retina, semble très bien résoudre ce problème, même s'il faut, en arrière-plan, un hardware puissant et des logiciels qui travaillent dur pour s'assurer que le calcul suit. L'avantage de la mise à l'échelle sur des appareils haute résolution, c'est qu'Apple peut utiliser la fonction de différentes façons. Par exemple, les applications qui n'ont pas été mises à jour pour fonctionner sur les écrans plus larges des deux iPhone 6 se mettent tout simplement à l'échelle pour s'adapter à la nouvelle taille. Tout est juste un peu plus grand, et si l'on regarde attentivement, on peut voir la différence, mais les applications fonctionnent très bien.

Des caractères plus gros avec Display Zoom

Apple iPhone 6Apple a également ajouté une fonction appelée Display Zoom qui n'est rien d'autre qu'une version logicielle du « livre en gros caractères » destiné aux personnes ayant des problèmes de vue. Lorsqu'on active le Display Zoom, l'iPhone émule l'affichage d'un écran plus petit puis l'ajuste au plein écran. La fonctionnalité sera très appréciée des utilisateurs qui trouvent que le contenu est toujours trop petit. Sur des écrans plus grands, la mise à l'échelle permet soit d'avoir plus d'espace à l'écran, soit à tout rendre simplement plus grand. Chacun pourra choisir.

Les écrans des deux iPhone 6 offrent suffisamment d'espace pour permettre à Apple d'ajouter des boutons au clavier iOS standard sans avoir à activer le Display Zoom, mais seulement quand l'iPhone est en mode paysage. En mode portrait, le clavier est un peu plus grand, mais identique au clavier standard de l'iPhone. Sur l'iPhone 6 Plus, en mode paysage, le côté gauche du clavier comporte des touches supplémentaires pour couper, copier, coller, passer le texte en gras et annuler une action. Il permet aussi de faire apparaître les claviers internationaux ou Emoji et de déclencher la dictée vocale. Sur le côté droit du clavier, des touches permettent de déplacer le curseur vers l'avant ou vers l'arrière, d'ajouter un point d'exclamation ou un point d'interrogation, une virgule ou un point. Sur l'iPhone 6, qui est un peu plus étroit que l'iPhone 6 Plus, on trouve aussi des touches supplémentaires : une touche d'annulation et une touche « virgule » à gauche ; des touches pour déplacer le curseur et une touche « point » à droite. Enfin, étant donné que ces téléphones fonctionnent également sous iOS 8, ils affichent la nouvelle barre optionnelle QuickType en haut du clavier pour le remplissage automatique. Ils peuvent également être utilisés avec des claviers tiers.

Sur l'iPhone 6 Plus, Apple a mis à jour plusieurs applications maisons, dont Mail et Notes, qui donnent accès à d'autres fonctions quand on passe en mode paysage. Les deux applications basculent dans une vue à deux colonnes, avec une liste d'items sur la gauche et un aperçu du document ou la zone d'édition sur la droite. On a la même chose quand on fait pivoter les applications du mode portrait vers le mode paysage sur l'iPad. Même l'écran d'accueil de l'iPhone subit des modifications : pour la première fois, sur l'iPhone 6 Plus, il bascule quand on tourne l'appareil. Mais, même si toutes ces fonctions sont à mettre au crédit des grands écrans, le fait est qu'il est très difficile d'utiliser l'appareil d'une seule main pour atteindre le haut de l'écran.

iPhone 6

Un écran plus grand permet d'ajoindre des nouvelles fonctions aux claviers de l'iPhone 6 (au-dessous) et de l'iPhone 6 Plus (en-dessous).

Mieux gérer l'espace avec Reachability


Pour y remédier, Apple propose une fonction appelée Accessibilité ou Reachability qui permet de faire descendre le haut de l'écran à un endroit accessible par le pouce. La fonction s'active en pressant deux fois le bouton d'accueil sans appuyer (le capteur tactile indique si la pression est bonne). Toute la moitié supérieure de l'écran glisse alors vers le bas, et met cet espace à portée de doigt. De la part d'Apple, la fonction semble assez sommaire, mais elle permet d'améliorer la gestion de l'espace sur les téléphones plus facile quand on les utilise d'une seule main. Notre confrère d'IDG raconte qu'au bout de quelques jours il a utilisé la fonction sans réfléchir, et qu'en général elle remplit correctement son rôle. Cependant, il trouve aussi la méthode un peu incohérente, parce que l'écran d'accueil de l'iPhone ne descend pas complètement jusqu'en bas, c'est-à-dire que les icônes glissent vers le bas, mais le dock et la barre du haut restent à leur place. Aucune autre application n'interagit avec Accessibilité de cette façon.

Appareil photo : une meilleure mise au point

Généralement, pour chaque nouveau modèle d'iPhone, Apple améliore ses capteurs photos. En terme de résolution, ce n'est pas le cas cette fois, puisque ceux des deux iPhone 6 affichent 8 mégapixels, soit l'équivalent ce celle de l'iPhone 5s. Cependant, on trouve une série de nouvelles fonctionnalités destinées à améliorer la prise de vue en photo et en vidéo. La mise au point elle-même bénéficie de plusieurs améliorations puisqu'Apple affirme avoir ajouté des pixels « dédiés à la mise au point » qui rendent l'autofocus plus rapide. Les algorithmes de détection des visages ont également été améliorés. En mode vidéo, l'autofocus est aussi plus performant. « La vidéo n'a jamais été vraiment l'un des forts de l'iPhone. Mais dans les vidéos réalisées avec l'iPhone 6 et l'iPhone 6 Plus, j'ai constaté que la mise au point était fluide et sans à coup ».

iPhone 6

Avec l'iPhone 6, Apple espère regagner des parts de marché face aux smartphones Android qui rencontrent un succès grandissant auprès du public.


Une fonction super slow-motion permet désormais de filmer à 240 images par seconde, soit un huitième de la vitesse d'une vidéo normale. Combinée avec une meilleure stabilisation, la fonction permet d'obtenir des vidéos étonnamment fluides. « Les vidéos de figures de skateboard et de plongeons en piscine risquent d'être très spectaculaires », a déclaré notre confrère. La différence entre les caméras des deux iPhone est surtout visible dans les situations de faible luminosité. La caméra de l'iPhone 6 Plus est dotée d'une technologie de stabilisation optique de l'image, c'est-à-dire que le capteur bouge en même temps que l'opérateur pour minimiser le flou dans les situations de faible luminosité où les capteurs ont besoin de plus de temps pour absorber la lumière et obtenir une image visible. Dans les situations de basse luminosité, Apple utilise aussi des techniques logicielles, mais pour l'instant seule la caméra arrière est dotée d'une fonction physique de stabilisation d'image.

En conclusion

Ne vous y méprenez pas : la plus grande nouveauté de l'iPhone 6 et de l'iPhone 6 Plus, c'est leur taille. Même si les processeurs sont plus rapides et si les caméras offrent une meilleure mise au point, selon notre confrère, ce sont surtout de grands téléphones avec des écrans plus grands. C'est sûrement mieux pour afficher des photos et des vidéos, et c'est appréciable aussi pour avoir plus d'informations à l'écran. Mais il y a tout de même un inconvénient : plus les mains de l'utilisateur sont petites, plus ces téléphones sont difficiles à tenir.

Au terme de ce test, on peut penser que pour la plupart des utilisateurs d'iPhone 5, l'iPhone 6 peut s'avérer un choix motivé, et s'ils ne regretteront pas leurs anciens iPhone après quelques jours d'adaptation. De même, l'iPhone 6 Plus trouvera sans aucun doute son public, par exemple des gens qui utilisent leur iPhone en permanence et ont besoin d'une batterie qui dure plus longtemps, ou des personnes qui ont de grandes mains, ou celles qui ne veulent qu'un seul terminal pour tout faire. Samsung et d'autres concurrents ont montré qu'il y avait un public pour des téléphones de très grande taille. C'est ce même public qui pourrait être intéressé par le nouvel iPhone.

 

Apple lance une «prime à la casse» sur ses iPhone


Le géant américain a lancé vendredi un programme de reprise inédit aux Etats-Unis. Un moyen de reprendre la main sur le marché de la revente des iPhone, mais aussi de bien préparer le lancement de son nouvel iPhone 5S.
Apple veut doper ses ventes de nouveaux iPhone. Pour inciter ses fans à la dépense, la firme à la pomme a lancé vendredi un nouveau programme de reprise aux États-Unis. Le principe est simple: les propriétaires d'anciens modèles d'iPhone peuvent les rapporter dans un Apple Store et bénéficier en échange d'un crédit d'achat pour s'offrir une version plus récente du smartphone à prix réduit. Une sorte de «prime à la casse» déployée alors qu'Apple s'apprête à dévoiler son nouvel iPhone 5S, ainsi que l'a version low-cost iPhone 5C, probablement autour du 10 septembre.
Selon le Wall Street Journal , les détenteurs d'anciens iPhone en bon état pourraient recevoir jusqu'à 280 dollars (212 euros) de crédit d'achat. Une information non confirmée par le géant de Cupertino, en Californie. Pour participer au programme, disponible uniquement outre-Atlantique, il faut «d'abord amener son téléphone dans un magasin pour recevoir une estimation. L'écran ne doit pas être fissuré, les boutons doivent tous fonctionner» et le téléphone ne doit pas avoir été exposé à l'eau, a expliqué au quotidien américain un vendeur de l'Apple Store de Grand Central à New York. En outre, l'offre d'échange n'est valable que pour les téléphones sous contrat avec un opérateur téléphonique ou en souscrivant un nouveau contrat.


Marché florissant de la revente


Si Apple prépare le terrain pour le lancement de son nouvel iPhone avec cette offre commerciale, le groupe entend par la même occasion remettre la main sur le marché de la revente d'iPhone, devenu un commerce florissant sur Internet. Israel Ganot, directeur général de Gazelle, un site spécialisé dans la revente de téléphones portables et d'ordinateurs, estime que le marché des «smartphones» et tablettes d'occasion aux États-Unis représentera 14 milliards de dollars (10,6 milliards d'euros) par an d'ici à 2015. Outre-atlantique, les iPhone d'occasion se revendent entre 100 et 400 dollars (75,60 à 300 euros) sur un site internet comme eBay, selon leur état et la version du modèle. Des chaînes comme Best Buy proposent aussi des échanges de vieux appareils. «Il y a donc à l'évidence une énorme opportunité pour de multiples acteurs», ajoute le spécialiste.

L'enjeu est de taille pour Apple, dont l'iPhone reste le produit phare. D'autant plus que sa part sur le marché mondial des smartphones s'érode face à la concurrence de modèles moins coûteux opérant avec Android, le logiciel d'exploitation de Google, et fabriqués par plusieurs groupes, en tête desquels le sud-coréen Samsung. Une étude de Gartner indique que la part d'Apple dans le marché mondial de smartphones est tombée à 14,2% au deuxième trimestre alors que celle de Samsung a progressé à 31,7%. De son côté, Trip Chowdhry, analyste de Global Equities Research, juge que cette «mesure promotionnelle» montre qu'Apple a «perdu sa capacité d'innovation depuis la mort de Steve Jobs». Selon lui, «l'Apple de Tim Cook commence à ressembler à Microsoft», le géant des logiciels en perte de vitesse et dont le directeur général, Steve Ballmer, vient d'annoncer son prochain départ.


UN ENJEU CRUCIAL POUR APPLE
Pour la firme de Cupertino l'enjeu est significatif : pendant son année de silence, les autres constructeurs, dont Samsung, son plus grand concurrent, s'en sont donné à cœur joie. Ils ont multiplié les lancements de produits haut de gamme mais aussi plus abordables.
Car le marché des smartphones haut de gamme est aujourd'hui quasiment arrivé à maturité en Amérique du Nord et en Europe. Il ne s'agit plus d'équiper les consommateurs pour la première fois mais de les convaincre d'en changer.
Désormais, la croissance se fera sur les pays émergents comme la Chine ou l'Inde. Pour y percer, Apple se devait d'annoncer un produit aussi attractif que ses iPhone, à un prix moins élevé. Le tout sans pour autant dévoyer l'image de luxe qui entoure la marque ni la rendre moins désirable.
Le nouvel IPhone 5C est disponible en cinq couleurs.
C'est pour cela que le prix annoncé de l'iPhone 5C surprend. Selon les estimations de IHS iSuppli, un prix supérieur à 400 dollars (300 euros) pourrait empêcher Apple de toucher les centaines de millions de nouveaux clients qu'il visait. Avec un prix nettement supérieur, difficile de dire si le smartphone trouvera preneur dans les pays émergents.
Pour l'heure, pas d'accord en vue entre China Mobile et Apple, mais on sait que les deux nouveaux modèles présentés sont compatibles avec la norme TD-LTE, qu'utilise China Mobile, ce qui peut laisser envisager un accord à venir.
A l'issue de la journée de mardi, l'action Apple a terminé en baisse de 2,28 %, à 494,64 dollars.


APPLE IPHONE BFMTV

La section biométrique du Chaos Computer Club a annoncé avoir hacké le capteur Touch ID qui équipe le nouvel iPhone 5S, contournant ainsi cette solution de sécurisation du nouveau smartphone d'Apple. Une petite vidéo de démonstration a même été mise en ligne.

