jeudi 5 décembre 2013

PROJETS LYON 2014

Optimod'Lyon : un projet pour faciliter la mobilité quotidienne

L'ancienne capitale des Gaules va mettre en place un système innovant afin de rendre les déplacements plus efficaces au quotidien. Si l’agglomération de Lyon dispose de nombreuses infrastructures de transports et de services, ici comme ailleurs, toutes ces données sont éclatées entre les différentes organisations (la Région, la SNCF, les conseils généraux, le Sytral, l’Etat, les sociétés d’autoroutes, le Grand Lyon) qui gèrent les transports. La solution ? Regrouper ces infos et les restituer sous la forme d'un navigateur unique. C'est l'objectif du projet Optimod'Lyon, labellisé par l'Ademe et inscrit dans les Investissements d'Avenir.

Avec l'aide de partenaires comme IBM, Orange, Renault Trucks et Autoroutes Trafic, le projet va élaborer pendant 36 mois un "entrepôt de données", qui sera complété par des données issues de nouveaux capteurs fixes et mobiles.
L'objectif est de proposer d'ici 2014 au plus tard des services innovants sur le Grand Lyon :
- une prévision de trafic à 1h (une première en Europe dans le contexte urbain), ce qui permettra d’optimiser le système de gestion des 1500 carrefours à feux de l’agglomération, qui assure la priorité aux transports en commun et la fluidité du trafic routier.
- le développement d’un navigateur tous modes, temps réel, sur téléphonie mobile, qui sera une première en Europe et sans doute au niveau mondial. Ce service développera un calculateur multimodal donnant toutes les options modales pour aller d’un point A à B sur le territoire, en fonction de différents critères. Il intégrera les alertes en temps réel en cas d’imprévus, et toutes les fonctions associées au GPS et permettra de fournir à l’usager un véritable outil de navigation urbaine en temps réel.
Par ailleurs, le projet comprend un volet sur le transport de marchandises. Il prévoit le test d’un outil d’optimisation des tournées pour les opérateurs de fret urbain et d’un outil de guidage sur mobile pour les conducteurs de fret, intégrant la topologie fret des réseaux (les hauteurs des ponts, les rayons de courbure, les ondes vertes…), les données trafic historisées, temps réel et prévisionnel à 1h, ainsi que la disponibilité des aires de livraison qui seront instrumentées.
C'est une illustration concrète de ce qu'on appelle les ITS : les systèmes de transport intelligents.


Le nouveau pont qui va souder Gerland à Confluence

pont ()

Cet ouvrage sera entièrement dédié aux modes doux. Il accueillera notamment le tramway T1, prolongé jusqu'à Debourg.
Pas seulement un pont. C'est le message que font passer élus et Sytral au moment de présenter le nouvel ouvrage qui va enjamber le Rhône et relier Gerland à Confluence, le parc des Berges au parvis du futur musée des Confluences. Plus qu'un pont donc, c'est un ouvrage d'art gracile, élancé avec deux arcs de 17,50 mètres de hauteur, visibles depuis l'A7. C'est aussi "une nouvelle relation" que tissent les deux quartiers sud de Lyon. Les élus espèrent que la dynamique qui embrase la Confluence profitera un peu à son voisin, à la peine. C'est enfin un équipement dédié au tram, aux vélos et aux piétons, qui marque la priorité donnée aux modes doux.

pont ()

Un belvédère sur le Rhône et Confluence
Conçu par l'architecte Alain Spielmann, cette passerelle ne sera pas parallèle au pont Pasteur, mais de biais en raison de contraintes routières. "Nous avions sinon un noeud autour de la place Meirieux", explique Bernard Rivalta, le président du Sytral. Cette position offrira une vue singulière sur la Confluence. Un belvédère sur l'eau est d'ailleurs aménagé où il sera possible de pique-niquer. "La confluence entre deux fleuves, c'est un point singulier, comme un pic. Un lieu magique", commente l'architecte. Le pont symbolisera aussi l'entrée sud de Lyon, le premier pont visible depuis l'A7.
Cet ouvrage, d'un coût de 18,7 millions d'euros, va constituer la plus grande travée de Lyon - la travée étant la largeur du pont, mesurée entre les deux piliers. Mais il aura bientôt un petit frère, le pont des Girondins, routier celui-là, prévu plus au nord.

plan TCL ()

4 ou 5 stations de plus pour T1
Cette passerelle sera achevée fin 2013. Elle précédera la mise en service du prolongement de T1, prévue pour le premier trimestre 2014. Cette extension (2,3 km) dessert le musée, la halle Tony Garnier, l'Ecole normale supérieure de Lyon, la Cité scolaire internationale et une partie de l'université Lyon 1.
Au final, la ligne T1 va comporter quatre stations supplémentaires : Musée des Confluences, Halle Tony Garnier, Marcel Mérieux proche de la place des Pavillons, et Debourg, son terminus. Et peut-être même une 5e entre Montrochet et le musée, pour mieux desservir la tranche sud du Confluent. Ce prolongement permet une connexion avec le métro B. "Il préfigure de la future rocade A7 de transport en commun vers Grange-blanche, Gratte Ciel et la Doua", indique le Sytral.



Et si le téléphérique s'invitait dans la campagne de 2014 ?

Capture d’écran 2013-06-21 à 17.08.58 ()


Eric Lafond propose un "aérotram" entre Perrache, Fourvière, Croix-Rousse et Tête-d'Or. Georges Fenech et les écologistes l'envisagent aussi pour desservir les reliefs de l'Ouest lyonnais. Le transport par câble combine plusieurs avantages, à commencer par son coût.

C'était la botte secrète de Georges Fenech au moment de sa lancée en campagne dans la primaire UMP, lui qui était supposé ne pas avoir de programme. C'est aussi l'une des alternatives au périphérique ouest avancées par les écologistes, pour desservir l'Ouest lyonnais. Le téléphérique – autrement dénommé transport par câble – fait son grand retour dans le débat public. Il est vrai qu'il sied particulièrement au relief lyonnais.

20 minutes d'un terminus à l'autre

Le dernier à le proposer est Eric Lafond, conseiller d'arrondissement et candidat autoproclamé aux municipales de Lyon. Le centriste s'est largement inspiré des travaux du club de l'Ours (Ouvrage, Urbanisme, Réflexion, Société, un think thank) qui avait présenté des esquisses l'an dernier (voir vidéo ci-dessous). "Contraindre l'usage de la voiture a eu un impact positif. Mais notre conviction, c'est que les automobilistes qui pouvaient faire autrement ont déjà fait autrement", analyse l'élu. D'où l'avantage de son "aérotram" : ne plus impacter les voiries. Il préconise une ligne rocade qui relie notamment les deux collines de Lyon, Fourvière et la Croix-Rousse : Perrache, Saint-Irénée, le cimetière Loyasse, le fort Loyasse, le fort Saint-Jean, le Gros Caillou, la Tête-d'Or/Cité internationale. Une variante possible pourrait être un arrêt à Gorge-de-Loup, pour une desserte du 9e arrondissement et une connexion possible avec le métro D et le tram-train de l'Ouest lyonnais. Les stations seraient positionnées sur les anciens forts lyonnais et sur le toit du centre d'échange de Perrache.