Loin des bugs et petits exploits qui permettent d’accéder aux photos d’un utilisateur et même d’éventuellement passer un appel alors que l’iPhone sous iOS 7 est verrouillé, voici venir un vrai tour de force.
Le célèbre Chaos Computer Club (CCC) a annoncé ce week-end avoir hacké le capteur biométrique Touch ID de l’iPhone 5s.
Hacking à l'ancienne
Selon le groupe de hackers, la différence entre le capteur d’Apple et ceux qui l’ont précédé réside essentiellement, voire uniquement, dans sa résolution (2400 ppp). Pour tromper le capteur Touch ID, les hackers allemands n’ont utilisé que des "matériaux qui peuvent être trouvés dans presque tous les foyers".
Notons toutefois que tout commence par une photographie de l’empreinte de l’utilisateur en 2400 ppp. L’image est ensuite nettoyée, inversée et imprimée en 1200 ppp sur une feuille transparente grâce à une imprimante laser. Les membres du Chaos Computer Club obtiennent ainsi un moule dans lequel il coule de la colle à bois ou du latex rose. Une fois le matériau sec, il le décolle, l’humidifie légèrement et l’utilise pour déverrouiller, avec succès l’iPhone.
Une technique qui n’a rien de nouveau mais qui a fait ses preuves.
Dangers de la biométrie
Frank Rieger, porte-parole du CCC, indique en guise de conclusion : "nous espérons que cela mettra un terme à l’illusion que les gens ont au sujet de la biométrie par empreinte digitale. C’est complètement stupide d’utiliser comme moyen de sécurité quelque chose qu’on ne peut pas changer et que vous laissez toute la journée partout derrière vous".
"Le public ne doit plus être trompé par l’industrie biométrique et ses fausses déclarations. La biométrie est fondamentalement une technologie conçue pour l’oppression et le contrôle, pas pour sécuriser nos périphériques quotidiens."
Pour le groupe de hackers, cette technologie réduit la sécurité des périphériques qui l’utilisent. Non seulement parce qu’elle est facilement contournable par un tiers, mais parce qu’il est plus facile de forcer l’utilisateur à débloquer son téléphone contre sa volonté. Ce qui est assez logique. En revanche, il n’est pas forcément facile d’obtenir une bonne empreinte digitale, suffisamment bonne en tout cas pour réussir à en faire une photo. Et il faudra bien sûr, toujours avoir accès à votre iPhone 5S pour pouvoir l’utiliser.
Course au hack
Depuis l’annonce de Touch ID par Apple, le Web foisonne de sites et de personnes qui remettent en cause cette technologie. Certains s’inquiétant du fait qu’on confie une donnée très personnelle à Apple, même si la firme de Cupertino indique que l’empreinte est stockée dans une enclave sécurisée et chiffrée du processeur Apple A7 et n’est pas envoyée vers un quelconque serveur.
Un site de financement collaboratif a même été lancé pour récompenser le premier hack du capteur de l’iPhone 5s

Apple a vendu 9 millions d'iPhone 5S et 5C en un week-end

Bingo! Peu y croyaient et pourtant Apple l’a fait. Malgré des tarifs pas vraiment low-cost et une concurrence de plus en plus audacieuse, Apple a réussi son coup. En un week-end, la firme américaine annonce avoir distribué 9 millions d’iPhone dans le monde. Pour Tim Cook, PDG d’Apple, "c’est le meilleur lancement" jamais réalisé.
En effet, si aucun partenaire d’Apple ne peut divulguer de chiffres, la plupart nous ont confirmé l’explosion des ventes et l’épuisement rapide de leur stock. Cette situation a été confirmée par Apple qui indique que les magasins "continuent de recevoir régulièrement de nouvelles livraisons de l'iPhone. Nous […] travaillons dur pour en produire suffisamment pour tout le monde".
Le spectre de la pénurie
Déjà, des sites se créent pour suivre en temps réel l’état des stocks de 5S. En France,stock5s.com indique qu’il faudra attendre le mois d’octobre pour en obtenir un quel que soit le réseau de distribution: celui d’Apple ou des opérateurs (Orange, SFR ou Bouygues). Apparemment, seul Bouygues dispose encore de quelques modèles en noir. Les modèles blancs et dorés se sont arrachés.
Les services logistiques de la marque vont devoir faire des miracles, car les appareils sont distribués simultanément sur presque tous les continents: Amérique, Europe, Asie-Pacifique.
En revanche, aucune information n’a été donnée sur la répartition des ventes entre iPhone 5S et 5C. Quelques vendeurs nous ont tout de même confié que les 5C seraient plus difficiles à écouler que les 5S qui font un véritable tabac, même dans la version 64 Go à 899 euros. Le prix du 5C sera-t-il revu à la baisse pour les fêtes? Beaucoup l’espèrent déjà.
Ce n’est pas tout: iOS7 a été l’autre record d’Apple du week-end. Selon l’entreprise, plus 200 millions d'appareils iOS fonctionnent désormais sous ce tout nouveau système d'exploitation.

APPLE ANNONCE DEUX NOUVEAUX IPHONE

Apple a annoncé le lancement de deux nouveaux modèles d'iPhone, mardi 10 septembre
"Cette année nous remplaçons l'iPhone 5 avec deux designs", explique Tim Cook, PDG d'Apple, avant de présenter le fameux iPhone 5C. Fait d'une seule pièce de plastique, il sera disponible en cinq couleurs : vert, blanc, bleu, rose et jaune. Il sera doté d'un écran haute définition Retina 4 pouces ainsi que d'un processeur A6, le même que celui de l'iPhone 5. L'appareil photo offrira une résolution de 8 mégapixels.
Ce nouveau téléphone, sans subvention, sera vendu à un prix bien plus élevé qu'annoncé initialement : à partir de 599 euros. Il sera disponible le 20 septembre aux Etats-Unis ainsi qu'en France.
UN IPHONE 5S PLUS RAPIDE
La firme à la pomme a également, comme attendu, présenté l'iPhone 5S, la nouvelle mouture du smartphone traditionnel d'Apple. Comme l'indiquait la rumeur, le nouveau téléphone est disponible en trois couleurs (noir, argenté et doré) et est doté d'un microprocesseur nommé A7, présenté comme deux fois plus rapide que son prédecesseur équipant l'iPhone 5.
Apple a par ailleurs doté son nouvel iPhone d'une puce M7 permettant de capter les mouvements de l'utilisateur, qu'il soit debout, en train de marcher ou même de conduire, l'idée étant d'optimiser le terminal pour toutes les applications de forme et santé. L'espérance de vie de la batterie a également été améliorée pour tenir dix heures en pleine utilisation. L'appareil photo a été amélioré et doté d'un nouveau type de flash.
L'annonce de ces téléphones coïncide avec la sortie pour le grand public de iOS7, le nouveau logiciel équipant les appareils Apple, qui sera disponible gratuitement pour tous les propriétaires d'iPhone le 18 septembre prochain. Selon Tim Cook, installer ce nouveau logiciel, c'est "comme avoir un tout nouveau téléphone".

UN TÉLÉPHONE QUI RECONNAÎT LES EMPREINTES DIGITALES
Très attendue, la reconnaissance digitale pour verrouiller ou déverrouiller l'iPhone a par ailleurs été officialisée et porte le nom de Touch ID. Il suffira au propriétaire de l'iPhone d'apposer son doigt sur le bouton principal pour accéder à son téléphone. Il pourra en outre remplacer son mot de passe iTunes, le magasin en ligne d'Apple, par son empreinte digitale.
L'iPhone 5S sera vendu, sans subvention, à partir de 699 euros. Il sera disponible le 20 septembre dans quelques pays européens, dont la France et la Grande-Bretagne, ainsi qu'aux Etats-Unis et au Japon. La surprise vient de la Chine, puisque c'est la première fois qu'un téléphone d'Apple y est disponible en même temps qu'aux Etats-Unis.

dimanche 27 avril 2014

PROJETS FUTURISTES

Hyperloop : un projet futuriste de liaison terrestre
transsonique


Le milliardaire Elon Musk a présenté son projet Hyperloop, un réseau de transport rapide où des capsules en lévitation circulent dans un réseau de tubes sous vide alimentés par des panneaux solaires. Un concept visionnaire qui serait – selon son promoteur – plus rapide que l'avion, moins cher que le TGV, tout en étant plus sûr et plus écologique… Détails.

Relier Los Angeles à San Francisco, soit 550 km, en 35 minutes, sans quitter le plancher des vaches, impossible ? Pas pour l'hyperactif touche-à-tout Elon Musk qui, après avoir fait fortune dans l'Internet (PayPal), après avoir lancé une marque de voitures de sport électriques (Tesla) et initié la privatisation de la conquête spatiale (SpaceX) s'intéresse désormais au transport terrestre à très grande vitesse. En toute modestie, le milliardaire d'origine sud-africaine, qualifie son projet "Hyperloop" de "cinquième moyen de transport" en plus de la voiture, du train, de l'avion et du bateau. Le vecteur serait en fait un hybride de train à sustentation magnétique, de capsule spatiale et… de pneumatique.

A mi-chemin entre le Concorde, le canon électromagnétique et la table de air hockey…
Hyperloop tubes
Hyperloop ©
Techniquement, Hyperloop est un réseau de tubes à basse pression montés sur pylônes dans lesquels circulent à haute vitesse de petites capsules pressurisées. Selon les concepteurs, le système pourrait atteindre les 1.200 km/h, soit juste en dessous de la vitesse du son. Grâce à la diminution des frottements liés à l'absence d'air, la puissance nécessaire pour propulser une capsule resterait faible : un moteur électrique embarqué, dérivé de celui du coupé Tesla, servirait à créer un champ électromagnétique autour d'elle. Le système serait conçu pour être extrêmement léger, à l'opposé des lourds convois de trains. Les sensations ressenties seraient proches de celles d'un vol en avion.

Mais les avantages ne s'arrêteraient pas là. Le prix des infrastructures et des capsules serait extrêmement compétitif par rapport à ceux des lignes ferroviaires à grande vitesse classiques. Le réseau Hyperloop californien proposé entre San Francisco et Los Angeles est estimé à 6 milliards de dollars, alors que l'équivalent en voie ferrée est dix fois plus cher (et que le temps de liaison estimé pour un TGV LA-SF est de 2h40). De quoi proposer des billets à coût réduit, de l'ordre de $20 pour un trajet. Les capsules, contenant six à douze passagers, seraient insérées dans les tubes à la demande, comme des voitures sur une autoroute, sans horaires imposés comme l'avion ou le train. "Ce que l'on veut, c'est un système où il n'y ait jamais d'accident, qui soit au moins deux fois plus rapide qu'un avion, qui soit alimenté par l'énergie solaire, et qui part dès que vous arrivez, sans attente", explique Elon Musk. Des départs pourraient avoir lieu toutes les 30 secondes, pour espacer les capsules entre elles.

Ni crash, ni déraillement ?
Demeurent quelques questions : le promoteur annonce que l'Hyperloop ne sera pas exposé aux intempéries (ni tempêtes, ni neige) et aux accidents, "car il ne peut pas s'écraser ou dérailler". Mais quid des effets de tremblements de terre sur le réseau de tubes ou d'une éventuelle défaillance d'une capsule au milieu du trafic lancé à 1.100 km/h ? Comment intervenir en cas de panne ? Soulignons que l'alimentation en électricité se fera à partir de panneaux solaires installés sur les tubes du réseau, rendant le système autosuffisant, voire excédentaire… Le milliardaire souhaiterait désormais construire un premier prototype de démonstration, avant, dans 10 ans, de mettre en service le premier tronçon. Economiquement, la solution serait optimale pour toute liaison inférieure à 1.500 km. Transposé en France, ce transport terrestre du futur permettrait de mettre Nice à moins d'une heure de Paris...



Sky Cycle : l'incroyable  projet  de  réseau  cycliste  futuriste  de  Londres


Désencombrer la circulation, protéger les cyclistes, et embellir la ville du même coup. Une utopie qui semble possible à Londres grâce à un architecte ingénieux. Mais ça ne sera pas gratuit...

Le projet Sky Cycle est en effet évalué à... plusieurs dizaines de millions de livres.
Il y a quelques semaines à peine, le maire de Londres, Boris Johnson, se retrouvait ridiculement suspendu dans les airs, à cause d'un tragique dysfonctionnement de tyrolienne durant les Jeux Olympiques.














Mais Boris Johnson ne désespère pas de voler, raconte le Daily Mail. Cette fois, il a choisi un autre moyen de transport : la bicyclette. A l'origine de l'idée se trouve un architecte répondant au nom de Sam Martin. Ce designer a imaginé un véritable réseau de transport aérien réservé aux deux roues, qui relierait les principales gares de Londres.
Et voici ce à quoi le réseau pourrait ressembler : ces images spectaculaires sont des vues d'artiste du futur réseau, qui porte pour l'instant le nom de Sky 

Les dessins représentent un tunnel futuriste aux parois de verre, qui évoque le High Line de New-York. Il pourrait se matérialiser dès 2015.

Sam Martin est un architecte paysagiste de 43 ans dans le cerveau duquel a germé cette idée il y a deux ans, avec l'aide d'un de ses collègues. Il a expliqué être en phase de discussion avec le maire et Network Rail, la société propriétaire du réseau ferroviaire britannique : des négociations qui "avancent bien", selon lui. Une première rencontre a eu lieu en mai et des études de faisabilité sont en cours sur certains sites.
Il a cependant précisé que le projet n'en était qu'à un stade primaire. Cependant, sa proposition se concentre déjà sur les usagers qui paieraient avec une "Oyster card" : la carte à puce sans contact qui sert de titre de transport aux londoniens depuis 2003. Le projet s'adresse en particuliers aux "commuters" : ces usagers des transports qui habitent la banlieue autour de Londres et qui font la navette aller-retour entre leur travail en centre-ville et leur domicile.
Mais comment nait une telle idée ? C'est une expérience personnelle qui a convaincu Sam Martin de protéger les londoniens contre la circulation automobile devenue insoutenable. Il a confié avec lui-même abandonné le vélo à cause des dangers de la route. Pour lui, la seule solution pour redonner gout au vélo et étendre le réseau cycliste est de bâtir dans les airs.
Le directeur d'Exterior Architecture remarque : "TFL (l'organisme public local responsable des transports en commun de la ville de Londres, ndlr) estime le nombre de trajets effectués en vélo va tripler pour atteindre environ 1,5 millions vers 2020. Mais ou tous ces usagers vont-ils se déplacer ? Sky Cycle est la prochaine étape logique, parce qu'on ne peut pas réalistement construire plus de pistes cyclables au niveau du sol. Il faudrait commencer à détruire des immeubles pour faire de la place, et il restera toujours le problème du trafic. Ce sera ne moins en moins sur, et vous ne pourrez pas convaincre les gens de prendre le vélo en l'état actuel, même en augmentant les taxes pour les voitures."
 L'architecte est optimiste : "Boris aime l'idée et Network Rail est vraiment enthousiaste. Je crois sincèrement que cela pourrait devenir une part significative de l'infrastructure de Londres, et transformerait la capitale."
Mais il réfute le rapprochement avec le High Line de New York : "le concept est vraiment complètement différent. A New York, c'est principalement piéton, et cela s'adresse prioritairement aux touristes".
Le High Line de New York
 "Ici, on parle de nouvelles infrastructures pour les commuters, qui garantissent la sécurité et seront plus rapides que les transports publics. C'est bien plus ambitieux et cher", reconnait-il. Le projet Sky Cycle est en effet évalué à... plusieurs dizaines de millions de livres. 
Les dessins représentant un design rouge et bleu, incorporant une structure en hélice enveloppant partiellement la plateforme au dessus de Londres. Martin pense qu'il sera nécessaire de démarcher un sponsor privé, comme dans le cas du programme Cycle Hire sponsorisé par Barclays. Ces vélos en libre service sont l'équivalent londonien du Velib'. 
A quand la même chose à Paris ?

mercredi 26 février 2014

BETISIER 2014




respecter la POLICE informatique

J'arrive pas à trouver la solution du probléme !!

Des "chevals" de troie

Vous pouvez faire une demande "Viakal" (via E-Cal)

Combien y a t-il d'interlocuteurs Unique ?

Regardes le périphérique, que qu'est ce que j'ai.

Ca marche ou ça marche pas ?

La chose qui plante !!

C'est quoi comme marque de modèle ?

Il faut que le profil soit transpiré sur le serveur (transféré)

J'ai bu 1.5l de Perrier, il faut que j'aille faire pipi

Il faut monter dans le haut !!

Ne vous inquietez pas, j'ai le temps !

Elles sont pas nul part (en parlant des archives notes)

J'ai entendu un grand silence

J'ai un probléme avec mon "truc" de lotus.

Ce matin j'ai essayé j'ai pas arrivé

J'ai fait un incendie je l'ai transféré (incident)

Ecoutez je vais pas pouvoir rien faire de plus ...

Madame, il vous connait ce PC ?

Je propose une cloturation de la ligne

C'est du matériel SOVIÉTIQUE !!

Est ce que tu peux desagrandir la fenêtre Internet Explorer ?

Si ça revenait à se reproduire ...

Pouvez vous me ramener la fraise ? (fenêtre IE)

Je vous entend pas du tout bien

La solution de mes problèmes n'a pas été résolu ...

ALT+GR = ALT Gras 

Je vais prendre votre "NENI" (NNI)

C'est quoi la clef du numéro de sécurité social ? réponse : AA

Il va vous demander le code de sécurité pour le code PIN ...

Ça dépend si vous partez tout de suite ou maintenant ?

Chiffre Spéciaux : * ù $ ^ = )  ?

Tapez un lettre une chiffre ...

La solution de mon problème n'a pas été résolu ...

Tourne en boucle

Il y en a une c'est pas la bonne et l'autre elle est mauvaise, je gardes laquelle ?

S comme Daniel

Tant qu'on y arrive pas ont ne peu rien faire !!

Y a Caen dans les Ardennes ?

D comme Daniel ? oui ... B comme bravo .

J'ai l'impression de reculer en arrière ...

On dirait qu'il y a une page dans une page

Je me suis  enlevé de la base sinon je ne peux pas

Il y a pas d’accès à rien

J'ai plus de pile dans ma télécommande (en parlant de la souris)

KSA22L09 (diamètre 9) ex soudeur ...



















  



dimanche 9 février 2014

AUTO - MOTO 2014


La première course de ce nouveau championnat électrique a été marquée par l'accrochage entre Nicolas Prost, le fils d'Alain, et l'Allemand.

Prost fautif. La première course du tout nouveau championnat de Formule électrique, à Pékin, restera dans les mémoires. Pas tant pour son déroulement, mais plus par un accident impressionnant, samedi matin. A seulement quelques centaines de mètres de l'arrivée, une spectaculaire collision a eu lieu entre l'Allemand Nick Heidfeld, qui évoluait encore en Formule 1 en 2011, et Nicolas Prost, fils d'Alain. Alors que le Français était en tête depuis le départ, il s'est déporté juste avant le dernier virage et a percuté l'arrière de la voiture de Nick Heidfeld. Résultat : le bolide 100% électrique de l'Allemand s'est envolé dans les airs avant de s'écraser sur la rambarde de sécurité. Pour finalement s'immobiliser à l'envers.


Plus de peur que de mal. Heureusement, Nick Heidfleld s'en est sorti sans blessures. Lui et Prost ont regagné les stands à pied, en échangeant quelques explications tendues. Après la course, le fils du quadruple champion du monde de F1 Alain Prost, a estimé s'être fait "voler la victoire". "C'est un ami, je lui ai dit que j'étais content qu'il n'ait rien mais que je trouvais cela absolument ridicule", a ajouté le pilote de 33 ans. Au final, c'est le Brésilien Lucas di Grassi, lui aussi un ancien de la F1, qui a remporté cette première course du championnat du monde de Formule électrique.




Tesla lancera une voiture électrique sans conducteur d’ici 2016

Elon Musk, le CEO de Tesla, a annoncé dans une interview au Financial Times qu’il lancerait une voiture électrique sans conducteur d’ici 3 ans.



Un pilote automatique sur les voitures Tesla

Pour préciser la notion d’automatisme du véhicule, Elon Musk compare son projet de voiture à celui du pilote automatique dans un avion, que le conducteur automobile pourrait allumer et éteindre, qui le conducteur pourrait enclencher ou désactiver à souhait. Le véhicule électrique totalement autonome et indépendant du conducteur est considéré par le CEO Tesla comme un projet à plus long terme.

Un développement interne à Tesla

Elon Musk a précisé que ce savoir-faire sur la conduite automatisée de véhicule serait développée en interne par Tesla. Cela viendrait donc contrecarrer la rumeur du moment selon laquelle Tesla et Google pourraient se rapprocher pour développer des véhicules électriques et automatiques en commun. Quoi qu’il en soit, cette annonce de Tesla ne devrait pas manquer l’oreille de Google, qui travaille sur ces technologies depuis plusieurs années.

Une annonce d’emploi postée sur le site de Tesla corrobore l’annonce de travaux sur une voiture électrique sans pilote : le constructeur automobile rechercherait un ingénieur des systèmes d’assistance à la conduite confirmé.
Trois ans d’avance sur les autres constructeurs automobiles

Si Tesla tient sa promesse de produire un véhicule sans conducteur automatique pour 2017, le constructeur américain doublerait ses concurrents ayant révélé travailler sur ce sujet :
- Nissan : Carlos Ghosn a annoncé fin aout qu’il serait en mesure de présenter un voiture Nissan autonome pour 2020. Une Nissan Leaf sans pilote d’essai a été mise au point.
- Mercedes-Benz présente au salon auto de Francfort sa S 500 Intelligent Drive et précise qu’il sera possible de rouler en 2020 dans une voiture Mercedes autonome.




La Citroën C4 Cactus se pique d'originalité


Sans être aussi révolutionnaire que le furent la 2 CV ou la DS en leur temps, l'originale Citroën C4 Cactus entend bouleverser les codes automobiles avec « un design pur et une technologie utile ».

Entre l'innovant prototype C-Cactus du salon de Francfort 2007 et la C4 Cactus qui sera finalement commercialisée en juin prochain, le concept d'automobile «essentielle» imaginé par Citroën aura dérivé vers une réalité plus proche des standards actuels. Pour autant, ce Cactus demeure difficile à classer dans une catégorie.

En lui donnant un patronyme supposant un lien de parenté avec la berline compacte C4, Citroën brouille un peu les cartes. Si l'on se fie à ses 4,16 mètres de long, le Cactus vient plutôt grossir les rangs des dérivés de citadines, aux côtés de son cousin le Peugeot 2008. Avec le crossover urbain, il partage d'ailleurs une plateforme et quelques traits de style caractéristiques, tels que des barres de toit ou des protections de bas de caisse.

Pour favoriser la finesse aérodynamique, déterminante en termes d'émissions de C02, sa hauteur est cependant limitée à 1,48 m, contre 1,56 m pour le Peugeot. Après DS4, un coupé 4 portes surélevé, voilà donc Cactus, un SUV… surbaissé! Caractérisée par des formes lisses et douces, sa silhouette ne manque pas de personnalité. La face avant bulbeuse arbore une signature lumineuse à plusieurs niveaux rappelant le C4 Picasso. A l'arrière, les rondeurs évoquent plutôt celles de la très chic DS3.



C'est aussi et surtout la protection «Air Bump» qui capte le regard. Cette peau souple renfermant de petites capsules d'air recouvre largement les flancs, le hayon et les boucliers, afin de les protéger des agressions urbaines. Cette panoplie antichoc sera personnalisable grâce à quatre coloris: noir, brun, beige et gris, à marier avec dix teintes de carrosseries.

A l'intérieur, l'interface de conduite est 100 % digitale, c'est la génération tablette. Dans l'axe du volant, on retrouve l'instrumentation principale logée dans un premier écran, tandis qu'au centre un second écran tactile regroupe les commandes de la climatisation, du téléphone, des aides à la conduite, des services connectés et de la radio. Le cahier des charges stipulait une remise à plat des besoins afin d'éviter d'embarquer le superflu. On note que cela prive le conducteur d'un réglage en profondeur du volant…

Moderne et épurée, la planche de bord est fine et basse. L'implantation de l'airbag passager au plafond a permis d'installer une boîte à gants qui s'ouvre par le dessus, comme dans un Renault Espace de quatrième génération. Pratique. Les sièges avant sont larges avec des assises plates qui, lorsqu'on opte pour la boîte robotisée ETG6, sont reliées entre elles pour créer l'illusion d'un banquette d'un seul tenant. C'est «l'esprit sofa».



Cette boîte automatique se commande d'une impulsion sur l'un des trois boutons (D, N et R) placés sous l'écran central. Comme dans le C4 Picasso, des palettes implantées derrière un volant à méplat permettent de reprendre la main. Quant aux inconditionnels de la boîte manuelle, économie oblige, ils devront se satisfaire d'un habitacle plus conventionnel avec des sièges avant séparés par un frein à main mécanique.

La finition de sièges, de la planche de bord et des contre-portes est rehaussée par l'utilisation d'un garnissage de couleur grise, havane ou violette. Chic aussi, la poignée de porte souple inspirée de l'univers de la bagagerie. Les passagers arrière doivent se contenter d'une poignée en plastique dur et de vitres à compas. Ces dernières ont servi les stylistes pour effacer le cadre de vitre et créer l'illusion d'une custode et d'un toit flottants. Un toit vitré panoramique fixe sera proposé en option. Traité anti-UV, il permet de se passer de rideau occultant.

L'absence de mécanisme de lève-vitres dans la contre-porte arrière a permis de concevoir un grand espace de rangement pouvant recevoir deux bouteilles de 1,5 litre. Grâce à un grand empattement (2,61 m) et à une largeur aux coudes digne d'une compacte (1,40 m), le Cactus offre une habitabilité remarquable compte tenu de sa longueur. Sa banquette arrière peut accueillir confortablement deux adultes de grande taille.



La contenance du coffre s'établit à 358 litres, soit 8 litres de plus que le 2008, mais 52 litres de moins que la C4. Le seuil de chargement n'est pas particulièrement élevé mais le plancher se trouve une bonne vingtaine de centimètres plus bas. La banquette est fixe et d'un seul tenant. Lorsqu'on rabat son dossier, il forme une marche.

Cette simplification profite au moins à la réduction de la masse. En fonction des motorisations, des transmissions et du niveau d'équipement, elle sera comprise entre 965 kg et 1.140 kg, quand celle du 2008 varie de 1.045 kg à 1.180 kg. La banquette arrière monobloc a permis de gagner 6 kg, l'absence de lève-vitres arrière 11 kg, mais l'essentiel de l'allégement provient de l'utilisation d'aciers à haute résistance pour la coque et d'aluminium pour le capot.

Au chapitre motorisations, le Cactus joue aussi la carte de la simplicité avec, en tout et pour tout, quatre petits moteurs et deux boîtes de vitesses. L'offre en essence comporte deux trois-cylindres essence Puretech, 1.2 VTi de 82 ch et 1.2 THP de 110 ch. En diesel, le client aura le choix entre le 1.6 e-HDi de 92 ch et un nouveau 1.6 BlueHDi de 100 ch. Ces blocs pourront être couplés avec une boîte manuelle ou robotisée. Dans tous les cas, la vitesse sera limitée à 190 km/h, là encore pour réduire les coûts. Précision utile, la version la plus sobre se contentera de 3,2 l/100 km, soit des émissions de C02 de 82 g/km.

Reste à connaître un tarif qui, compte tenu de l'équipement simplifié, promet d'être compétitif. Celui du 2008 s'échelonne de 15.400 € à 24.900 €. Parions que celui du Cactus se situera en dessous, tout en restant supérieur à celui du Dacia Duster qui, en deux roues motrices, varie de 11.900 € à 17.300 €. Les premières livraisons débuteront à la mi juin.





Insolite : l'hypercar Ferrari "LaFerrari" déjà en occasion !


Ferrari LaFerrari 2014 en occasion chez le concessionnaire allemand SEMCO

Déjà en occasion !
Au lancement de son nouvel hyper car, Ferrari avait déclaré vouloir empêcher l'inflation en interdisant sa revente avant un an, en faisant signer un contrat par ses clients. C'est apparemment raté, puisque le modèle LaFerrari est devenu un modèle disponible en occasion.



Le tout premier des 499 exemplaires de la "LaFerrari" est en vente chez le concessionnaire allemand spécialisé SEMCO - proposant entre autres une Koenigsegg Agera R - avec seulement 200 kilomètres au compteur. Cependant, le prix initial de 1,2 million d'euros est pulvérisé car le tarif attendu est ici de 2,38 millions d'euros !

La Ferrari, l'hyper car ultime ?
Malgré un nom peu recherché, la remplaçante de l'Enzo se veut être la plus aboutie des voitures du moment en offrant des performances spectaculaires et un style inspiré de la compétition automobile.


Nommée La Ferrari, elle rejoint la tendance des sportives hybrides - comme ses rivales Porsche 918 Spider et McLaren P1 - avec une motorisation essence V12 couplée à un système de récupération d'énergie cinétique (KERS), pour une puissance totale de 963 chevaux, un bond considérable face aux (seulement) 660 ch. de l'Enzo.

Conçue en quatre types différents de fibre de carbone, la Ferrari limite son poids à 1.400 kg, et offre ainsi un 0-100 km/h englouti en 2,9 secondes, un 0-200 km/h en moins de 7 secondes et un 0-300 km/h en moins de 15 secondes. Ces chiffres, encore inexacts et non vérifiés, sont supérieurs à ses concurrentes. Côté pollution engendrée, Ferrari communique des émissions de CO2 à 330 g/km, SEMCO précisant une consommation moyenne de 11 l/100km.

Tous les 499 exemplaires ont été vendus, et ce avant même sa présentation à Genève en mars 2013.

jeudi 6 février 2014

TEST SMARTPHONES ANDROID

Test : Sony Xperia Z3, on prend les mêmes...

Sony Mobile s'est relancé depuis une poignée de générations de produits mobiles et est devenue une marque sur laquelle compter pour proposer de belles idées sur le marché des smartphones comme des tablettes. Son porte-drapeau star, le Xperia Z, incarne à un instant T du marché le terminal le plus haut de gamme de la marque et Sony s'est d'ailleurs mis en tête de nous apporter une nouvelle version tous les 6 mois ou presque. C'est ainsi que près de 5 mois après l'arrivée du smartphone Xperia Z2, le Xperia Z3 fait son entrée. Pour qui connait, suit, adopte la famille Xperia Z, ce nouveau modèle n'incarne pas forcément la rupture. Il faut écrire que ce Z3 évolue très peu, de prime abord, par rapport à son aînée.
Sony Xperia Z3

Ainsi restons-nous ici sur un écran identique, de 5,2 pouces en dalle IPS et Full HD (définition de 1920 x 1080 pixels), mais aussi sur la même puce mobile conçue par Qualcomm, la Snapdragon 801, dont la fréquence d'horloge passe tout de même de 2,3 GHz... à 2,5 GHz. La mémoire vive reste à 3 Go, ce qui constitue encore aujourd'hui une rare exception sur le marché haut de gamme et la capacité de stockage, toujours de 16 Go, est bien extensible via l'ajout d'une microSD (jusqu'à 128 Go supplémentaires). L'appareil photo dorsal embarque encore une fois le capteur 20,7 mégapixels avec optique G dérivée des APN Sony, présent depuis le Xperia Z1, mais agrandit son angle de prise de vue (passage de 28 à 25 mm).

Côté connectivité sans fil, on trouve de la 4G LTE catégorie 4 (150 Mb/s), du Wi-Fi a/b/g/n/ac, du Bluetooth 4.0 une puce GPS et GLONASS, ainsi que le NFC. La section sonore peut compter sur la réduction de bruit active au casque inaugurée sur le Xperia Z2. En revanche, cette technologie n'est accessible que via les écouteurs intra-auriculaires Sony MDR-NC31EM qui, malheureusement et a contrario de l'offre française du Z2, ne sont pas fournis avec le smartphone. Des écouteurs d'une valeur de 79 €, tout de même. Enfin, Xperia Z oblige, l'étanchéité est de la partie. Certifié IP68, le Z3 peut être immergé jusqu'à 1,5 mètre pendant 30 minutes au maximum. Attention ! Sony passe à la nano SIM avec de modèle.
Sony Xperia Z3

Pour animer le tout, Sony injecte Android 4.4 KitKat, tout en veillant à rhabiller l'OS mobile de Google avec son interface propre, qui propose non seulement une ambiance graphique différente, mais aussi des services et applications exclusifs à la marque japonaise, dont le Remote Play, qui pourrait bien changer beaucoup de choses dans la manière de jouer sur mobile.