Capture d’écran 2013-06-21 à 18.42.05 ()



Relier les deux terminus prendrait alors, selon l'équipe d'Eric Lafond, 20 minutes – dont 8 minutes entre la Croix-Rousse et Fourvière – tandis que le temps d'attente à chaque station serait inférieur à une minute. Une quinzaine de personnes occuperaient chaque cabine. Le conseiller d'arrondissement envisage d'autres tracés ultérieurs, vers Gare-de-Vaise et la Duchère, vers Sainte-Foy-lès-Lyon ou encore vers Caluire.
Même prix que le prolongement du T1 à Debourg

Le téléphérique présente d'indéniables avantages, à commencer par son prix. Cette ligne au chantier inférieur à un an coûterait 65 millions d'euros selon ses estimations – de son côté le club de l'Ours l'avait chiffrée à 55/60 millions d'euros. A titre de comparaison, le prolongement du tramway T1 de Montrochet à Debourg était prévu pour 64 millions d'euros, tandis que le prolongement du métro B à Oullins était budgété 222 millions d'euros. En revanche, les décideurs doivent s'interroger sur son intégration à la ville. Même si sa physionomie générale peut être élégante, les riverains pourraient se plaindre du passage de cabines au-dessus de leurs têtes ou face à leurs fenêtres, notamment sur le boulevard de la Croix-Rousse où le téléphérique cheminerait. "Les voyageurs navigueraient à 20/25 mètres de hauteur, au-dessus des arbres et des immeubles", explique un proche d'Eric Lafond. Les poteaux, plantés tous les 300 mètres, pourraient être habillés de végétation.

mercredi 4 décembre 2013

Bref, Je travaille chez GrDF


BETISIER 2013

 

Des "Apples" pour OSR ?

Quand il est eteint il ne marche pas!

C'est l'auto "apprentissange" de Windows

SAP c'est pas très friable ...

Tenez' y pas en compte

GARDIAN : Est ce que les chiffres sont comptés comme des majuscules ?

Il ne marche ni sous IE ni sous Mozzarella

MMO : Zero blabla, pleins de traca ...

Je m'en fou des touches du clavier je tape sans les doigts.

Peptito SD0000123456 => On ne dit plus "SD" comme Sophie Danièle mais "SD" comme Sandra Denise

Souple sur les pattes arrières petit écureuil.

Adressez vous à votre manager, il vous donnera la solution.

J'ai plus la main sur pas grand chose.

Si, ça tout fonctionne ...

Tapez le mot de passe que vous pensez qu'il est bon.

Caraïbe fixe mobile ?

Donnez un compte au nom.

Il faut retourner le lotus.

Touchez voir la touche TABULATION.

Met ton mot de passe que toi tu veux.

Vous êtes connecté sur combien de postes avec votre PC ?

Tu est souvent tout seul dans ta tête ?

Un animateur n'accède pas à une BAL Atrium générique mail d'archive, Quelle est la solution ?

Probléme: GAAN
Vous connaissez blablabla ?! LE GAAN
- Euh! Oui
Solution: "et ba voilà ..."

mardi 22 octobre 2013

ENVIRONNEMENT

Pollution : le plan de protection de l’atmosphère révisé

Une révision du Plan de protection de l’atmosphère (PPA) du Rhône, l’Ain et l’Isère est actuellement soumise à une enquête publique. Elle a pour objectif de diminuer les niveaux de polluants atmosphériques à des niveaux réglementaires à l’horizon 2015. Car, dans la région lyonnaise notamment, ils dépassent fréquemment la norme autorisée.

pollution à Lyon ()
 
Régulièrement, on atteint dans l’agglomération lyonnaise des niveaux de pollution aux particules fines et dioxyde d’azote élevés. Le premier plan de protection de l’atmosphère (PPA) adopté en 2008 n’a pas permis de ramener cette pollution à un niveau « satisfaisant », selon un communiqué de la préfecture. Un nouveau PPA a donc été élaboré et est actuellement soumis à une enquête publique. Il concerne 115 communes du Rhône, de l’Ain et de l’Isère.
Le document, long de 165 pages, constate un dépassement des valeurs réglementaires essentiellement le long des axes routiers et autours de trois des cinq zones industrielles de la région. Il s’attarde particulièrement sur deux grands domaines : l’industrie et l’urbanisme. Le transport et les habitudes des particuliers constituent finalement une petite partie du nouveau PPA proposé.

Le chauffage au bois des particuliers visé

Toutefois, le chauffage au bois des habitants de la zone concernées est responsable en partie de la pollution de l’air en particules fines. Le nouveau plan prévoit donc une sensibilisation pour un meilleur équipement des ménages. Une étude devrait évaluer la qualité des installations existantes et certaines pourraient être remplacées. Un arrêté préfectoral devrait par ailleurs interdire de brûler des déchets verts (ou biomasse), y compris pour le secteur agricole. Une autre étude est prévue pour évaluer la possibilité réguler, « voire d’interdire », selon le texte, les véhicules particuliers les plus polluants en zone PPA - un sujet politiquement explosif. A priori, la version révisée du PPA sera mise en œuvre dès l'année prochaine.


Une pollution inédite empoisonne l'air de Pékin


En 2012, les particules nocives auraient fait plus de 8600 morts rien que dans les quatre plus grandes villes chinoises.
Un indice 755… sur une échelle qui ne va que jusqu'à 500! La pollution a atteint un nouveau niveau record ce week-end à Pékin, selon les mesures de l'ambassade américaine. Comme l'écrit le New York Times, toute la capitale ressemblait au «coin fumeur d'un lounge d'aéroport». Elle était plongée dans un épais brouillard lourdement chargé en particules fines, très dangereuses pour la santé.
Les autorités ont recommandé aux enfants ainsi qu'aux personnes vulnérables de rester chez eux et les activités de plein air ont été déconseillées pour tous. Ce nuage nocif pourrait stagner jusqu'en milieu de semaine. Cette fois-ci, même les mesures officielles ont rendu compte de la gravité de la situation. Le Bureau des mesures environnementales de Pékin a reconnu que l'indice a atteint la valeur maximale de 500. Du jamais vu. Les mesures ont atteint des niveaux 45 fois supérieurs aux seuils définis par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Les autorités de Pékin ont précisé que la densité de particules de 2,5 microns de diamètre (PM 2,5) - celles qui pénètrent le plus profondément dans les poumons - était «supérieure en de nombreux endroits à 700 microgrammes par mètre cube». Il a même atteint 900 en certains lieux. Selon l'OMS, le taux recommandé est de 20 à 25…

 

Charbon et pollution automobile

Le sujet fait la une du Web en Chine. Les internautes parlent d'une atmosphère apocalyptique, inimaginable. Ils racontent qu'ils calfeutrent portes et fenêtres. Et parlent d'une nouvelle ruée sur les masques respiratoires, notamment sur le géant de la vente en ligne Taobao. Les plus aisés achètent de coûteux purificateurs d'air. La classe moyenne s'insurge contre la dégradation de son environnement et les «mensonges» des autorités. Une fronde qui a obligé Pékin à divulguer les mesures des particules PM 2,5 depuis le début de cette année, alors qu'elle se contentait jusqu'ici des particules PM 10.
Les autorités ont aussi annoncé que la diffusion de ces mesures allait être étendue aux 74 plus grosses villes de Chine. Auparavant, le sujet avait été l'occasion d'un bras de fer entre Pékin et Washington, les dirigeants chinois accusant l'ambassade américaine de publier des données «alarmistes» et dangereuses pour la stabilité sociale. En cause, la consommation de charbon qui a doublé en dix ans, selon Greenpeace Chine. Si les usines les plus polluantes ont été sorties de la capitale, il en subsiste des centaines dans la province environnante du Hebei. Autre source du problème, les voitures, dont le nombre peut grossir de 800.000 par an dans la capitale. Une étude menée par l'Université de Pékin et Greenpeace estime que 8600 personnes ont été tuées prématurément en 2012 par ces particules nocives, dans les seules villes de Pékin, Shanghaï, Canton et Xian. Cette pollution aurait aussi coûté à ces quatre cités 1 milliard de dollars.




BESSAS:
Ardèche recherche et exploitation gaz et huiles de schistes

DEBUT DE L'EXPLORATION DES HYDROCARBURES NON CONVENTIONEL EN ARDECHE APRES LES VENDANGES  ?

Le Maire de BESSAS (Ardèche) a reçu au mois de Juin 2011 un courrier de la société MouvOil SA le prévenant que des travaux auraient lieu sur sa commune a l'automne 2011:
Etudes sismiques, puis forages d'exploration en vue d'une exploitation commerciale des hydrocarbures.
 