Le smartphone Sony Xperia Z3 est commercialisé au tarif indicatif de 680 €. Il sera disponible en octobre prochain, en plusieurs couleurs (noir, blanc, vert et cuivre). Voyons voir si Sony Mobile a eu le nez creux avec cette itération semestrielle.

Ergonomie et design3/5


Depuis le premier Xperia Z et jusqu'à ce Xperia Z3, Sony Mobile n'a cessé de tenter d'arrondir les angles et de jouer avec l'aluminium et le verre. Cette fois-ci, on laisse de côté le biseau du pourtour du Z2 pour aller sur un cerclage aluminium totalement arrondi.
Sony Xperia Z3

L'allure globale ne change pas fondamentalement, puisque l'on reconnait toujours rapidement le design Xperia Z. Cependant, nous posons un bémol sur les finitions qui, si elle restent très sérieuses, font moins haut de gamme que pour le Z2. La raison principale se trouve être l'ajout de renforts en plastique aux quatre coins du terminal afin d'assurer l'intégrité physique du produit. Un choix qui trahit le manque d'efficacité du revêtement renforcé en verre trempé de la firme et qui casse totalement l'unité matérielle qui caractérise d'habitude la structure des Xperia Z. Fini le pourtour construit d'un seul tenant et bienvenue aux quatre lignes arrondies plutôt jolies, mais mal accompagnées par ces coins qui, selon la couleur du mobile, peuvent sonner tout à fait "toc".
Sony Xperia Z3

Les touches physiques viennent se placer au même endroit, avec le bouton On/Off chromé si représentatif de la gamme sur la tranche droite, mais aussi le bouton déclencheur de l'appareil photo et le contrôle du volume.
Sony Xperia Z3

Les tranches latérales se parent également de trappes assurant l'étanchéité et la protection du connecteur USB et des logements pour carte SIM et microSD. La prise casque n'a, elle, plus besoin de cache pour rester étanche depuis la dernière génération. Enfin, les haut-parleurs restent en façade, mais ne parcourent plus toute la largeur du mobile pour se concentrer sur deux petites ouvertures au-dessus et en dessous de l'écran.
Sony Xperia Z3

La prise en main est très agréable quand on tient fermement le Z3. Avec une prise plus légère, le verre trempé glisse un peu trop à notre goût, mais la perte de poids et la finesse remarquable de l'ensemble en font un terminal somme toute encore très séduisant.
Sony Xperia Z3

Abordons désormais un dernier volet, fort problématique de notre point de vue : le Xperia Z3 chauffe, beaucoup. Beaucoup trop à notre goût et sur une bonne partie du terminal (devant comme derrière). Web mobile compulsif, jeu vidéo gourmand, prise de photos à haute intensité, captation vidéo en 4K... ces quatre usages ont révélé une chauffe assez rapide et oscillant entre 43 et 47 degrés (selon conditions du milieu d'utilisation et luminosité de l'écran).
Sony Xperia Z3

Prolongée, l'utilisation à de telles températures est problématique pour le matériel embarqué. La finesse à tout prix semble avoir un prix technique à payer et il n'est pas des plus intéressants pour l'utilisateur, à part en utilisant le côté étanche pour refroidir la bête.
Xperia Z3
Après 10 minutes de jeu vidéo, le Xperia Z3 monte déjà à plus de 45 degrés. La chaleur gagne aussi la face avant, avec une différence d'un degré à peine.

Ecran5/5


Sony continue sur la voie de la dalle IPS Triluminos à leds au phosphore intronisée sur le Xperia Z2. Ce dernier proposait déjà un bel affichage tout en restant perfectible. Pour ce Xperia Z3, force est de reconnaitre que les ingénieurs de la firme ont transpiré pour un résultat bénéfique. La qualité générale de l'affichage est rehaussée, avec un fort contraste moyen de 1202:1 et surtout une luminosité maximale impressionnante de 693 cd/m² ! Une luminosité 75 % supérieure à celle du Xperia Z2. De quoi assurer une lisibilité en extérieur dans la plupart des conditions, sauf bien entendu avec une lumière solaire directe.

Si le rendu des couleurs n'est pas un modèle de fidélité, il progresse largement d'une génération à l'autre et propose un bel équilibre au global. La température des couleurs et le gamma s'écartent des standards de la téléphonie pour accoucher d'un rendu proche de ce que proposent certains téléviseurs HD, jouant la carte d'une plage de couleurs étendue.
Sony Xperia Z3

Et même si la réactivité de la dalle n'atteint pas celle des ténors du secteur (retard tactile de 80 ms ici, pour 46 ms sur un HTC One M8), on reste largement satisfait devant cet écran équilibré, généreux dans le noir et assurant une très belle image pour regarder des vidéos. Quant à la définition, pas besoin de WQHD (2560 x 1440 pixels) tant le Full HD semble encore largement tenir la route sur cette taille d'afficheur. Texte, vidéo, images, la précision d'affichage est là.

Interface et navigation5/5


Si nous étions un peu plus taquins, nous pointerions du doigt la petite fainéantise de Sony, qui ne propose quasi rien de nouveau en matière d'interface par rapport au Xperia Z2. Mais cette même interface est déjà tellement efficace qu'il n'est nul besoin de la chambouler. Nous avons donc un OS Android 4.4.4 — tous les outils Google sont là au démarrage, de Gmail à Hangouts en passant par YouTube, Play Store, Maps ou Play Musique — recouvert de pied en cape d'une ambiance graphique maison nippone, avec ce mélange mettant en scène des éléments de couleurs vives au milieu d'une dominante sombre et sobre. L'inverse du style pompier du TouchWiz de Samsung et quelque chose d'un poil plus joyeux que Sense de HTC.
Xperia Z3 cap2 Sony Xperia Z3

On retrouve de très bons ajouts de Sony, comme le petit volet de gestion (glisser le doigt du bord gauche vers le centre de l'écran) des applications dans le menu principal. Il permet d'afficher la liste d'applis par thématique, dates, favoris, fréquence d'utilisation... Très pratique ! L'interface remplace également les lecteurs vidéo, audio et la galerie photo Android par des applications Film, Walkman et Album, proposant toutes une navigation dynamique et plaisante. Les services de musique (Music unlimited) et vidéo (Vidéo Unlimited) à la demande de Sony sont là et ce dernier manque toujours autant de pertinence avec un catalogue certes complet, mais en SD le plus souvent en VF. Enfin What's New regroupe sur une même page les nouveautés multimédias Android/Sony (applis, jeux, musiques, films...).
Sony Xperia Z3 Sony Xperia Z3

Rayon performances, le Xperia Z3 peut bien entendu compter sur la puissance du Snapdragon 801, sous stéroïdes pour passer à 2,5 GHz et une bonne dose de mémoire vive. Un équipement qui place le smartphone en très bonne place sur les différents benchmarks, mais se traduit surtout par une excellente optimisation, une réactivité globale sensationnelle et une fluidité de tous les instants. On navigue dans le smartphone, les applis et service à grande vitesse. Agréable.

Pour plus de détails encore sur l'interface Sony pour Android, rendez-vous sur notre test du Xperia Z2, toujours dans la section Interface et navigation.

Multimédia5/5


La navigation web est fluide et rapide. Chargement des pages, défilement, zoom, précision des tapotements sur les liens, lisibilité grâce à l'écran Full HD, le web mobile est un régal sur cet appareil.
Sony Xperia Z3

La lecture vidéo s'appuie sur l'application Film. Elle regroupe aussi bien les vidéos transférées par l'utilisateur que les films et séries achetées ou louées via Vidéo Unlimited (lecture locale ou streaming selon le fichier) ou les vidéos tournée avec le Z3.
Sony Xperia Z3

Sony s'approche du savoir-faire de Samsung, Archos et LG dans le domaine avec une large compatibilité de fichiers et une lecture Full HD 1080p avec gestion des sous-titres très efficace (conteneurs MKV et AVI).
Z3 rr3

Côté jeux vidéo, on se retrouve avec un rendu parfaitement identique à celui du Xperia Z2, puisqu'il s'agit de la même plate-forme Snapdragon 801 + GPU Adreno 330 et 3 Go de RAM. N'allons pas nous plaindre, nous avons là l'une des meilleures machines à jouer de la famille Android. D'ailleurs, le Z3, ainsi que ses comparses Z3 Compact et Z3 Tablet Compact pourraient bien devenir des tueurs dans la domaine une fois le Remote Play activé.
Z3 dt2

Derrière ce nom se cache sans doute la plus grosse innovation pour la famille Xperia : pouvoir jouer à la PlayStation 4 sur son mobile. Le Xperia Z3 se connecte à la PS4 en Wi-Fi et prend ainsi la place du TV. Il suffit alors de connecter la manette de la console au smartphone via le Bluetooth et le tour est joué. Diabolique.
Z3 remote play ok

L'application ne sera toutefois active qu'en novembre prochain (via une mise à jour du firmware de la PS4), mais nous avons pu tester la chose pendant l'IFA de Berlin. Le fonctionnement est impressionnant de réactivité. Vivement novembre, donc. En revanche, il est assez incompréhensible, du point de vue de l'utilisateur, que Sony ne propose pas le Remote Play sur le Z2, lui qui possède un hardware quasi identique. Côté Sony, on doit surtout se dire qu'il est difficile de justifier l'intérêt pour un Z3 à taux plein si le Z2 à 30 % moins cher aujourd'hui est équipé de la même super option au même moment. Une position encore plus délicate face aux possesseurs du Z2. Un moyen comme un autre, aussi, de la firme de fidéliser ses (futurs) clients, puisqu'il s'agit de rester dans la famille Xperia haut de gamme pour bénéficier de cette sans doute "killer app" en devenir qu'est le Remote Play.
Z3 remote play

La sortie casque offre une puissance tout à fait correcte avec une distorsion très sage. La dynamique aussi est plutôt bonne, le Xperia Z3 est capable de belles nuances dans les forte et pianissimo. La largeur du champ stéréophonique n'est en revanche pas renversante. Les haut-parleurs offrent un son plutôt bon : clair, assez puissant, sans trop de saturation (sauf au tout dernier niveau de puissance) et équilibré sur tout le spectre — rien à voir avec certains haut-parleurs qui délivrent un son très nasal. La spatialisation est bonne et le son immersif.

On dispose en outre de toute une série de réglages : des dizaines d'égalisations préenregistrées ou modifiables, une accentuation des basses, un choix d'ambiances (studio, club, salle de concert) qui jouent principalement sur l'ajout de réverbération, un compresseur pour atténuer les nuances entre les sons forts et les sons faibles et enfin un mode « Surround » pour le haut-parleur dont le résultat est en revanche assez discutable (le déphasage des aigus n'ayant pas d'excellentes conséquences sur l'équilibre fréquentiel).


Les écouteurs fournis avec proposent une réduction de bruit active via le téléphone : il faut sélectionner le MDR-NC31EM dans "Réglages; Son; Réglages Audio & Casque" pour pouvoir en bénéficier. La réduction de bruit active n'est certes pas folle et ne vous offrira pas un havre de paix dans le métro, mais est néanmoins louable pour des intras fournis et appréciable au bureau ou dans des salles d'attente, par exemple.

Photo


Sony Mobile persiste et signe : son capteur 20,7 mégapixels avec optique G va casser la baraque. Nous n'avons jamais été totalement conquis par le rendu des APN des Xperia Z, quand bien même proposent-ils l'une des plus larges plages de modes, réglages et effets. Trop forcés dans les contours, dérives de rouges, du bruit, des problèmes optiques sur les pourtours, les clichés ne nous ont jamais semblé à la hauteur de ce que la marque tentait de nous vendre.
Pour ce Xperia Z3, Sony peaufine encore son processeur d'image BIONZ, lui aussi dérivé de la photo numérique classique, propose du grand angle 25 mm et bombe le torse en sensibilité en annonçant monter jusqu'à 12 800 ISO. Croustillant !
Sony Xperia Z3

En premier lieu, il faut comprendre le fonctionnement de l'appareil photo. En mode Auto+, le capteur ne propose qu'un maximum de 8 mégapixels. En réalité, le capteur prend bien une photo à 20,7 Mpx, mais propose un cliché de 8 Mpx, un peu comme Nokia et son PureView. L'intérêt est de pouvoir zoomer dans la photo sans trop perdre en qualité. Pour avoir un capteur plein à 20,7 Mpx, il faut alors passer en mode Manuel.
Sony Xperia Z3

Autre subtilité, les fameux 12 800 ISO ne sont disponibles qu'en mode auto, soit sans maîtrise de l'utilisateur, tandis que le mode Manuel, lui, plafonne à 800 ISO. Bipolaire, l'APN à la sauce Xperia Z l'est assurément. Concernant l'interface photo, si elle donne un côté Cyber-shot et APN classique à l'ensemble, elle manque du coup cruellement d'information en direct lors des prises de vue.

Mais alors que donne finalement ce Xperia Z3 ? Sans aucun doute Sony a fait quelques progrès depuis le Z2. En auto comme en manuel, les photos sont moins ternes, plus nettes et si l'on constate encore quelques petites faiblesses dans les contours, ce n'est plus aussi appuyé que sur les anciens modèles. L'image tire également beaucoup moins vers le rouge. Hélas l'algorithme de renforcement des contours s'exprime avec plus de force que sur le Z2. En regardant de plus près dans l'image, on remarque des contours trop forcés, apportant un côté artificiel à un grand nombre de clichés. Le mode manuel continue à plus nous convaincre que le mode auto.
Z3 scene

En basse luminosité, le capteur Sony est toujours l'un de ceux allant chercher le plus de lumière — d'autant plus avec les fameux 12 800 ISO en auto —, mais il reste aussi constellé de bruit, nuisant au final à la qualité des photos de nuit.

Le déclenchement se veut plus rapide que sur l'aîné, mais nous sommes encore loin, hors tir en rafale — plutôt efficace, mais parfois un manque de netteté —, des réactions canon des Galaxy S5 et LG G3. Dans la foultitude de modes, on retrouve la réalité augmentée qui fait apparaitre des éléments à l'écran (dinosaures, poissons, etc.), des filtres ou encore la diffusion de vidéo captée en direct sur ses plates-formes sociales. Parmi les nouveautés, on aime assez le partage vidéo, qui permet d'afficher l'image filmée par plusieurs appareils sur un même écran Xperia. Cela fonctionne en principe jusqu'à 3 appareils, mais nous n'avons jamais réussi à en connecter correctement plus de deux. Un mode compatible avec le Z3, le Z3 Compact et les Action Cam de la firme.
Sony Xperia Z3

Le mode vidéo gagne une bien meilleure stabilité et la captation 4K est très efficace. Le capteur avant propose des prises de vue rapides, nettes et plutôt lumineuses, avec un très grand angle. Parfait pour des autoportraits avec ou sans paysage en arrière-plan ou à plusieurs sujets.

Un ensemble qui fait du Xperia Z3 un très bon photophone, mais qui n'est pas encore à la hauteur de ce qu'il annonce et encore un peu moins équilibré que certains concurrents directs comme le LG G3.

Autonomie4/5


Avec une batterie de 3100 mAh, Sony joue à contre-courant : baisser la capacité de l'accumulateur d'une génération à l'autre (3200 mAh sur le Z2). Un pari sans doute motivé par la nécessité de faire entrer une certaine batterie dans une coque moins épaisse. Toutefois, Sony promet une autonomie équivalente à celle du grand frère et, en pratique, c'est finalement le cas. Avec un usage basique de smartphone de ce type, on peut facilement tenir une bonne journée et demie avant de devoir passer par la case recharge. Pour mettre à genoux le Xperia Z3 en une journée, il faudra user et abuser de la connectivité sans fil, regarder des vidéos en streaming et jouer pas mal de temps. Bref, sans pulvériser les records d'autonomie, le Z3 assure une autonomie solide.
Attention toutefois, le jeu vidéo avec des titres gourmands grève énormément la batterie. Il convient aussi de ne pas pousser à fond l'énorme luminosité du terminal qui peut vite le fatiguer, forcément. Quant à la recharge, elle demande un cycle complet de 2h30 environ.









Le Xperia Z3 côté téléphonie
Sony n'apporte pas encore beaucoup de profondeur pour sa gestion des carnets d'adresses. Tout cela manque encore de fusion avec plusieurs points de contact issus des réseaux sociaux. Le carnet de contacts est donc efficace, sans plus.

Le clavier tactile dispose d'un panneau aux touches bien espacées offrant une saisie rapide et sûre. Notre préférence va, comme à l'accoutumée, à la saisie par tracé Google, inspirée de Swyper et qui permet d'enchaîner les mots en traçant la route d'une lettre à l'autre sur le clavier.

L'accroche réseau est optimale dans la plupart des situations. Nous n'avons jamais été en rupture de 4G ou 3G et lorsque le réseau se fait la malle, la récupération est quasi immédiate lorsqu'il retrouve le chemin des antennes. Côté Wi-Fi aussi c'est un succès, le Z3 conserve l'accroche vaille que vaille. Le fix GPS est assez rapide à notre goût : moins de 30 secondes en 3G/4G et moins de 4 secondes avec le Wi-Fi actif, le tout avec une précision honorable.

Le haut-parleur de communication restitue correctement les conversations, sans saturer ni être envahi par du souffle. L'interlocuteur, lui, ne se plaint pas. Du tout bon sur la partie téléphonie pour ce Xperia Z3.

Conclusion

À force de peaufiner son tableau, Sony Mobile s'approche de qu'il rêve de réaliser depuis le début. Le Xperia Z3 est un smartphone haut de gamme solide dans ses performances, fluide dans son utilisation, polyvalent par son offre logicielle et multimédia. Ses capacités photo/vidéo ont été améliorées. On note toutefois encore trop de petites anicroches pour en faire un véritable tueur. Possesseurs de Z2, il est peut-être urgent d'attendre, sauf à vouloir à tout prix utiliser le Remote Play. On espère tout de même qu'un jour Sony en proposera l'intégration sur le Z2, car il n'y a pas de raison que cela ne fonctionne pas.

HTC dégaine le Desire 610 en renfort de son Desire 816

Le renforcement de l'offre de milieu de gamme ne pouvant passer par le seul Desire 816, HTC a dévoilé un second appareil destiné aux utilisateurs qui ne se retrouvent ni dans l'entrée de gamme ni dans le segment premium. Son nom ? Le Desire 610.
Doté d'un écran Super LCD de 4,7 pouces à la définition de 960 x 540 px, le Desire 610 se veut moins "à part" que son frère, le Desire 816. En effet, on retrouve chez le 610 des caractéristiques relativement habituelles, puisque c'est un Snapdragon 400 et ses quatre cœurs cadencés à 1,2 GHz qui officient avec le renfort d'un Go de mémoire vive. Pour le stockage, l'utilisateur pourra compter sur 8 Go de mémoire interne et un port microSD permettant d'ajouter la bagatelle de 64 Go.

L'APN principal est de 8 Mpx, tandis que le capteur frontal n'est "que" de 1,3 Mpx — les amateurs de selfies préféreront donc le Desire 816 et son APN de 5 Mpx en façade. Disposant d'un emplacement nano-SIM, le Desire 610 a par contre la bonne idée de copier son frère sur le terrain de la connectivité. Il en résulte un appareil réellement communicant qui propose la 4G, le Bluetooth 4.0, le Wi-Fi b/g/n, le DLNA et le GPS. Le tout étant soutenu par une batterie de 2 040 mAh.

Lourd de 143,5 g pour des dimensions de 143,1 x 70,5 x 9,6 mm, le Desire 610 devrait, comme le 816, faire son apparition en rayon en avril prochain avec Android 4.4 et la version 6 de la surcouche fétiche du Taïwanais, Sense. Le prix, pour sa part, devrait s'établir sous la barre
des 300 €.                       

 

Le Wiko Mazing 4G était au MedPi

wiko 

Aperçu sous cloche lors du MWC 2014, le smartphone Mazing de Wiko était à nouveau exposé au MedPi de Monaco qui s'est tenu la semaine dernière. Le smartphone est toujours confirmé pour la fin de l'année.
Il avait été l'une des surprises du stand Wiko lors du salon MWC 2014 à Barcelone en février dernier. Sous cloche, le Wiko Mazing avait attiré de nombreux regards. Il faut dire que ce smartphone est censé incarner les prochaines productions de la filiale française du groupe chinois Tinno.
Si le design semble réussi, Wiko avait pris soin de mettre en avant certaines caractéristiques du Mazing, laissant présager son arrivée prochaine sur un segment de gamme plus élevé que ce que nous délivre habituellement la marque. A commencer par sa compatibilité avec les réseaux 4G et son processeur octa-core 2GHz.
Du côté de l'afficheur, on retrouve un écran 5,2 pouces Full HD. Enfin en théorie, car comme au MWC 2014, l'affiche qui présentait le Mazing au MedPi comportait la coquille suivante : « Full HD (1280x720) ». Il y a toutefois fort à parier que ce sera bien une version Full HD. D'autre part, Wiko nous a précisé lors du MedPi qu'il s'agirait d'un écran Super AMOLED. Le Corning Gorilla Glass 2 sera bien de la partie.
Un capteur photo revu à la baisse ?
Annoncé sous Android 4.4 KitKat, le Wiko Mazing embarquera bien 32 Go de mémoire et 2 Go de RAM. En revanche, l'appareil photo semble avoir été revu à la baisse. Annoncé avec un capteur 20 mégapixels en façade lors du MWC 2014, nous avons constaté lors du MedPi qu'il était désormais présenté avec un capteur 16 mégapixels. Le capteur en façade reste quant à lui inchangé à 8 mégapixels.
Malgré nos demandes nous n'en savons toujours pas plus sur le prix et sur la date de commercialisation, qui devrait intervenir pour le dernier trimestre de l'année.

Wiko Mazing
Le Wiko Mazing au MWC 2014

 

B&YOU : 1,876 million de clients

bandyou
L'opérateur low cost de Bouygues Telecom compte désormais 1,876 million de clients à fin mars. B&YOU a en effet gagné 126.000 clients sur les trois premiers mois de l'année.
Après un dernier pointage à 1,750 million de clients au 31 décembre 2013, la marque low cost de Bouygues Telecom affiche un parc total de clients à 1,876 million à fin mars 2014. Rappelons que B&YOU comptait 1,431 million de clients un an plus tôt. Nous ne savons toujours pas quel est le nombre de clients ayant opté pour la Box Internet à 15,99€ lancée en novembre dernier.
Du côté de ses concurrents directs, Sosh a récemment annoncé avoir franchi le cap des 2 millions de clients, et SFR RED celui des 1,8 millions d'abonnés. Il faut dire que les marques low cost ne sont pas restées inactives depuis le début de l'année.
Ainsi B&YOU a décidé de se mettre au roaming data en proposant à ses clients Forfait 24/24 & Internet 5Go à 24,99 euros de disposer de 1Go de data supplémentaire qu'ils pourront utiliser en Europe et dans les DOM. Autre nouveauté : le lancement d'un forfait bloqué à 4,99€ incluant 2 heures avec SMS et MMS illimités.
Bouygues Telecom rebaptisé B&YOU ?
Certaines rumeurs évoquent le fait que Bouygues Telecom pourrait être rebaptisé B&YOU afin de coller à la dynamique de la marque low cost, qui affiche une croissance nettement supérieure à celle de Bouygues Telecom.
Le parc Mobile de Bouygues Telecom est de l'ordre de 11 064 000 clients (-79.000 clients par rapport à fin décembre 2013) et le parc Forfait à 9 940 000 clients (+30.000 clients par rapport à fin décembre 2013). À fin mars 2014, 1,4 million de clients sont utilisateurs de la 4G.

 

 

Test du ZTE Grand S Flex : une arrivée bien tardive, surtout face au Wiko Wax

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Avec le Grand S Flex, ZTE espère percer dans le monde cruel des smartphones 4G à moins de 200 euros. Mais face à un Wiko Wax qui frappe très fort, difficile de tenir la comparaison avec une plate-forme technique ténue et loin d’être exempte de quelques défauts. À commencer par une plate-forme technique déséquilibrée.
Jusqu’en 2013, les deux principaux constructeurs chinois, Huawei et ZTE, ont été timides sur le marché français, leurs stratégies étant basées sur des accords de marque blanche avec les opérateurs. ZTE, notamment, alors même qu’ils auraient dû profiter de la montée en puissance de l’open-market, a finalement abandonné ses marques et ses smartphones pour les offrir à SFR et Bouygues Telecom.
Mais l’arrivée de plusieurs concurrents pour venir les taquiner, comme les jeunes et dynamiques OnePlus ou Meizu, sans parler de Lenovo et Xiaomi, probablement en route également, le force à sortir du bois et à envisager une stratégie plus agressive... et s’appuyant surtout sur sa propre marque. Si nous attendons encore le premier Nubia officiellement localisé, la gamme Grand S lui sert d’éclaireur. Comme ce Grand S Flex, dont la sortie est loin d’être aussi stratégique que tactique.

ZTE Grand S Flex prise en main

Théoriquement un concurrent pour le Wiko Wax
Car le Grand S Flex se veut d’abord être une prise de position sur un segment particulièrement en vogue ces derniers mois : les smartphones 4G à moins de 200 euros. Plusieurs ont été annoncés ou sont sortis récemment. Nous pensons naturellement au Moto G 4G de Motorola. Nous pensons à l’Ascend G740 de Huawei. Nous pensons aux Helium 45 et 50 d’Archos. Nous pensons au Pop S3 d’Alcatel One Touch, peut-être le moins cher, mais aussi le moins qualitatif du point de vue de l’écran.
Et surtout, nous pensons au Wax de Wiko. Testé la semaine dernière, il est certainement le meilleur de cette catégorie avec son chipset Tegra 4i nerveux et son écran 720p de 4,7 pouces. Un bon équilibre qu’il va être très dur de bousculer pour ZTE. Notamment avec ce Grand S Flex, présenté pour la première fois en novembre dernier et arrivé ces jours-ci au prix de 179 euros, hors subvention.
Une fiche technique intéressante... pour 2013 !
Sur le papier, le Grand S Flex n’arrive pas à concurrencer le Wax. ZTE a en effet opté pour une configuration trop minimaliste pour espérer avoir une chance de se mesurer à un Tegra 4i. Le chipset choisi est un des fonds de tiroir de chez Qualcomm : le MSM8930, un Snapdragon S4 Plus (même pas Pro, même pas Prime), composé de deux coeurs Krait cadencés à 1,2 GHz et d’un Adreno 305 pour la partie graphique. Ce modèle doit avoir servi de base pour créer les dual-core Snapdragon 400. Voici en détail le reste de cette fiche technique :
  • Écran IPS 720p de 5 pouces
  • Chipset Snapdragon 400 MSM8930 dual-core cadencé à 1,2 GHz
  • Processeur graphique Adreno 305
  • 1 Go de mémoire vive
  • 16 Go de stockage interne (non extensible)
  • Capteur photo principal 8 mégapixels avec flash et autofocus
  • Capteur visio 1 mégapixel
  • Batterie 2300 mAh (non amovible)
  • Compatible LTE, DLNA, WiFi n, Bluetooth
  • Chipset audio optimisée Dolby Digital Plus
  • Android Jelly Bean 4.1.2
  • Dimensions : 143 x 70 x 8,9 mm
  • Poids : 130 grammes
Nous sommes très étonnés de voir un Snapdragon S4 Plus dans un smartphone doté d’un écran 720p, car la limite technique de ce modèle est la résolution d’affichage FWVGA (800x480). Notez qu’il est cependant théoriquement capable de décoder des fichiers vidéo 1080p. Nous pensons qu’une partie des ralentissements, que nous verrons par la suite, sont dus à ce choix.
Un châssis unibody qui tient parfaitement en main
Mais commençons par le design. Le Grand S Flex propose un châssis robuste et unibody (batterie non amovible) dont la partie en plastique fait d’une seule pièce entoure presque entièrement l’arrière et les tranches du mobile. Seule une petite partie de l’épaisseur de l’écran ressort. De face, le ZTE Grand S Flex ressemble beaucoup à d’autres modèles de la gamme Grand, avec la forme très distinctive de l’écouteur situé au-dessus du logo. En bas, toujours une zone tactile pour les touches de navigation.

ZTE Grand S Flex de face ZTE Grand S Flex de dos
À l’arrière, nous retrouvons deux détails qui sautent aux yeux. À commencer par la zone dédiée à l’appareil photo de 8 mégapixels et son flash. En bas, un haut-parleur puissant et plutôt bien situé vis-à-vis du placement naturel des doigts. Sur les tranches, l’éventail classique des connectiques et boutons : allumage, volume, jack 3,5 mm, microUSB (curieusement placé) et microSIM. Mauvaise surprise : pas d’extension microSD pour rajouter de la mémoire. Heureusement, le Grand S Flex dispose de 16 Go de mémoire interne.

ZTE Grand S Flex tranche de gauche
ZTE Grand S Flex tranche de droite

Un écran HD 720p très lumineux
À l’allumage, le Grand S Flex se trouve être assez plutôt lumineux, même quand le réglage automatique (par défaut) est enclenché. Les angles de vision sont plutôt bons et les couleurs plutôt bonnes. Comme de nombreux concurrents, le Grand S Flex propose une définition 720p avec un écran de 5 pouces. Les pixels se voient donc à l’oeil nu (ce qui explique aussi en partie ce gain de luminosité), mais l’impression reste toutefois bonne. Les couleurs sont ben reproduites et le contraste reste satisfaisant.

ZTE Grand S Flex port carte SIM
Un port carte SIM, mais pas de port microSD
Le système d’exploitation proposé ici est une version datée d’Android : Jelly Bean 4.1.2. Cela est certainement dû à la présence du Snapdragon S4 Plus, lequel doit être optimisé pour cette version. N’espérez pas une mise à jour vers une version ultérieure, même si de bonnes surprises ne sont pas impossibles. L’interface est assez élégante, non intrusive, et reste fluide. Quelques petits ratés de temps en temps, mais rien de considérable.