Le document indique que:
"La campagne sera faite de préférence au tout début de l'automne après les moissons et les vendanges et avant les grandes pluies d'automne"

La société Suisse MouvOil SA  serait sur le point de se lancer dans l'extraction d'huiles lourdes dans plusieurs communes du Sud Ardèche et du Gard.
Cette société pétrolière possède un permis d'exploration et d'exploitation (Signé par Jean Louis Borloo  
a l'insu de son plein gré en Mars 2010 voir la vidéo sur BFM télé ou il tente de s'expliquer.)
 
Extraction d'hydrocarbures non conventionnels

La "fracturation hydraulique" étant interdite depuis l'adoption de la loi le jeudi 30 juin 2011 par le Parlement.
On parle de "fracturation conventionnelle limitée"
Il s'agit de fracturer la roche pour permettre d'injecter de l'acide chlorhydrique dans le sous-sol afin de dissoudre le calcaire, et ensuite y  injecter de la vapeur d'eau a 250 degrés (avec additifs chimiques: solvants etc...) pour en extraire les huiles lourdes.
Les risques sont importants:
- Risques sismiques (Tectonique), effet déclencheur
- Pollution en surface par les métaux lourds, arsenic, acides
- Utilisation de solvants chimiques
- Ouverture de fissures ou failles connues

2 ROUES

 
4 h 10 : http://4h10.com/

 
SALON DU 2 ROUES 2014 (du 21 février au 23 février 2014)

Pour sa 21ème édition, le Salon du 2 Roues de Lyon promet encore de nombreuses surprises. Durant 3 jours, cet évenement grand public incontournable réunit tous les acteurs du monde de la moto, du scooter et du quad : concessionnaires, équipementiers, accessoiristes, société de services et les médias...

Infos pratiques
Hall 3.1/ Hall 3.2/ Hall 4.1

09h00 - 19h00

Bus ligne 100


jeudi 17 octobre 2013

ACTU ERDF


Osiatis 


agrandir la photo EDF lance un projet de rénovation et d’unification de l’ensemble de ses solutions collaboratives et de messagerie pour les salariés d’EDF SA et ERDF. Soit l’un des plus importants parcs informatiques sur le territoire français avec 160 000 postes de travail.
Ce contrat d’une durée minimum de 5 ans a été emporté par Bull et Osiatis. Le consortium fournira un service global et intégré de messagerie, partage de fichiers, vidéoconférence, messagerie instantanée à bases de technologies Microsoft (Exchange, SharePoint et Lync).
Les deux SSII assureront la mise de l’infrastructure de cloud privé, la migration des plateformes puis l’exploitation de ces solutions unifiées à travers un catalogue de services et une facturation à l’usage.
L’hébergement se fera dans deux datacenters du groupe EDF. Soit une capacité de 68 serveurs bullion (serveurs x86 de Bull), 400 machines virtuelles ainsi que 1000 To de stockage. La supervision et l’administration à distance se feront à partir des centres de service de Bull et d’Osiatis.



Tempêtes de neige                                                                 

Depuis 3 jours, ERDF est mobilisée pour rétablir l’alimentation électrique des foyers qui en sont privés par d’importantes chutes de neige. Les équipes ont été renforcées : plus de 1500 techniciens ERDF ainsi que des entreprises partenaires spécialisées sont actuellement mobilisés. Parmi eux, les renforts des 150 techniciens ERDF de la Force d’Intervention Rapide Électricité (FIRE) venant des régions Méditerranée, Est, Sud-Ouest, Ile de France et Centre. Plus de 20 tonnes de matériel de dépannage d’urgence ont été acheminées sur zone ainsi qu’une centaine de groupes électrogènes. L’accès au réseau des équipes d’intervention a été rendu particulièrement difficile en raison des fortes chutes de neige et des routes rendues impraticables.
Le 22 novembre 2013, point à 12h : 32 000 foyers privés d'électricité

• Rhône-Alpes : 11 100 foyers privés d'électricité
• Bourgogne : 900 foyers privés d'électricité.
• Auvergne : 8000 foyers privés d'électricité
• Franche-Comté : 2 000 foyers privés d'électricité.
• Midi Pyrénées : 10 000 foyers privés d'électricité.
Le 22 novembre 2013, point à 9h : 40 000 foyers privés d'électricité

• Midi-Pyrénées : 15 500 foyers privés d'électricité
• Rhône-Alpes : 15 000 foyers privés d'électricité.
• Auvergne : 8 500 foyers privés d'électricité
• Franche-Comté : 1 000 foyers privés d'électricité.

Depuis hier soir, les chutes de neige se concentrent en région Midi Pyrénées principalement en Ariège et Hautes Pyrénées.
Pour cette journée, une alerte neige collante est annoncée sur l'Auvergne, la Loire et le Jura.
Le 21 novembre 2013, point à 19h : 36 000 foyers privés d'électricité

• Rhône-Alpes : 27 300 foyers privés d'électricité
• Bourgogne : 1700 foyers privés d'électricité
• Auvergne : 7000 foyers privés d'électricité.
Le 21 novembre 2013, point à 17h : 60 000 foyers privés d'électricité

Le point par région :
• Rhône-Alpes : 47 000 foyers privés d’électricité
• Bourgogne : 3000 foyers privés d’électricité
• Auvergne : 9000 foyers privés d’électricité
• Franche Comté : 1000 foyers privés d’électricité



Deux vagues successives de fortes chutes de neige collante ont provoqué de lourds dégâts sur le réseau électrique. Au total, 230 000 clients ont été privés d’électricité à un moment ou un autre sur l’ensemble des régions concernés par ces épisodes climatiques. A 17h, ERDF en a rétabli les trois-quarts.                              


Le 21 novembre 2013, point à 11h : 90 000 foyers privés d'électricité

Le point par région :
• Rhône Alpes : 68 000 foyers privés d’électricité;
• Bourgogne : 5000 foyers privés d’électricité;
• Franche-Comté : 3500 foyers privés d’électricité;
• Auvergne : 10 000 foyers privés d’électricité;
• Midi-Pyrénées : 3500 foyers privés d’électricité
                                               

Le 20 novembre 2013, point à 20h : 60 000 foyers privés d'électricité

Le point par région :
• Rhône Alpes : 50 000 foyers privés d’électricité
• Bourgogne : 2000 foyers privés d’électricité
• Franche-Comté : 1000 foyers privés d’électricité
• Auvergne : 7000 foyers privés d’électricité                               


Le 20 novembre 2013, point à 17h : 150 000 foyers privés d'électricité

Principales régions touchées :
• Rhône Alpes : 115 000 foyers privés d’électricité
• Bourgogne : 14 000 foyers privés d’électricité
• Franche-Comté : 8 000 foyers privés d’électricité
• Auvergne : 13 000 foyers privés d’électricité



Intempéries : un technicien ERDF meurt
électrocuté en Auvergne



Un technicien ERDF en intervention dans l'Ouest de la France, le 28 octobre. (illustration)




Un technicien ERDF en intervention dans l'Ouest de la France, le 28 octobre. (illustration)

Appelé en renfort pour remettre en service des lignes électriques coupées à cause des intempéries, un technicien ERDF de 41 ans a été électrocuté.

Un technicien d'ERDF est mort électrocuté mercredi en fin d'après-midi alors qu'il était appelé en renfort dans le Puy-de-Dôme pour remettre en service des lignes électriques coupées à cause des intempéries, a expliqué ERDF.

L'homme, âgé de 41 ans, basé à Montluçon (Allier), a été électrocuté vers 18H30 alors qu'il réparait des lignes basse tension à Celles-sur-Durolle (Puy-de-Dôme). "Il était en dépannage sur le réseau basse tension, en renfort de ses collègues de l'agence de Thiers (Puy-de-Dôme)" suite aux importantes chutes de neige, a précisé ERDF. Les pompiers n'ont pas réussi à le ranimer, a-t-on précisé de même source.