ZTE Grand S Flex interface ZTE Grand S Flex interface ZTE Grand S Flex écran de verrouillage
Ecran d'accueil, widget calendrier et écran de verrouillage
Au-dessus d’Android, ZTE propose une légère surcouche pour adapter certaines icônes (comme le navigateur Web), certains éléments du système (le clavier particulièrement) et les systèmes de raccourcis, via l’écran de verrouillage ou un widget flottant. Appelé Mi-Pop, ce dernier est amusant. Il déporte simplement les touches de navigation Android afin de les rapprocher de vos doigts si vous avez de petites mains. C’est pratique. Quelques applications systèmes ont également été modifiées (appareil photo, gestionnaire des tâches) tandis que d’autres disposent d’une alternative (musique, lecteur vidéos, sauvegarde et restauration).

ZTE Grand S Flex clavier ZTE Grand S Flex application musique ZTE Grand S Flex application sauvegarde
Le clavier ZTE (à gauche), le lecteur musical (au centre) et le centre de sauvegarde (à droite)
ZTE ajoute à cela quelques applications tierces parmi lesquelles la version payante de Kingsoft Office, Full Share (pour accéder en DLNA à des serveurs multimédia) et Dolby Digital Plus (qui accompagne le chipset audio). Le tout se révèle plutôt fonctionnel (et pourra être complété par la suite grâce au Play Store).

ZTE Grand S Flex Full Share ZTE Grand S Flex Dolby Digital Plus ZTE Grand S Flex Kingsoft Office
Full Share (à gauche), Dolby Digital Plus (au centre) et Kingsoft Office (à droite)
Des résultats techniques anachroniques
Comme toujours, nous avons réalisé quelques tests techniques avec l’outil AnTuTu pour savoir à quoi nous en tenir avec le Grand S Flex. Il s’avère que le mobile ne parvient à obtenir qu’une note très moyenne. Selon les tests effectués, la note varie d’un petit 12 000 points à un maximum de 13 000 points, selon les conditions. Mais jamais mieux. Il ne fallait certainement pas en attendre plus, d’abord d’un dual-core, ensuite d’un S4 Play, enfin d’un chipset cadencé à 1,2 GHz. Par comparaison, le Tegra 4i du Wax (qui obtient le double du score) s’appuie sur 4 coeurs Cortex-A9 cadencés à 1,7 GHz et sur un GPU de 60 coeurs.

ZTE Grand S Flex AnTuTu ZTE Grand S Flex AnTuTu ZTE Grand S Flex AnTuTu
Dans le classement des smartphones, le Grand S Flex est légèrement meilleur qu’un Galaxy S2 (de 2011 quand même) et bien en dessous du Redmi de Xiaomi qui dépasse largement les 15 000 points. Dans son rapport détaillé, AnTuTu souligne que le couple de coeurs Krait est la plus grande faiblesse du chipset, lequel s’en sort mieux sur la partie graphique grâce à l’Adreno 305.
De beaux graphismes, mais un manque de fluidité
Cela a évidemment une incidence sur l’usage en multimédia. Le Grand S Flex offre une expérience de jeu plutôt correcte avec des applications légèrement gourmandes. Dead Trigger 2, notre jeu étalon, a eu plus de difficulté. D’abord dès l’installation, car nous avons rencontré quelques petits problèmes d’accès à la mémoire de masse (un petit bug certainement lié à l’application de connexion au . Ensuite lors du démarrage du jeu, où les ralentissements étaient les plus sévères. Enfin durant la partie, quand notre personnage était cerné, le Grand S Flex ne savait pas gérer à temps l’afflux d’informations. Dommage, car, graphiquement, il s’en sortait plutôt bien. Nous soupçonnons également le S4 Plus d’éprouver quelques difficultés à gérer un écran 720p.

ZTE Grand S Flex Dead Trigger 2
Dead Trigger 2 sur ZTE Grand S Flex
Presque un sans-faute en vidéo
En vidéo, le Grand S Flex s’en sort particulièrement bien. Très bonne surprise, le lecteur vidéo proposé dans le Grand S Flex a été capable de décoder la grande majorité des fichiers de test, même en 1080p. Et ceci, aussi bien en format MKV qu’en format MP4. Trois détails font du Grand S Flex un bon lecteur vidéo. D’abord son haut-parleur puissant à l’arrière. Ensuite le chipset Dolby Digital Plus pour optimiser le rendu audio. Enfin le casque intraauriculaire pour les amateurs qui fréquentent les transports en commun.

ZTE Grand S Flex Application vidéo
Lecteur vidéo Grand S Flex
Des photos assez ternes
Pour la photo, en revanche, le Grand S Flex ne sera satisfaisant que pour des usages liés au partage sur les réseaux sociaux ou par messagerie. En revanche, oubliez rapidement l’envie de les imprimer, car le résultat n’est pas à la hauteur de cet usage. En effet, le résultat en mode automatique est assez terne et surexposé. Les couleurs manquent de tonus et semblent délavées. Avec un bon logiciel de retouche photo, vous serez certainement à même de revoir le contraste et la luminosité pour redonner du piqué aux prises de vue. Mais rien de plus. L’interface photo est plutôt complète, avec plusieurs modes de prise de vue, l’accès à quelques réglages et un mode HDR en prime.

ZTE Grand S Flex interface photo
Interface photo du Grand S Flex
ZTE Grand S Flex Photo
Photo prise avec le Grand S Flex
Difficile de rivaliser désormais avec le Wiko Wax
En conclusion, à choisir entre le Grand S Flex et le Wax, optez définitivement pour le mobile de Wiko, d’autant qu’ils sont proposés tout deux au même prix. Si nous avons été un peu échaudés par les quelques petits accrocs du Wax, celui-ci est clairement meilleur, notamment au niveau technique. Un peu chiche, c’est vrai, sur la mémoire interne (laquelle est extensible), la proposition de Wiko est plus équilibrée, notamment entre l’écran et le chipset. Car c’est là le gros point noir du Grand S Flex : si vous décidez de sortir des sentiers battus de la messagerie, des réseaux sociaux et de YouTube, la limite technologique risque de dégrader votre expérience, surtout si vous êtes joueur.

 

 

Orange s'intéresse au rachat de Bouygues Telecom

orange 

L'opérateur Orange serait en discussion avec Bouygues Telecom en vue d'un rachat de ce dernier. Le retour à un marché à trois acteurs semble inévitable.

Après l'échec du rachat de SFR,  Bouygues Telecom cherche toujours une solution pour rebondir. Après des rumeurs autour de Free, cette fois c'est l'opérateur Orange qui serait en discussion avec Bouygues Telecom en vue d'un rachat de ce dernier. Selon le quotidien économique Les Echos, qui cite la patron d'Orange, Stéphane Richard : « On évalue nos options mais personne ne m'a demandé du côté de l'Etat d'étudier le rachat de Bouygues Telecom ».
Cette opération serait une belle sortie pour Martin Bouygues, puisque le groupe Bouygues et son partenaire JCDecaux (qui détient 10% de Bouygues Telecom) profiteraient de la vente de Bouygues Telecom pour se faire payer en actions, et ainsi monter au capital d’Orange, dont l'action a retrouvé des couleurs depuis le début de l'année.
Orange examine toutes les opportunités
Si Orange ne s'est pas plus exprimé sur le dossier Bouygues Telecom, l'opérateur reconnaît pleinement examiner les opportunités qu’offre la recomposition du paysage français des télécoms. Le groupe estime par ailleurs qu’une consolidation du marché mobile français serait positive à long terme tant pour l’investissement que pour le consommateur.
« Orange explore les opportunités qu’offre la recomposition en cours du paysage français des télécoms, tout en rappelant que sa position de leader lui permet une totale indépendance.
Orange agira dans le seul intérêt de ses actionnaires, de ses salariés et de ses clients et sera particulièrement attentif à la création de valeur et aux risques juridiques d'une éventuelle opération.
» indique un communiqué.






htc
               
HTC vient de lever le voile sur son One Mini 2, variante plus compacte du One (M8) lancé fin mars. Comme pour le modèle précédent, la fiche technique a été revue à la baisse en même temps que les dimensions.
Alors que le HTC One (M8) a profité d'une annonce en grande pompe, sa version mini, elle, a été dévoilée sans fanfare et on peut comprendre pourquoi. Le smartphone fait l'impasse sur la principale amélioration introduite avec le modèle dont il s'inspire et n'apporte finalement pas grand chose de plus que son prédécesseur, si ce n'est un design plus léché et un écran un peu plus grand.

HTC One Mini 2

Une configuration à peine meilleure que celle du One Mini
Car, oui, les Mini d'aujourd'hui n'en ont réellement plus que le nom. Avec son écran HD 720p de 4,5 pouces et ses deux haut-parleurs stéréo BoomSound en façade, le One Mini 2 atteint des dimensions de 137 x 65 x 10,6 mm pour un poids de 137 grammes. A l'intérieur, peu de changements. Le Snapdragon 400 a été conservé mais adopte cette fois une configuration quad-core alors que sa fréquence baisse à 1,2 GHz. Il est toujours épaulé par 1 Go de RAM et 16 Go de mémoire interne, extensible via microSD (jusqu'à 128 Go).
Ni Duo Camera, ni UltraPixel
Une nouvelle fois, la technologie UltraPixel a été évincée en faveur d'un capteur BSI de 13 mégapixels plus conventionnel, couplé à une optique ouvrant à f/2.2. La webcam 5 mégapixels à l'avant a cependant été conservée pour l'enregistrement vidéo jusqu'en 1080p. Du côté des connectivités, tout est là : 4G, NFC, Bluetooth 4.0, Wi-Fi dual-band 802.1n, GPS. L'ensemble tourne évidemment sous Android 4.4 KitKat, agrémenté de Sense 6.0, et est alimenté par une batterie de 2100 mAh. HTC annonce jusqu'à 16 heures d'autonomie en communication.
Le lancement du HTC One Mini 2 n'a pas été particulièrement détaillé. Sa date de sortie a été annoncée courant juin. Trois coloris seront proposés : Gunmetal Gray, Glacial Silver et Amber Gold. Son prix, en revanche, n'a pas encore été évoqué

 

 

Lumia 1520, Nokia officialise son premier Windows Phone 8

Nokia propose désormais son premier phablet sous Windows Phone 8. L’engin, nommé le Nokia 1520, est un smartphone à grand écran en Full HD animé par un processeur Snapdragon 800.


Nokia Lumia 1520
Il s’agit d’un important cap pour le constructeur qui au fil des mois cumule les succès avec une gamme Lumia dont les ventes ne cessent de croitre. Avec l’annonce du Lumia 1520, la plate-forme Microsoft obtient son premier smartphone grand écran haut de gamme. Nokia n’a pas fait dans la demi-mesure puisque la configuration technique est digne des dernières nouveautés avec au final un smartphone parfaitement capable de rivaliser avec l’offre sous Android.
Le Lumia 1520 se présente aux premiers regards comme un gros Lumia 920 mais aux traits de caractères du Lumia 1050. Le design est travaillé  avec des dimensions qui devraient être inférieures à celles du Galaxy Mega 6.3 de quoi assuré une prise en main correcte.
Nokia affirme que l’écran bénéficie d’un traitement tout particulier pour le rendre exploitable en plein soleil. Il faudra attendre les premiers retours sur cette information afin de savoir s’il y a vraiment matière à différenciation avec la concurrence. Sans surprise, le Lumia 1520 est compatible LTE mais sans autre précision tandis que son alimentation est assurée par une imposante batterie de 3400mAh. Il prend la forme d’une phablet avec un écran de 6 pouces en Full HD. Il s’équipe  de 4 microphones et d’un capteur dorsal de 20 mégapixels accompagné d’une nouvelle application Nokia Camera proposant les modes Smart, Pro et vidéo. Le stockage est assuré par 32 Go extensible par carte microSD  et 7 Go gratuit via SkyDrive.
Enfin le Lumia 1520 sera disponible en jaune, en noir, en blanc et en rouge à compter du 4ème trimestre 2013 au prix de 699€ normalement.


Test : Nokia Lumia 1020, un APN de 41 mégapixels vraiment bluffant !

Nokia Lumia 1020
Le Nokia 1020 représente quelque chose d’assez remarquable sur le papier, une fusion qui se veut parfaite entre un smartphone et un appareil photo. Comme tous les hybrides, on imagine de suite une liste de compromis désagréables… Et pourtant, une fois n’est pas coutume, le joujou tient ses promesses !




C’est quoi ?
Fondamentalement, c’est un Nokia Lumia typique qui roule donc sous Windows Phone. En revanche, ce qui le différencie des Lumia 925 ou 928, c’est qu’il est couplé d’un appareil photo Pure View de 41 mégapixels, et qu’il dispose d’un poil plus de RAM. Reste à noter que nu, il vous délestera de quelques 700€.

Nokia Lumia 1020

Design
Le Nokia 1020 est un amalgame d’éléments disparates qui se réunissent dans un corps résistant constitué de polycarbonate mat. L’avantage est qu’il possède une excellente adhérence et ne risquera pas de vous sauter des mains comme le ferait un Nexus 4 ou un iPhone, par exemple.
Le dos de ce Lumia 1020,supplanté par son capteur de 41 mégapixels, n’a pas tout à fait la courbe prononcée du modèle 920, et offre un bon compromis par rapport au Lumia 928. S’il n’y avait pas ce capteur, le mobile serait franchement mince. Malgré cela, la lentille est extrêmement bien intégrée. Si elle perturbe la forme élégante et sage des traditionnels Lumia, ce n’est pas forcément pour déplaire. L’objectif lui-même attire le regard, à l’image de l’œil d’un cyclope ou de Leela de Futurama. Toutefois, c’est une bosse qui est assez facile à oublier une fois que le 1020 sera en sécurité dans votre poche. Le constructeur le sait, et n’avait d’ailleurs pas hésite à railler Samsung et son Galaxy S4 Zoom, loin d’être en mesure d’entrer dans toutes les poches aussi facilement.
Alors qu’il est plus épais et plus lourd que ses concurrents mobiles, il n’est pas outrageux : le 1020 ne pèse 158g, il est plus léger que le Lumia 920, et juste un tantinet plus lourd que le HTC One et ses 143g.

Nokia Lumia 1020

On a aimé
Si l’on passe outre son capteur 41 mégapixels, le téléphone est intrinsèquement typique : il reprend le même processeur, le même OS, la même autonomie de la batterie (décente, mais elle aura du mal à tenir une journée complète), et le même bel -si légèrement sursaturé- écran du Nokia 928 (notre test ici). C’est-à-dire, qu’il n’y a pas de surprises du point de vue des performances, et le Go de RAM supplémentaire ne change globalement pas la donne. Du reste Windows Phone est certes fonctionnel, mais pas encore au niveau d’Android ou iOS. Mais, objectivement, si vous êtes intéressés par le Lumia 1020, c’est sans doute pour sa caméra.
Et oui, elle assure. Plus précisément, le Nokia Lumia 1020 va être capable de prendre simultanément une image de 38 megapixels et une de 5 megapixels. Aussi, Nokia a tenu à faire le focus sur la gestion du zoom de son Lumia 1020 : avec son capteur de 41 megapixels, il ne va pas « perdre » énormément de pixels en zoomant, ce qui signifie par exemple que vous allez pouvoir zoomer en 6x en rognant l’image de base, sans perdre en qualité.
En plus de cela, Nokia a intégré à son smartphone une nouvelle application : Nokia Pro Camera, qui va vous donner accès plus simplement aux réglages manuels lors de prises de vues. Pour passer du mode simple au mode pro, il suffit de cliquer sur un bouton sur l’écran et une interface aussi soignée que complète apparaît. De là, elle vous offre un contrôle manuel de tous les réglages de l’appareil, de la balance des blancs aux ISO. La mise au point manuelle est bluffante et supérieure à tout ce qui existe sur le marché des APN de smartphones actuellement. La stabilisation optique de l’image fonctionne à merveille et permet d’obtenir des vidéos et photos en basse luminosité qualitatives. Le flash au xénon fournit quant à lui un éclairage plus naturel que les LEDs. S’ajoute un objectif grand-angle d’ouverture f/2.2 qui offre une meilleure profondeur de champ et soutient le photographie en faible luminosité.

Pour vous faire une meilleure idée, rien ne vaut un petit comparatif.
En plein jour
En plein jour, sans zoom, le seul à s’approcher de la qualité du Lumia 1020 est le HTC One. Mais en utilisant le zoom, on se rend bien compte que le suréchantillonnage fait une énorme différence. Le 1020 vous permet d’obtenir une énorme quantité de données supplémentaires et cela se ressent.
En plein jour zoom
En amenant le zoom aussi loin que vous le pouvez sur le 1020, les résultats seront décevants, mais parallèlement supérieurs à ceux proposés par n’importe quel concurrent. Donc…
Basse lumière
Concernant ses capacités avec cette traîtresse de basse luminosité, voyez cette photo prise dans d’horribles conditions…
Couleurs

Quant aux couleurs, observez ce bouquet de fleurs ci-dessous. Le HTC One et l’iphone ont tendance à saturer, alors que les deux Lumia obtiennent une représentation plus fidèle. De plus, celle du Lumia 1020 est particulièrement esthétique.
On n’a pas aimé
Parler d’une résolution de 41 mégapixels est un peu un abus de langage. Comme son prédécesseur le 808 Pure View basé sous Symbian, l’appareil photo utilise tous ces megapixels pour au final générer des images de 5 mégapixels. En pratique, ce suréchantillonnage vous permet également de zoomer sur une petite partie d’une image sans perte de qualité. C’est une technologie impressionnante qui vient avec l’inconvénient de ralentir un tantinet la caméra. Ce supplément d’1 Go de RAM n’empêche pas ce décalage au seul endroit où vous espéreriez qu’il le pourrait.
Le second (et dernier) point qui nous a semblé discutable concernant ce Lumia 1020 est relativement minime. Si vous le souhaitez, il vous suffit de tenir le téléphone et de prendre une photo en utilisant le bouton latéral du 1020 ou le bouton de l’obturateur sur l’écran. Mais pour vraiment profiter de toutes les capacités de la caméra du téléphone, vous allez avoir à utiliser la nouvelle application « Pro Camera » de Nokia. Un intermédiaire de qualité certes, mais un intermédiaire tout de même.

Nokia Lumia 1020

Et alors, j’achète ?
En termes de qualité d’image et de fonctionnalités, le Lumia 1020 a le meilleur appareil photo qui n’ait jamais été implanté dans un smartphone. Haut la main. Et c’est aussi un téléphone très capable : il est rapide, et son écran est tout aussi vif et merveilleux que celui du 928. Pour la première fois de son histoire, l’humanité a fait un téléphone qui est vraiment capable de réunir ces 2 critères simultanément, sans être une monstruosité En revanche Windows Phone s’améliore grandement et tend à devenir incontournable.
On ne vous la fera pas, l’autre grand inconvénient du 1020, c’est indéniablement son prix, d’autant plus pour un Windows Phone, non pas qu’il soit moins qualitatif, mais il reste moins abouti que ses concurrents. Si vous êtes adepte de Windows Phone et que vous souhaitez un dispositif de communication capable de prendre des photos de qualité supérieure, allez-y les yeux fermés.

Des écrans 4K sur smartphones dès 2015

Si les écrans QHD (2K) devraient devenir une nouvelle norme pour le haut de gamme en 2014, la prochaine génération d’écrans pourrait arriver beaucoup plus vite que prévu. Les premiers écrans UHD pour smartphones seraient attendus pour courant 2015.

Le Mobile World Congress de Barcelone devrait être l’occasion de découvrir une nouvelle génération de smartphones équipés d’écrans QHD (2K). Selon le groupe Display Search, le smartphone QHD devrait représenter un très gros potentiel pour les fabricants, qui vendraient jusqu’à 41 millions de terminaux QHD en 2014. Pour la comparaison, les écrans Full HD devraient équiper 570 millions de terminaux cette année.
Si le QHD devrait progressivement dévorer les parts de marché du Full HD, il devrait très vite être remplacé par un nouveau rival, l’UHD (4K), qui débarquera courant 2015 et pourrait représenter 23 millions d’unités dès la première année.
Selon toute vraisemblance, les fabricants pourraient également profiter du Mobile World Congress pour présenter leurs premiers terminaux 4K. Mais il s’agira bien sûr de l’édition 2015 du salon du mobile.
Une véritable course à la très haute résolution, qui devrait permettre au marché du mobile de poursuivre sa croissance quelques années encore.


Les smartphones chinois 

Le marché des GSM Chinois a évolué en quelques années passant du téléphone Chinois bas de gamme à des smartphones Chinois pouvant parfois rivaliser avec des appareils de Grandes marques.(Tactile capacitif 4.3" avec CPU double coeur, double sim simultanée, GPS, Wifi sous Android 4....)
Smartphone Chinois vous présente simplement comment faire votre choix pour découvrir votre prochain smartphone Chinois parmis tous ceux que vous pourrez trouver sur le net

Pourquoi Acheter un Smartphone Chinois ?

Pourquoi Acheter un Smartphone Chinois ?
Les points positifs
-Quasiment tous les Smartphones Chinois sont Double Sim
L'utilisation des deux sims est simultanées (1 sim en 3G et l'autre en GSM), vous pourrez donc recevoir et émettre des apples sur la Sim 1 et Sim 2 ou seulement Sim 1 en désactivant la sim 2 et vis-versa.
-Les Smartphone Chinois avec CPU MT6575, MT6575 ou MT6577 sont compatible 3G France dont SFR, Orange, free mobile ou Bouygue tel.
MT6575 650Mhz
MT6575 1Ghz
MT6577 1Ghz Dual core
-Les nouveaux Smartphone Chinois fonctionnent sous Android avec le Google Pay pour télécharger des applications Gratuitement.
-Les Smartphone Chinois suivent la tendance des Smartphones tactile avec Grand écran capacitif (Utilisation avec le doigt comme le Iphone), les tailles d'ecran vont jusqu'à 6 pouces pour les plus grand Smartphones Chinois.
-Les Smartphone Chinois Integrent des Puces GPS et A-GPS qui permettent un positionnement ou navigation via Google Map par exemple (inclu dans tous les Smartphone Chinois Android)
-Chaque Smartphone Chinois est livré avec deux batteries amovibles pour une meilleur autonomie.
-Le prix est souvent bien en deçà des Smartphone de Grande marques soumises à plus de coût (mains d'oeuvre, publicité,recherche et innovation technologique)

Les Points négatifs:
-Le Design est souvent très proches du design de Smartphones de grande marques (design éprouvé et demandé par le publique)
-Ces produits sont souvent destiné aux marché Chinois ou à l'export donc il faut souvent les importer via des sites internet (Voir ou acheter)
-Aux Normes Chinoise ces téléphones ne disposent pas des information DAS.
-La Garantie fabriquant se fera en Chine donc il est important de bien choisir votre vendeurs qui devra réceptionner votre Smartphones Chinois pour le faire réparer par le fabriquant en cas de SAV.
-Ne succombé pas aux Smartphones Chinois trop peu cher car mémé en Chine la qualité à un prix et un smartphones Chinois digne de ce nom doit avoir un coût raisonnable (En moyenne 150€)

Ou Acheter un Smartphone Chinois?


Sciphone.fr est un Site Spécialisé dans les Smartphones Chinois en Direct de Chine.
+Les administrateurs sont Français.
+SciPhone est basé à Shenzhen en Chine pour une meilleur proximité et réactivité avec les fabriquants (SAV, accessoires, pièces detéchées...)
+Les smartphones Chinois partent de leurs locaux (et non un sous-traitant Chinois) et sont testé avant envoi aux clients, en Imei 35 et paramétrés en Français avec Clavier AZERTY.
+Tous les Smartphones Chinois sont testés en Vidéos par le JT Geek qui en détail les plus et les moins pour vous aider dans votre choix.
+La Boutique est lié à un Blog JTGeek.com qui parle de l'actualité High-Tech à Shenzhen-Chine mais également des nouveautés Smartphones Chinois et reprend donc les Test JT Geek.Vous pourrez ainsi lire les commentaires des autres acheteurs sur ces modèles.
+Un Forum commun à SciPhone et JTGeek est également disponible pour toutes les questions techniques, utilisations ou configurations.
SciPhone.fr, The Chinese GSM Shop

Combien acheter un smartphone Chinois?

En Chine et sur Internet aussi tout a un prix.Un prix bas, ou un prix beaucoup plus bas que chez les autres vendeurs est souvent un signe précurseur.
-Ne cherchez pas le téléphone le moins cher du marché ressemblant à.... mais un téléphone dont vous aurez l'utilité.
-Les vendeurs qui vendent à prix coûtant n'existe pas mais certain vendeurs préfèrent parfois miser sur de gros volumes de vente à faible marge que sur la qualité (appareils et services), il en résulte souvent une absence de communication/services avec des vendeurs qui ne parlent que Chinois ou très mal l'Anglais (quand ils vous répondent)
Comme pour tout achats avant d'acheter un Smartphone Chinois il vous faut définir vos besoins.
-Un Smartphone Chinois pour aller sur Internet ?
Dans ce cas il vous faudra un Smartphone Chinois 3G (Par ex avec CPU Mediatech MT)
-Smartphone Chinois avec pavé Numerique, clavier Physique ou tout tactile.
Quelle taille pour votre future Smartphone Chinois tactile ?
3.5" >> Un peu petit (type Iphone)
4.0 >> le plus courant actuellement (Iphone 5)
4.3" ou 4.5" >> Courant chez samsung Avec le S2, LG....
4.8" >>Misant plus sur la longueur format 16:9e type Galaxy S3
5" à 5.3" >> Gros smartphone Chinois format Galaxy note Samsung
6" >> Gros smartphone Chinois ou petite tablette
-Android est présent sur quasiment tous les nouveaux smartphones Chinois 3G et vous assure l'installation d'application via le Google Play et une utilisation Internet / multimedia
Comptez entre 130€ et 150€ pour un smartphone Chinois entrée de Gamme
Entre 160€ et 200€ pour Smartphone Chinois digne de ce nom
Entre 200€ et 300€ pour les smartphones Chinois haut de gamme (écran 3D, Sortie HDMI, Nouveau CPU dual core, ecran HD ou QHD...)


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Test : Wiko Cink Peax 2

wiko
LesMobiles.com vous propose le test du Wiko Cink Peax 2. Qu'on aime ou pas la marque, on ne peut pas tergiverser : Wiko a explosé le rapport entre qualité et prix des smartphones en France. Après un Slim acclamé, un Peax décevant et quelques modèles étranges entre les deux, le constructeur chinois revient avec un Peax 2 très prometteur.

Le Peax était une tentative de percer au-delà de l'entrée de gamme vers un positionnement plus milieu de gamme. Malheureusement, le smartphone était très mal fini, et nous avions testé plusieurs modèles qui avaient tous un problème différent. Vendu à peine 169€ nu, le Peax 2 devrait être une version améliorée du Peax, naturellement, et l'on espère que les soucis rencontrés sur le grand frère ne se retrouveront plus sur ce nouveau modèle.
Comme sur le Peax premier du nom, on trouve un écran IPS défini en 960x540 pixels de 4,5 pouces, ce qui est tout à fait convenable pour un smartphone d'entrée/milieu de gamme. Le Peax 2 tourne avec un processeur MediaTek MT6589, quadruple coeurs cadencé à 1,2 GHz. Ce processeur est épaulé par 1 Go de RAM et une puce graphique PowerVR SGX544 qui devrait servir pour faire tourner des jeux vidéo mobiles.
Côté photographie, le Wiko Cink Peax 2 embarque un capteur 8 mégapixels permettant d'enregistrer des vidéos en 1280x720 pixels, soit du HD 720p. On trouve autour de ce capteur toutes les technologies de base : autofocus, flash, rafale (gérée par Android). Enfin, si le Peax 2 reste un appareil 3G (jusqu'à 21 Mbit/s en réception), il faut savoir que le smartphone dispose de 2 emplacements pour ajouter des cartes SIM.
Peu de choses ont changé donc depuis le Peax premier du nom... et pourtant, ce rafraîchissement n'est pas surfait.


Test Wiko Cink Peax 2


Huawei Honor 4 : le processeur octo-coeur MT6592 se confirme une nouvelle fois

huawei
Le Huawei Glory/Honor 4 se dévoile encore un peu plus. Un site chinois révèle la plupart des composants qui prendront place aux côtés des huit coeurs du MediaTek MT6592 que lui prêtent déjà plusieurs rumeurs.

Huawei est au centre des rumeurs ces derniers jours, des rumeurs plus que prometteuses concernant deux de ses smartphones à venir. D'un côté, nous avons son Huawei Ascend P6S censé apporter les performances qu'il manquait à l'Ascend P6 premier du nom pour en faire un terminal véritablement intéressant, grâce à un nouveau processeur maison. De l'autre, nous avons son Glory 4, ou Honor 4, supposément équipé du premier véritable processeur octo-coeur de Mediatek (MT6592). Entendez par là que ses huit coeurs pourraient être actifs en même temps, contrairement à la configuration big.LITTLE des Exynos de Samsung n'autorisant jusqu'ici que le fonctionnement d'un groupe de quatre coeurs à la fois.
Alors que les rumeurs au sujet du premier peinent à accorder leur violon, celles concernant le deuxième ne laissent guère place au doute. Et voilà que sa fiche technique en fuite vient une nouvelle fois les appuyer.
Un smartphone haut de gamme à prix cassé
Selon MyDrivers, le smartphone offrirait des caractéristiques particulièrement intéressantes compte tenu du prix généralement appliqué à la gamme Honor. Aucun indice concernant la taille de l'écran qui équipera cette 4ème génération, il y est néanmoins rapporté qu'il afficherait une définition de 1280 x 720 pixels. En son coeur, le MT6592 et ses huit coeurs cadencés à 1,7 GHz auraient pour tâche de faire tourner Android 4.2.2 Jelly Bean accompagné de la dernière version de la surcouche de Huawei, Emotion UI 2.0. S'ajouteraient à cela 2 Go de RAM et 16 Go de stockage interne. La prise de vue reposerait, quant à elle, sur des APN 13 mégapixels à l'arrière et 5 mégapixels à l'avant.
Ainsi paré, le Honor 4 aurait pour mission de rivaliser avec le fameux Red Rice de Xiaomi. Une indication qui, si elle s'avère vraie, confirme que le prix de l'appareil sera très compétitif. Il faudra malheureusement attendre son annonce officielle pour en avoir le coeur net, ce qui pourrait prendre encore quelques mois dans la mesure ou son prédécesseur n'était officialisé qu'à l'été dernier...