Testé à Lyon, le compteur Linky se retrouve dans le viseur d’UFC-Que choisir

L'association de consommateurs a mené l'enquête sur le compteur d'électricité intelligent testé à Lyon et en Indre-et-Loire.


300 000 boitiers qui devraient ouvrir la voie à l'installation de Linky dans 35 millions de foyers français à terme. La particularité de Linky, c'est qu'il permet d'effectuer des relevés à distance et de mieux maîtriser sa consommation d'électricité.

Sauf qu'UFC-Que choisir, qui s'était déjà frotté au bébé d'ERDF, annonce cette semaine que les installations gratuites à venir engendreront en fait un surcoût pour les consommateurs de 545 millions d'euros. Selon l'association, Linky va remettre à plat les débits d'énergie. Les Français qui ont un débit d'énergie supérieur à leurs besoins devront payer l'intervention pour l'abaisser. Quant à ceux qui possèdent une puissance supérieure à celle qu'ils avaient souscrite, ils devront payer un abonnement plus élevé pour la conserver.

Selon la direction d'ERDF, l'augmentation de puissance n'avait concerné que 0,88% des 300 000 foyers testés. Lyon ne serait d'ailleurs que peu concernée par ce problème, de l'aveu même de l'association.

UFC-Que choisir réclame désormais la gratuité de la prestation de changement de puissance pendant deux ans et l'instauration d'une grille tarifaire plus fine.


Nice Grid fait le show et ERDF le point sur le projet

Vendredi 30 août, l’ensemble des acteurs engagés dans le projet Nice Grid porté par ERDF étaient réunis à Carros près de Nice dans les Alpes-Maritimes pour inaugurer le showroom dédié au projet. Doté d’un budget de 30 millions d’euros sur 4 ans, ce projet vise à être le premier démonstrateur européen de quartier solaire intelligent.

Nice Grid est également la brique française du vaste projet européen Grid4EU. Le projet qui réunit 10 membres (Alstom, Saft, EDF, Armines, RTE, Netseenergy, Daikin, Socomec et Watteco) va tester « un quartier solaire intelligent intégrant une forte production photovoltaïque locale, des solutions de stockage d’électricité, 2 500 compteurs communicants Linky et des solutions d’effacement client pour améliorer la gestion des pointes de consommation et/ou de production électriques à différentes échelles de temps », rappelle ERDF dans un dossier publié vendredi.

L’objectif principal est d’optimiser à l’échelle d’un quartier la production, la consommation et le stockage d’électricité avec une insertion importante d’électricité photovoltaïque intermittente sur le réseau basse tension (BT) de la commune de Carros.

Le projet – l’accord de consortium a été signé en janvier 2012 – est entré dans sa phase d’expérimentation. Trois contrats ont été proposés aux habitants volontaires de Carros : Heures creuses solaires ; Ballon d’eau chaude intelligent ; et Equipement solaire intelligent. ERDF indique que depuis le 21 juin, des clients EDF volontaires, bénéficient du contrat Heures Creuses Solaires qui les incite « à consommer et à recharger les ballons d’eau chaude électrique lorsque l’énergie solaire est disponible en abondance dans leur quartier, permettant ainsi au réseau électrique de mieux profiter des panneaux solaires ». La filiale d’EDF ajoute que près de 900 compteurs Linky ont été installés.

Pour arriver à l’objectif final, le recrutement de volontaires se poursuit. À l’automne, une étape importante du projet va se concrétiser avec l’installation d’une batterie lithium-ion de 1 MW.


Natixis va supprimer 700 emplois d’ici 2015

Fortement touchée en 2008 par la crise des subprimes, la banque d’investissement Natixis va à nouveau couper dans les effectifs. 700 postes seront supprimés.

Les plans de restructuration se succèdent. Après GAD, Alcatel, Air France ces dernières semaines c’est au tour de la banque d’investissement Natixis de confirmer la suppression « d’environ 700 postes » en France d’ici 2015. La filiale cotée du Groupe Banque populaire-Caisse d’épargne (BPCE) ne devrait pas réaliser de départs contraints. Sur le papier l’accord conclu, en septembre, entre les syndicats SNB, CFDT et CFTC et la direction l’y oblige. Les mobilités forcées, elles aussi ne devraient pas être appliquées.

Ces suppressions de postes devraient être cantonnées à des secteurs particuliers et ne toucheront pas l’international, selon Les Echos.

L’activité Banque de grande clientèle serait la plus touchée. Les métiers de la recherche, du suivi des relations des grands clients, d’action verront leurs effectifs baisser, poursuit le journal.
La restructuration n’est pas forcement terminée, le Groupe BPCE devrait annoncer son plan stratégique le 8 novembre.

Natixis avait été fortement atteinte par la crise des subprimes de 2008. Elle accusait alors une perte de 2,8 milliards d’euros avant de distribuer 70 millions d’euros de bonus à « 3 000 collaborateurs ». Dans le même temps, Natixis avait supprimé 1250 emplois. L’entreprise avait pourtant reçu, par l’intermédiaire de la Caisse d’épargne et de la Banque populaire, 1.9 milliards d’euros de fonds propres en décembre 2008.

Mais que les salariés et les actionnaires se rassurent, « Natixis, (c’est) l’assurance d’un avenir en toute confiance », comme le claironne le slogan de la partie assurance de l’entreprise.




UFC-Que Choisir lance une offre de gaz à prix réduit

Conditions contractuelles plus favorables, et surtout baisse du prix : l’association UFC-Que Choisir s’associe à un fournisseur de gaz Belge, Lampiris, pour lancer ce 15 octobre une campagne, « Gaz moins cher ensemble ».

Une baisse de 13 % minimum du gaz par rapport au tarif réglementé d’octobre. Tel est l’argument massu mis en avant par l’association de défense des consommateurs UFC-Que Choisir, pour promouvoir sa campagne, « Gaz moins cher ensemble ». Alors que son prix devrait à nouveau augmenter d’environ 0,5 % selon une information publiée par Le Figaro, la baisse promise par UFC-Que Choisir pourrait faire mouche auprès des neuf millions de foyers qui se chauffent ou font leur popote grâce au gaz. Surtout que son coût, s’est envolé depuis 2005, une augmentation proche de 80 % selon les données de la Commission de régulation de l’énergie (CRE).

L’association de défense des consommateurs veut « dynamiser la concurrence sur le marché du gaz en créant un véritable pouvoir de marché des consommateurs ». Si tout un chacun peut constater des différences de prix entre les multiples fournisseurs et ainsi opérer le choix le plus judicieux pour sa bourse, peu d’entre eux le réalisent. Non parce qu’ils tiennent particulièrement à leur fournisseur historique, mais parce lorsque l’on rentre chez soi, il est rare de décompresser en se plongeant dans une analyse comparative des meilleurs offres sur le marché. Le prix n’est pas le seul argument avancé par l’UFC.

Des conditions contractuelles améliorées

Lors du lancement d’appel d’offres fait en juillet auprès de l’ensemble des fournisseurs de gaz, l’association avait dressé un cahier des charges. Le premier point était le prix. Le second concernait les conditions contractuelles. Elles devaient être plus protectrices pour le consommateur. Une seule entreprise a remplie ces deux conditions : Lampiris France. Crée en 2010, il est une filiale du groupe Belge Lampiris. UFC-Que choisir précise sur son site : « si certains fournisseurs ont fait mine de vouloir participer, bon nombre ont déclaré forfait, refusant d’emblée des conditions contractuelles plus protectrices des consommateurs que les exigences légales ». Quelles sont ces conditions ? La responsabilité unique du fournisseur en cas de problème, même de distribution, elle devrait permettre de « minorer les conflits », selon l’association.