Huawei Honor 4


Goophone N3 : une bonne copie du Samsung Galaxy Note 3 ?


Jusqu’à présent, les copies du fabricant chinois Goophone ne faisaient pas d’ombre à leurs illustres modèles. Mais avec le N3, celui qui s’est rendu célèbre en plagiant les designs d’Apple et Samsung propose une phablette techniquement pas si ridicule.

Souvenons-nous : les Goophone 5, 5S et 5C sont des imitations chinoises sous Android et très économiques des derniers modèles de smartphones d’Apple. Des mobiles aux spécifications techniques limitées et sans aucune commune mesure avec leurs onéreux modèles. Chipset dual-core. 512 Mo de mémoire vive. 8 Go maximum de stockage interne. Bref : de l’entrée de gamme sans saveur. En début de semaine, Goophone a intégré un nouveau modèle dans son catalogue réunissant les reflets bons marchés des flagships d’Apple et Samsung : le N3. Réflexe conditionné, nous avons aussi pensé qu'i s'agissait une fois encore d’un simple plagiat bas de gamme du Galaxy Note 3, troisième modèle de Samsung à subir ce traitement de faveur après le Galaxy S4 et le Galaxy Mega. Or, le N3 de Goophone est commercialisé près de 300 dollars, ce qui n'est pas donné pour la marque chinoise. De quoi nous interpeller.
Goophone N3
Une copie certes, mais pas si ridicule
Et première surprise, le Goophone intègre le fameux chipset octo-core de MediaTek, le MT6592, lequel a récemment été vu accomplissant quelques miracles sur le benchmark AnTuTu. Au coeur du N3, les performances du chipset ne sont pas étonnantes, mais respectables : 26000 points selon la capture d’écran officielle. A ses côtés, un écran 5,7 pouces Full HD (tailles et résolutions égales au Note 3), un capteur 13 mégapixels (comme l’original) et Android Jelly Bean 4.2 sans surcouche. Outre l’absence de 4G, remplacée par de la 3G+, quelques concessions supplémentaires sont faites vis-à-vis de la configuration du flagship coréen : 2 Go de mémoire vive (contre 3 Go), batterie 2800 mAh (contre 3200 mAh), 16 Go d’espace de stockage (contre 32 Go). Seule vraie bonne surprise : le capteur visio est ici de 5 mégapixels, contre 2 mégapixels pour le Note 3.
Actuellement en précommande sur le site officiel de Goophone, le N3 sera disponible courant décembre. Les premiers exemplaires sont arrivés dans les rédactions de certains sites chinois, comme GizmoChina qui a publié une première prise en main à retrouver en vidéo ci-dessous.


Vivo Xplay3S : le 1er smartphone avec écran Quad HD pourrait être annoncé le 12 décembre

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Vivo vient de lancer les invitations pour l'annonce de son Xplay3S. Ce nouveau modèle pourrait être le premier smartphone équipé d'un écran Quad HD.

Généralement, lorsque nous évoquons des smartphones équipés d'un écran Quad HD, c'est plutôt au futur. Début 2014 en ligne de mire, disons. Pourtant, le premier modèle de la sorte pourrait ne plus être si loin. Il s'agirait du Vivo Xplay3S, une phablette évoquée par de nombreuses rumeurs au cours de ces dernières semaines, mais restant encore à être officialisée. Nous n'avions malheureusement encore aucune date concernant cette annonce qui risque bien de faire grand bruit, jusqu'à aujourd'hui.
Le premier smartphone à écran Quad HD avant la fin d'année
Nos confrères de GizChina auraient récupéré l'invitation que vous trouverez ci-dessous depuis la plateforme communautaire weibo. Baptisé Let' Xplay, l'événement concerné a été fixé au 12 décembre prochain, soit dans à peine plus de deux semaines. Aucun doute sur ce qui y sera présenté, l'invitation inclut également un petit programme indiquant l'heure exacte de la présentation du Xplay3S. A compter du 12 décembre, 21h30 heure locale, Vivo sera logiquement le premier constructeur à annoncer un smartphone doté d'un écran de 5,5" capable d'afficher une définition de 2560 x 1440. Si les rumeurs s'avèrent vraies, évidemment. Un concurrent de poids pour le Galaxy Note 3 de Samsung, auquel il n'a d'ailleurs rien à envier.
Outre son écran à la définition inégalée, le Vivo Xplay3S pourrait également être équipé d'un processeur quad-core Snapdragon 800, 3 Go de RAM mais aussi d'un APN reposant sur une optique ultra-lumineuse ouvrant à f/1.8. Dommage qu'il ne sorte probablement jamais des frontières chinoises...

Attention si vous mettez à jour votre Nexus 4
en OTA vers Android 4.4
androidGoogle vient à peine de débloquer la mise à jour OTA vers Android 4.4 du Nexus 4 que certains utilisateurs se plaignent déjà de problèmes relativement handicapant pour son utilisation. Si vous ne souhaitez pas attendre une résolution du problème, nous conseillons donc d'être prudent en réalisant la mise à jour.
La nouvelle version d'Android, la 4.4 alias KitKat, n'arrive pas qu'avec des nouveautés, mais avec aussi des bugs ! Les utilisateurs qui ont mis leur Nexus 4 à jour, passant de la version Android Jelly Bean JWR66Y à la version Android KitKat KRT16S, sont susceptibles d'avoir quelques bugs, dont ceux déjà rapportés :
  • Des problèmes avec l'écran de verrouillage
  • Le composeur de numéro qui ne marche plus
  • Le bouton "Home" qui ne marche plus
  • Des soucis au niveau des "quick settings" (ceux obtenus à partir de la barre de notifications)
Pour l'instant Google n'a pas encore fait de déclarations à ce sujet. Toutefois, nous vous proposons plusieurs solutions si cela vous arrive. Tout d'abord, installer une image d'usine afin de réinitialiser complètement le téléphone. La méthode n'est donc pas sans risque de perte de données : prévoyez une sauvegarde. Seconde solution qui ne détruira pas vos données mais qui est réservée aux connaisseurs : l'utilisation du shell ADB. Avec un téléphone en mode debug branché à votre ordinateur, entrez cette commande : "adb shell am start -n com.google.android.setupwizard/.SetupWizardTestActivity" pour que la plupart des bugs (si ce n'est la totalité) disparaissent comme par magie.
Avec ces problèmes, vous vous demandez sûrement si vous devez faire la mise à jour OTA si elle se présente ? Le choix final vous appartient naturellement. Et il y aura toujours le forum pour vous aider si jamais cela se passe mal. Toutefois, rien ne vous oblige à vous précipiter.

ZTE pourrait présenter un Grand S II au CES 2014

zte
ZTE préparerait un successeur à son Grand S présenté en tout début d'année. L'appareil, logiquement baptisé Grand S II, serait déjà apparu dans la base de données d'AnTuTu dans une variante dual-SIM.

Avec le CES 2014 qui se profile à l'horizon, l'actualité de ces prochaines semaines risque fort bien d'être chargée en rumeurs. En effet, il est plutôt logique que les constructeurs soient désormais en train de peaufiner les nouveautés qu'ils y présenteront, ou simplement de vérifier le bon fonctionnement de leurs prototypes. Dans le cas des smartphones, le recours aux benchmarks semblent alors être un passage forcé. Et si l'on s'en tient à la base de données d'AnTuTu, il y a fort à parier que ZTE ne manquera pas la grand-messe de Las Vegas l'année prochaine.
Nos confrères de GSMInsiders y ont fait une découverte intéressante : un certain ZTE Grand S II Dual associé à un score de 33 357 points. De toute évidence, le constructeur a décidé de reconduire son modèle phare présenté au CES 2013 avec, une nouvelle fois, les meilleurs équipements disponibles sur le marché. Difficile d'imaginer un processeur autre que le Snapdragon 800 de Qualcomm derrière un tel score. Il est en effet équivalent à ceux atteints par les Samsung Galaxy Note 3, Sony Xperia Z1 ou autre LG G2, bel et bien équipés de cette puce.
Score ZTE Grand S II Dual
Ce score prometteur, c'est néanmoins le seul indice à notre disposition aujourd'hui. En revanche, puisque le Chinois avait déjà fait un sacré bond en avant avec son premier Grand S, il est probable que ce nouveau modèle en reprenne certaines des caractéristiques. On pense notamment à son écran Full HD (1920 x 1080 pixels) de 5", ou encore à son APN 13 mégapixels, toujours dans la moyenne actuelle. Espérons en revanche qu'il opte pour une batterie un peu plus généreuse (soit plus de 1780 mAh), quitte à faire un trait sur le titre de smartphone le plus fin au monde lors de son annonce...
Si la référence répertoriée par l'outil de benchmark suggère évidemment qu'il s'agit là d'un modèle dual-SIM, il est probable qu'une variante à une carte SIM soit également prévue. Tout devrait logiquement nous être dévoilé lors du CES 2014 qui ouvrira ses portes le 7 janvier prochain.



Test de la Nexus 7 - 2013              

On ne change pas une équipe qui gagne. Google a de nouveau fait appel à Asus pour fabriquer la deuxième génération de Nexus 7. Le premier modèle proposait un excellent rapport qualité/prix. À partir de 199 €, on avait une petite tablette Android bien finie, aux bonnes performances et assurée de recevoir immédiatement les mises à jour du système.
Qu’apporte la nouvelle Nexus 7 ? S’agit-il d’un rafraichissement mineur ou au contraire d’une évolution qui vaut le coup de repasser à la caisse ? Le rapport qualité/prix est-il toujours aussi intéressant ? Réponses dans notre test de la Nexus 7 2013.

 

Un nouveau design avec des ajouts importants

Le design de la tablette a sensiblement évolué entre ces deux versions. La nouvelle Nexus 7 étonne par sa compacité. Elle pèse 290 g, soit 50 g de moins que sa prédécesseure. Elle est aussi moins épaisse et moins large, mais très légèrement plus longue — 200 × 114 × 8,65 mm contre 198,5 × 120 × 10,45 mm.


À gauche, la nouvelle Nexus 7, et à droite, celle de l’année dernière.
Tenue en mode portrait, la Nexus 7 2013 est très longiligne en raison de son écran 7" au format 16/10 et de ses bords latéraux plus minces. Ces mensurations peuvent surprendre, surtout quand on a l’habitude d’utiliser un ipad mini (écran 4/3) plus large. Le format 16/10 est évidemment bien adapté au visionnage de vidéos, mais il est aussi moins polyvalent que le 4/3. 
C’est certainement en navigation web que ce format se révèle le moins pratique. Les pages web sont affichées tout en longueur, de manière plus étroite qu’en 4/3. On a alors plus souvent besoin de zoomer dans la page d’un site qui n’a pas été pensé pour les tablettes. On peut bien sûr utiliser la Nexus 7 en orientation paysage pour retrouver une bonne largeur de page, mais c’est alors la hauteur qui en pâtit, obligeant de défiler fréquemment. Le format 16/10 n’est toutefois pas du tout rédhibitoire, il s’agit surtout d’une affaire de goût et d’utilisation.


L’emplacement de la prise Jack 3,5 mm a aussi changé. Elle est située sur le haut de la nouvelle tablette.
La prise en main de cette nouvelle Nexus 7 change également en raison de sa face arrière complètement différente. Fini le plastique perforé et gommé dont la texture était censée rappeler les gants de Steve McQueen, il a été remplacé par un plastique mat uniforme plus classique. Celui-ci est de bonne qualité, mais on perd la petite touche d’originalité agréable de la première Nexus 7.
Asus a ajouté sur la partie inférieure de la face avant une LED blanche. Elle sert de voyant de notifications. Android ne permet pas de contrôler quelles applications peuvent se servir du voyant, on peut seulement le désactiver dans les réglages.



Autre ajout, plus significatif, un second haut-parleur situé en haut de la face arrière. Asus évoque un son stéréo surround optimisé par Fraunhofer, un institut allemand spécialisé dans l’audio qui a notamment inventé le format MP3. Malgré cette caution, le rendu sonore n’est toujours pas mirifique. Le rendu sonore est un peu plus précis, mais le volume maximal reste au même niveau et on portera un casque ou des écouteurs pour vraiment apprécier l’ambiance d’un jeu ou de la musique. Le fait qu’il y ait deux haut-parleurs permet toutefois de changer de main en orientation paysage sans totalement obstruer le son.



Toujours au dos de la tablette, une caméra arrière de 5 mégapixels avec autofocus fait son apparition. Les photos prises sont de qualité moyenne et assez bruité. L’absence de flash ne facilite pas les choses. La caméra frontale reste à 1,2 mégapixel.

 

 

La Nexus 7 s'habille en KENZO pour la Paris Fashion Week

Qui n’a jamais revé d’assister à un défilé d’une grande maison de mode, installé au premier rang, entouré de stars et des plus grandes rédactrices en chef du monde entier? Qui n’a jamais souhaité offrir à sa tablette le plus beau et le plus tendance des écrins? C’est dès à présent possible grâce à une collaboration exclusive entre Google et KENZO.

 

WICKO

La famille s’agrandit chez Wiko et nos derniers modèles sont bien rangés dans leur boite. L’échographie nous montre de superbes faux jumeaux !
En effet, on trouve un grand gabarit, le DARKSIDE, avec un écran 5,7 pouces haute définition, un appareil photo numérique de 12 mégapixels, et on trouve également un modèle aux dimensions plus petites mais au caractère bien trempé : le STAIRWAY, un 5 pouces HD avec un APN de 13 mégapixels.

Tous deux disposent d’un processeur quad core 1,2 GHz, d’une mémoire embarquée de 16 Go et d’une caméra frontale de 5 MP. Côté design, ils sont tous les deux conçus avec des finitions aluminium !

La gamme de smartphones Wiko est fertile et promet encore de belles surprises avant la fin de cette année !



Doutes sur le rachat de BlackBerry par le fonds Fairfax

Pas de conférence téléphonique de présentation, ni de traditionnelle séance de questions-réponses avec les analystes. Pour la publication, vendredi 27 septembre, des résultats du deuxième trimestre, BlackBerry, le fabricant canadien de smartphones, a fait profil bas.

Et pour cause, les résultats sont désastreux : la perte nette s'élève à 965 millions de dollars (712 millions d'euros), soit près de dix fois plus qu'au trimestre précédent. BlackBerry invoque une provision de 934 millions de dollars passée sur les stocks invendus du Z10, le smartphone qui était supposé remettre le groupe sur les rails...

Incapable de rivaliser avec les produits des géants comme Apple et Samsung, BlackBerry, autrefois star du mobile, a, peu à peu, vu son image se ringardiser et ses ventes s'écrouler. En quelques années, le canadien est devenu un acteur de seconde zone sur un marché qu'il a pourtant largement contribué à populariser. Au dernier trimestre, il ne représentait plus que 2,6 % des ventes de smartphones dans le monde. Vendredi 20 septembre, il a annoncé la suppression...