La facturation est aussi un point négocié. Lampiris sera tenu de tenir compte des auto-relevés effectués par son client entre les périodes de relevé du distributeur. En cas de contestation d’une ou de plusieurs factures, le client pourra « régler uniquement le montant de la facture non contesté, jusqu’à la résolution du désaccord sur la part faisant l’objet de la contestation », précise UFC-Que Choisir. Cette dernière sera associée dans le cadre d’un litige et fournira un avis juridique. Dès lors, il est légitime de se demander si l’association n’a pas un intérêt autre que sa notoriété en lançant une telle campagne. UFC-Que Choisir assure être « totalement désintéressé » dans cette campagne, précisant qu'« un commissaire aux comptes a été désigné pour constater les dépenses supportées par l’association et garantir l’absence totale de flux financier entre l’UFC-Que Choisir et le fournisseur lauréat ».

Toutes les personnes, déjà raccordées au gaz et consommant moins de 100 000 kWh, peuvent s’inscrire jusqu’au 25 novembre. Plus le nombre de participants sera élevé, plus le prix pourra baisser. Quelques heures après l’ouverture de la campagne, 20 000 personnes avaient sauté le pas.

dimanche 29 septembre 2013

INSOLITE

Hôtel insolite: découvrez le Parkroyal on Pickering de Singapour et ses étonnants jardins en spirales

ARCHITECTURE - Le Parkroyal on Pickering de Singapour n'est pas un hôtel comme les autres. Situé à Singapour et conçu par WOHA, cabinet d'architectes local spécialisé dans les initiatives écologiques, il offre un magnifique panorama sur la ville.


samedi 28 septembre 2013

AUTO - MOTO 2013

Nissan : présentation du Concept Friend-Me à Francfort

La Nissan Friend-Me semble taillée pour la génération Y
Nissan revient sur le marché de la berline avec un concept connecté et hybride, développé pour séduire les jeunes issus de la « génération Y ».
Déjà présent au salon de Shanghai en avril dernier, le concept Friend-Me de Nissan débarque en Europe au salon de Francfort. Son nom (« devient mon ami ») annonce la couleur. Spécialement conçue pour plaire aux jeunes de moins de 30 ans, cette voiture est celle des nouveaux moyens de communication, de l’échange et du dynamisme.
À l’intérieur, quatre sièges lounge et une console centrale dotée de plusieurs écrans qui permettent à chaque passager d’avoir accès à internet, aux données de navigation GPS ou aux informations de conduite. Les passagers pourront aussi y connecter leurs Smartphones et partager photos, vidéos, morceaux de musique…
Habitacle de la Nissan Friend-ME
À l’extérieur, un look futuriste qui évoque le mouvement et le dynamisme : un capot plongeant vers une imposante calandre en V, des feux en forme de boomerang, des flancs sculptés et un vitrage limité…
Pas trop de détail concernant la motorisation : on nous parle d’une technologie « Pure Drive » hybride utilisant des batteries lithium-ion de dernière génération. Cette technologie, apparemment en développement chez Nissan, aurait comme objectif la création de véhicules hybrides « quasi zéro émission » grâce à un système qui minimiserait les pertes d’énergie dans diverses situations et réduirait donc considérablement la consommation de carburant et l’émission de CO2
On vous laisse avec quelques photos du salon et cette vidéo d’introduction… il y a de l’ambiance dans cette berline !




Le Trophée Andros Electrique 2014 avec ERDF

Pour la deuxième année consécutive, ERDF est partenaire technique du Trophée Andros Electrique qui a débuté les 7 et 8 décembre 2013 à Val Thorens.

Devenu incontournable, le Trophée Andros a réussi ses différentes évolutions dans une ambiance conviviale qui lui est particulière. Autour des incontournables F1 de la glace, le Trophée Andros Électrique s’est ouvert vers un futur innovant en devenant la 1ère course mondiale 100% électrique. Propre et performant, le Trophée Andros Électrique marque un tournant dans l’histoire de la compétition.
 
Acteur majeur du sport automobile électrique depuis 2011 et les « ERDF Masters Kart » de Paris-Bercy, ERDF renforce son engagement dans une discipline qui incarne les activités et l’engagement de la marque, dans les domaines de l’innovation et du développement durable. Une voiture ERDF sera ainsi présente sur chacune des sept étapes de ce championnat hivernal.
 
Pour l'occasion, sur la page Facebook d'ERDF, vous pouvez jouer et tenter de gagner un week-end à Super Besse pour un test de véhicule ERDF sur glace et assister aux courses de l’étape finale du Trophée Andros le 1er février 2014. Vous avez jusqu'au 10 janvier pour participer !


Cliquez sur la voiture ci-dessous pour jouer ! 




Le gyropode Segway

Développé par la firme américaine Segway Inc, leader mondial du transport personnel électrique avec plus de 80 000 véhicules en circulation, le gyropode est un véhicule électrique monoplace auto stabilisé à deux roues parallèles.
Son fonctionnement repose sur un système exclusif de gyroscopes et de capteurs très sophistiqués qui assure un équilibre parfait à l’arrêt comme en mouvement sans que son utilisateur n’ait à s’en préoccuper.

Calqué sur le mécanisme de la marche à pied, le gyropode réagit instantanément à l’inclinaison du corps. Penchez-vous en avant pour avancer et en arrière pour ralentir... Et pour diriger, il suffit de tourner le guidon. C’est ce principe de fonctionnement unique qui garantit son étonnante sécurité et son exceptionnelle maniabilité.
Une nouvelle interface homme-sol pour une véritable révolution
dans le paysage des moyens de transport !

 


BRAMMO : 100 % ELECTRIQUE !

Les motos BRAMMO, fabriquées aux USA, concentrent les dernières technologies en matière de véhicule électrique. S'ajoutent au respect de l'environnement le plaisir de rouler différement et des performances très surprenantes pour cette catégorie de moto, classée comme une 125 cm3.

Une simple prise de courant suffit à recharger votre moto et l'autonomie est très suffisante pour un usage quotidien.




Test grandeur nature pour la voiture électrique Tesla :

Afin de faire taire les septiques, Elon Musk, le PDG de Tesla, va tester sa voiture électrique. Il compte parcourir en 6 jours le trajet Los Angeles - New York.

Au moment où s'ouvre le salon de Francfort (du 12 au 22 septembre), le phénomène automobile de l'année le plus commenté semble être Tesla, la voiture électrique de luxe made in Californie.

Tesla, c'est un pari permanent. Et pour l'instant, le pari semble réussi. Elon Musk, son PDG, prend un nouveau pari. Il vient d'annoncer sur Twitter que, d'ici la fin de l'année, il allait traverser les Etats-Unis en voiture électrique. Il se donne six jours de Los Angeles à New York avec ses cinq enfants dans la voiture.

Il estime qu'il trouvera suffisamment de stations de chargement rapide sur la route et qu'il n'aura besoin de recharger les batteries que 90 minutes par jour.

Une voiture à 100.000 dollars

Il sera évidemment au volant d'une Tesla : le modèle S de luxe toutes options. Une voiture à 100.000 dollars (soit 75.000 euros). L'autre modèle de Tesla, le sport, est encore plus cher.

L'autonomie et le rayon d'action restent les principaux handicaps de la voiture électrique. Mais le PDG de Tesla n'a que faire des sceptiques. L'action Tesla a été multipliée par 5 en un an. Cette année, il produira 21.000 voitures électriques de luxe plus que prévu mais toujours pas assez pour répondre à la demande.

Mais le vrai pari de long terme de ce sud-africain de 42 ans à qui tout réussit, c'est la voiture électrique abordable pour le plus grand nombre.


 
 

HIGH TECH

Bitstrips : le nouveau phénomène sur Facebook

Si vous parcourez régulièrement Facebook et les profils de vos amis, vous n'avez sans doute pas pu échapper à Bitstrip, cette application qui permet de facilement représenter des scènes personnalisées sous la forme de cadres de bande dessinée.
Des Google Galss pour les chiens ?

Des harnais informatisés canins ont été mis au point par Google et des chercheurs américains pour que des chiens puissent envoyer des informations à leurs maîtres handicapés ou lors d’enquêtes policières.

 
Des chercheurs de l’université technologique de Georgie ont créé un « ordinateur portable canin » muni d’un harnais qui pourrait permettre aux chiens d’envoyer en temps réel des informations à leur maître. Cet appareil utilise différentes capacités sensorielles du chien, comme le son et la vue.
Ce système entend permettre au chien porteur du harnais informatisé d’envoyer un signal à son maître par le biais d’une oreillette. Le signal est déclenché par le chien avec sa gueule grâce à un capteur situé sur une veste ou sur son collier. Le système pourrait aussi, à l’avenir, permettre de transmettre de la vidéo, via des Google Glass canines qui retransmettraient les images captées par le chien.
 
Un projet nommé Fido
Ce projet nommé FIDO est le fruit d’une collaboration de Google Glass et de l’université de Georgie, aux Etats-Unis. Il pourrait avoir des applications en matière de sécurité, par exemple dans des opérations de recherche de bombes ou de drogue, explique le Daily Mail. Le système pourrait aussi être utilisé par les personnes handicapées.
Le professeur Melody Jackson, qui a travaillé sur le projet mais qui a aussi été dresseuse de chiens pendant 18 ans, détaille le potentiel du système. Il pourra par exemple aider les personnes handicapées à circuler plus efficacement, permettra aux « chiens policiers » d’indiquer à leur maître à distance le type des explosifs retrouvés. FIDO permettrait également aux chiens sauveteurs d’alerter leur maître lorsqu’ils détectent une personne blessée.
Les messages transmis par le chien permettront aussi à l’homme de savoir quand l’animal a faim ou quand il veut sortir, précise la scientifique.


La e-cigarette

La revue a testé une dizaine de modèles et a décelé des "molécules cancérogènes en quantité significative" dans les vapeurs de cigarettes électroniques.
Les cigarettes électroniques "ne sont pas aussi inoffensives" que le disent leurs fabricants et "peuvent émettre des composés potentiellement cancérogènes", assure la revue 60 millions de consommateurs de septembre qui a testé une dizaine de modèles, jetables ou rechargeables.
"Les cigarettes électroniques sont loin d'être les gadgets inoffensifs qu'on nous présente. Ce n'est pas une raison pour les interdire. C'est une raison pour mieux les contrôler", écrit Thomas Laurenceau, rédacteur en chef du magazine de l'Institut national de la consommation (INC). Constatant un étiquetage non conforme au contenu de certains produits, l'INC a alerté les autorités, précise-t-il.
Il dénonce aussi l'absence de bouchon de sécurité sur certaines recharges alors que la nicotine est particulièrement toxique pour les petits. Ingérées, les doses élevées de certains produits de l'étude peuvent tuer un enfant, souligne Thomas Laurenceau.

Des quantités de produits toxiques équivalentes

La revue affirme avoir décelé, grâce à une méthode inédite, des "molécules cancérogènes en quantité significative" dans les vapeurs d'e-cigarettes qui, selon elle, n'avaient jamais été mis en évidence jusque là. "Ainsi dans 3 cas sur dix, pour des produits avec ou sans nicotine, les teneurs en formaldéhyde (couramment dénommé formol) relevées flirtent avec celles observées dans certaines cigarettes conventionnelles."
Également décelée, l'acroléine, une molécule très toxique, émise en quantité très significatives par l'E-Roll, et "à des teneurs qui dépassent même parfois celles que l'on peut mesurer dans la fumée de certaines cigarettes". Ceci vraisemblablement en raison d'un dispositif qui chauffe trop vite. Quant à l'acétaldéhyde, classé cancérogène possible, les teneurs parfois loin d'être négligeables relevées restent très inférieures à celles observées avec les cigarettes de tabac. Des traces de métaux "potentiellement toxiques" ont été détectées dans Cigartex qui libère autant de nickel et de chrome qu'une vraie cigarette et dans la Cigway jetable qui libère plus d'antimoine.

Un million d'adeptes

Le magazine relève aussi que la dose de nicotine des recharges liquides ne correspond pas toujours à ce qui est mentionné, avec des teneurs inférieures dans tous les cas. Autre défaut d'étiquetage : des produits annoncés "sans" propylène glycol qui en contienne ou des fabricants qui "oublient" de mentionner sa présence.
"Le code de la consommation pourrait encadrer la véracité de l'étiquetage et imposer un bouchon de sécurité", relève Thomas Laurenceau. Mais pour le magazine, qui appellent les autorités de santé à réagir, "désormais, il faudra prendre en compte les risques" liés à l'utilisation de l'e-cigarette, qui aurait plus d'un million d'adeptes en France, soucieux de fumer moins voire de s'arrêter.
Le tabac est responsable de 73.000 morts par an en France.


Candy Crush: qu'est-ce qui nous y rend accro ?

Parce que c'est simple et addictif, des jeux comme Angry Birds, Farmville ou Candy Crush séduisent de plus en plus de personnes. Accessibles depuis Facebook et sur smarphone, il est parfois difficile d'arrêter d'y jouer. BFMTV.com vous dit pourquoi.

Vous êtes accro à Candy Crush? Vous n'êtes pas seul. Chaque mois, 44 millions de personnes dans le monde jouent à ce casse brique sur Facebook. Ce jeu qui a pour seule mission de rapprocher des bonbons fluos pour gagner des points et passer au niveau supérieur rencontre un succès fou. Disponible sur téléphone, le jeu truste également les premières places des App Stores Android et Apple.
Alors, qu'est-ce qui nous rend accro à Candy Crush, Angry Birds, Ruzzle, Farmville, Paf le chien ou Draw Something? Comment ces petits jeux pour téléphones et réseaux sociaux ont réussi à nous séduire? Quelles sont les recettes des développeurs? BFMTV.com vous dit pourquoi vous y être accro et les risques qu'entraîne cette addiction.
Jeux simples pour petite compétition entre amis 
Lancer des oiseaux dans Angry Birds, envoyer Paf le chien le plus loin possible ou aligner des bonbons dans Candy Crush, ces différent jeux ont la même recette: être marrants et simples. Autre point commun: ils sont basés sur un réseau social.
Dans Candy Crush, vos amis peuvent vous aider à aller plus vite mais aussi à voir à quel niveau vous êtes: "Il y a un esprit de rivalité, de concurrence lié à Facebook où l'on veut être au même niveau que ses amis", constate Michael Stora, psychologue et spécialiste du monde numérique. "Il faut surveiller les jeux dits gratuits car, à un moment où à un autre, on va vous proposer de payer", prévient Marc Valleur, psychiatre et addictologue. C'est comme cela que l'on se retrouve à payer pour l'agrandissement de sa ferme ou développer le coup d'aile de son oiseau.
 La cible privilégiée: la ménagère
 "Zynga [le développeur de Farmville et Mafia Wars, ndlr] a réussi a capter des gens seuls chez eux qui ne veulent pas jouer à des jeux compliqués. Il n'y a même pas de cédéroms à installer comme pour les Sims", analyse Daniel Ichbiah, auteur de La saga des jeux vidéo.
"Farmville est né en 2009 et, en moins d'un an, il a eu 63 millions d'abonnés. Comme pour la console Wii (Nintendo), ils ont touché un autre public: les ménagères", argumente-t-il. Et si Ruzzle, 94 secondes ou le Sudoko sur téléphone, s'inscrivaient dans la lignée de la belotte ou la réussite sur ordinateur?
 Le sentiment de récompense
 Ces jeux permettent aussi de se heurter au hasard, de se dire "et pourquoi, je n'aurais pas de la chance?". Ces jeux, avec leur légèreté et les petites victoires font du bien. "Les gens se disent: 'J'ai passé une sale journée mais j'ai réussi à passer au niveau 71 dans Candy Crush'", remarque Michael Stora. Pour ce psychologue spécialisé, "l'individu qui a peu de récompense dans la vraie vie reçoit ici une valorisation".
Concrètement, une combinaison astucieuse de bonbons dans Candy Crush vous gratifie d'un message de félicitations. C'est un bruit dans Ruzzle et des messages annonçant un nouveau record dans la plupart de ces jeux. Des petits plaisirs insérés dans une mécanique bien rodée, qui vous tiennent en haleine. Le spécialiste des jeux vidéo Daniel Ichbiah acquiesce: "Lorsque l'on a une récompense, elle est vite dépassée par une nouvelle mission, un nouveau défi dans le jeu."
 La sensation de sociabilisation
 Sur Ruzzle comme Draw Something, les joueurs peuvent converser, en parallèle des parties. Ces jeux deviennent alors des plateformes d'échange. "Candy Crush est beaucoup moins envahissant que World of Warcraft", modère le psychiatre Marc Valleur. Mais pour lui, "le vrai problème est que ces jeux peuvent servir d'illusion de sociabilisation sans réelle profondeur. Cela reste très superficiel."
"Il y a des risques de désociabilisation avec les autres parce que l'on prend plus de plaisir à jouer seul qu'à échanger réellement avec les autres", avertit Marc Schwob, psychiatre et chronobiologiste.
 Prendre le temps de ne rien faire
 "Le jeu en soi n'est pas une mauvaise chose mais il faut de l'autodiscipline. Ce qui m'inquiète, c'est la monomanie qui donne l'impression d'un paradis artificiel et le côté addictif où c'est le jeu qui contrôle l'utilisateur", analyse Daniel Ichbiah, spécialiste des jeux vidéo. Bien que les parties soient courtes, ces jeux restent très chronophages.
Difficile pourtant de résister. Avant de se coucher, dans le bus, aux toilettes, à la caisse du supermarché ou dans la salle d'attente du médecin, la tentation est forte et se loge dans la poche. Mais le chronobiologiste Marc Schwob prévient: "On a besoin de repos, de moments où l'on ne fait rien."



Google s'offre un Doodle pour ses 15 ans

Le géant du web est un adolescent facétieux. Il vous offre un jeu pour célébrer son anniversaire.

Voilà un petit détail qui va faire baisser la productivité dans les bureaux ce vendredi matin... Qui ne tentera pas de taper dans la piñata virtuelle du Doodle du jour?

Google invite les internautes à sa fête d'anniversaire. Le moteur de recherche a 15 ans et s'offre un mini-jeu pour l'occasion. Avec la seule barre espace, il faut donner des coups de bâton dans la piñata pour en faire sortir les bonbons aux couleurs du logo Google. Simple... mais chronophage pour qui se lancerait dans un challenge avec des collègues!

Nouvelles fonctionnalités pour ses 15 ans

Voilà pour le côté fun. Côté business, le géant américain de l'internet Google a célébré ses 15 ans jeudi en annonçant des améliorations de son moteur de recherche, comme la capacité de répondre à des questions plus complexes et un outil de comparaison. "Combien y a-t-il de graisses saturées dans le beurre comparé à l'huile d'olive? Maintenant on peut simplement dire à Google: 'compare le beurre et l'huile d'olive'", a-t-il donné comme exemple Amit Singhal, l'un des responsables de Google Search, sur l'un des blogs dédiés au groupe.

Ses nouvelles fonctionnalités reposeraient sur une nouvelle version de l'algorithme -baptisé "hummingbird" (colibri)- dont la formule est jalousement conservée par Google, explique Danny Sullivan, du blog technologique Search Engine Land, ces mises à jour reposent sur une nouvelle version de l'algorithme à la base du moteur de recherche, jalousement protégé par Google.

Coup de pinceau également annoncé pour une apparence "plus propre et plus simple, optimisée pour (l'écran) tactile".

Pour l'image, Google a emmené des journalistes visiter le garage de Menlo Park, en Californie (ouest), où Larry Page, toujours directeur général du groupe, et Sergey Brin avaient commencé à travailler sur Google en 1998. Une page spéciale a aussi été créée sur le réseau social du groupe, Google+, avec un album photo montrant des vues de la page de recherche originale.

NEWS LYON

Lyon : lancement d'un service d'autopartage tourné
vers les smart grids


Alimenter une flotte de véhicules électriques grâce à l'énergie de panneaux solaires situés sur des bâtiments à énergie positive : c'est le pari du projet "SunMoov'" lancé par le Grand Lyon. Initié le 15 octobre 2013, le service propose trente véhicules en autopartage dans le quartier de la Confluence à Lyon. Les entreprises pourront les utiliser pour leurs trajets professionnels dans la journée et les particuliers profiteront du service en soirée et le week-end.
Dans un premier temps délivrée en partie par la Compagnie Nationale du Rhône (annoncée comme 100% énergie renouvelable) et les panneaux photovoltaïques du quartier de la Confluence, l'énergie devrait être totalement solaire à partir du dernier trimestre 2014.
 
Un système de gestion de l'énergie en temps réel devrait alors permettre de piloter et d'optimiser le cycle de recharge des véhicules (charge rapide en 30 minutes ou normale) en fonction des besoins des clients (réservations) en tenant en compte des sources de production d'énergie disponibles et de la charge du réseau électrique.
 
Il distribuera ainsi les flux pour que l'énergie utilisée pour recharger les batteries des voitures soit toujours compensée par celle produite par les panneaux photovoltaïques.
 
Ce projet de Smart grids vient s'ajouter à celui de Greenlys, expérimentation menée de façon conjointe à Grenoble et à Lyon.


Un téléphérique vers le parc de Miribel-Jonage en 2016 ?

EXCLUSIF - Un transport par câble relierait l'entrée nord du parc au centre-ville de Décines et du tramway T3, rendant le lac accessible en transports en commun. Une étude de faisabilité a été remise au président du Sytral en février dernier, et celui-ci y serait favorable. Le projet pourrait être vite lancé après les municipales. Détails.

La métropole aura peut-être bientôt son premier téléphérique. Pas la ligne proposée par Eric Lafond et le club de l'Ours qui relierait Fourvière à la Croix-Rousse. Pas celle des écologistes et des associatifs dans le sud-ouest lyonnais. Ce projet-là est porté par le maire PS de Décines, Jérôme Sturla, pour relier sa commune au parc de Miribel-Jonage. Intéressé, le Sytral a commandé une étude de faisabilité, remise en février dernier. Ayant reçu un accueil favorable, le projet pourrait être adopté lors du prochain mandat.

 
Longue de 4,7 km et desservant quatre stations, l'infrastructure permettrait de rallier les deux terminus en une dizaine de minutes. Les cabines comprendraient 12 personnes maximum, avec un départ toutes les trente secondes en flux maximum. Ainsi, les jours de grande affluence, la ligne pourrait transporter jusqu'à 2000 personnes par heure et par sens. Coût attendu : 50 millions d'euros. Une paille, comparée au milliard d'euros d'investissements du Sytral prévu sur un mandat.


Embouteillages au nord-Est de l'agglomération

A ce jour, le parc de Miribel est desservi par une navette saisonnière (bus n°83), au départ de Carré de Soie. De ce fait, son accès est surtout automobile : lors des dimanches ensoleillés, le lac reçoit la visite de 50 000 personnes et de 17 000 voitures, souillant un site naturel. L’infrastructure proposée s'adresse aussi aux automobilistes venus des Dombes et de la Côtière de l'Ain qui se dirigent tous les jours vers l'Est lyonnais. Un parking relais de 2000 places serait aménagé à l'entrée nord du parc (visuel ci-dessus), proche de l'intersection A42/A46. Et l'autre terminus, à côté du lycée Charlie Chaplin à Décines, offre une correspondance avec le tramway T3 (visuel ci-dessous). C'est pour ces raisons que cette mini-rocade aérienne intéresse le Sytral, qui souhaite réduire les embouteillages aux heures de pointe, aux abords de la rocade Est.




Toshiba ouvre à Lyon un centre d'hébergement informatique :

Toshiba ouvre près de Lyon son premier centre d'hébergement et de stockage des données informatiques (datacenter) en Europe. Ce site, situé à Limonest, a nécessité un investissement d'un peu plus d'1 million d'euros.

La fabricant japonais a choisi de s'implanter en France pour répondre à une demande récurrente et pressante de sa clientèle française, notamment issue du secteur public, qui s'inquiète des conséquences du Patriot Act qui donne à l'Etat américain un droit de regardsur les données informatiques personnelles locales, hébergées hors de France.

Toshiba hébergera en premier lieu des données dans le domaine de l'éducation. « Nous fournissons aux régions et aux conseils généraux des solutions de portails d'éducation avec de l'enseignement en ligne et des solutions de maintien à domicile de personnes dépendantes » a détaillé Philippe Delahaye, PDG de Toshiba France.

L'industriel a également été choisi par le Grand Lyon pour prendre part importante au projet "Lyon Smart Community". Celui-ci vise à doter le nouveau quartier situé au confluent de la Saône et du Rhône, d'un réseau électrique "intelligent", piloté par informatique. Toshiba est chargé du développement du système de pilotage de la gestion énergétique globale au niveau du quartier.

lundi 2 septembre 2013

FREE

Free Mobile enrichit ses forfaits avec 100 destinations incluses

free mobile
Free Mobile annonce, ce matin, que ses forfaits mobiles incluent désormais les appels vers une centaine de destinations, dont la Chine.

Alors que les opérateurs mobiles historiques (Orange, SFR et Bouygues Telecom) communiquent comme jamais sur leurs nouveaux réseaux très haut débit mobile 4G, Free Mobile n'a toujours pas dégainé la moindre offre 4G. Un retard qui se remarque de plus en plus puisque certains MVNO, à l'instar de NRJ Mobile, commencent déjà à proposer des offres 4G.
Mais le quatrième opérateur ne reste pas inactif pour autant. En effet, Free enrichit ses forfaits mobiles en portant à 100 le nombre des destinations fixes incluses. Ils intègrent notamment les appels vers les fixes et mobiles en France métropolitaine ainsi que vers les mobiles des DOM, Etats-Unis, Canada, Alaska, Hawaï et désormais aussi de la Chine.
Parmi les nouvelles destinations fixes
  • Europe : Croatie, Islande, Liechtenstein, Norvège, Russie...
  • Amérique : Argentine, Brésil, Colombie, Costa Rica, Panama, Pérou, Venezuela...
  • Asie : Chine, Corée du Sud, Hong-Kong, Inde, Japon, Malaisie, Singapour, Thaïlande...
  • Afrique / Proche-Orient : Afrique du Sud, Israël, Jordanie.
  • Océanie : Australie, Nouvelle-Zélande...
Toutes ces nouvelles destinations sont incluses automatiquement dès aujourd'hui dans les forfaits mobiles Free (19,99€ /mois ou 15,99€ /mois pour les abonnés Freebox) et forfait 2€ (ou 0€ /mois pour les abonnés Freebox ; dans la limite des 2 heures d'appels par mois pour le forfait 2€) des abonnés actuels comme des nouveaux abonnés.

Free Mobile : 100 destinations incluses


Le réseau ADSL de Free semble affecté par un grave dysfonctionnement.

De nombreux freenautes de toute la France témoignent de pertes de connexion depuis le milieu du mois d'août, sans explication ni amélioration jusqu'à présent.

De nombreux abonnés à Free témoignent depuis la mi août du même problème avec leur connexion ADSL : toutes les quelques minutes, leur connexion à Internet coupe quelques secondes puis se rétablit automatiquement.


Freebox Server


Des freeze problématiques pour le jeu ou la VoIP

Des microcoupures affectent directement quelques usages requérant une connexion continue, tels que le jeu vidéo multijoueur, la radio ou la télévision par Internet ou, plus courant, la voix sur IP (Skype par exemple). Elles peuvent également faire échouer des échanges de fichiers.

De telles coupures en revanche n'inquiètent pas les utilisateurs qui utilisent essentiellement leur connexion pour naviguer sur Internet : il n'est pas rare qu'une page mette quelques secondes à se charger, le plus souvent à cause d'une surcharge temporaire sans gravité. Mais de nombreux abonnés sont peut-être concernés sans s'en rendre compte.

Pour le vérifier il suffit de lancer l'Invite de commandes (Windows) ou le Terminal (OS X) puis de saisir ping -t clubic.com (Windows) ou ping clubic.com et de valider. Si des paquets sont perdus de manière régulière, vous êtes probablement concerné.


Ping Clubic


Un effet secondaire du déploiement du VDSL2 ?

Ces microcoupures interviennent depuis deux semaines, si l'on en croit les témoignages, mais Free n'a toujours pas communiqué officiellement sur le sujet.

Pourtant il ne s'agit pas de quelques cas isolés. Des dizaines de sujets convergents ont été ouverts sur des forums spécialisés comme celui de l'Aduf (Association des utilisateurs de Free), de Free-reseau ou d'Univers Freebox. Le service client se contente d'ouvrir des dossiers.

Faute d'explication, certains freenautes ont poussé le diagnostic : lorsqu'ils constatent des pertes de paquets vers Internet, la connexion avec leur NRA est maintenue. Tout porte donc à croire que les box et la boucle locale (les lignes téléphoniques) sont hors de cause et que le problème se trouve plus loin, sur l'infrastructure du FAI. Les problèmes semblent se concentrer autour de Lyon, de Lille et de Bordeaux, mais on en recense dans toute la France.

La seule hypothèse qu'on puisse formuler à ce jour c'est que le dysfonctionnement soit lié au déploiement de nouveaux équipements pour le VDSL2. Selon le site Free-reseau relayé par Univers Freebox, de nombreux NRA ont effectivement été tour à tour injoignables quelques dizaines de minutes, ce qui présage d'interventions volontaires, quelques jours avant que les premiers témoignages ne fleurissent.

Seul Free peut donc en dire plus. Nous l'avons contacté ce matin, nous attendons encore un retour.

Dix-huit mois seulement après son lancement, Free Mobile a encore gagné 1,5 million de clients en six mois, atteignant 10,3 % de part de marché.

Après avoir gagné haut la main le sprint du lancement, Free Mobile s'impose désormais dans le marathon et montre qu'il est bien là pour durer. Loin de s'essouffler après son arrivée tonitruante, l'opérateur poursuit son ascension et s'affirme comme un modèle unique de croissance en Europe.
Sur les six premiers mois de l'année, Free a encore gagné plus de 1,5 million de clients dans le mobile pour atteindre un total de 6,8 millions d'abonnés soit 10,3 % de part de marché, dix-huit mois seulement après son lancement. Cela, tout en enregistrant aussi un excellent semestre sur ses activités fixes: avec 154.000 nouveaux clients gagnés sur le semestre, il affiche désormais un parc de 5,5 millions d'abonnés Internet haut débit. Et les perspectives de croissance restent fortes puisque le groupe vise 25 % de part de marché mobile à terme.
Alors que les Cassandre affirmaient qu'il ne gagnerait jamais d'argent avec ses forfaits à 2 euros (pour deux heures d'appels et SMS illimités), l'opérateur se paie même le luxe d'améliorer sa rentabilité: l'excédent brut d'exploitation (Ebitda) du groupe est en hausse de 40 % à 586 millions d'euros et le résultat net groupe bondit de 78 % à 141,8 millions d'euros. À peine lancée, l'activité mobile est déjà rentable. Les analystes ont été surpris par la rentabilité de Free Mobile nettement supérieure aux attentes: le mobile a contribué à hauteur de 54 millions d'euros à l'Ebitda du groupe (contre une perte de 44 millions d'euros il y a un an), alors que le consensus visait 13,4 millions d'euros. C'est que Free Mobile utilise depuis le début de l'année des fréquences 900 Mhz plus efficaces et étend peu à peu son réseau propre, ce qui le rend moins dépendant d'Orange. Il a indiqué couvrir désormais «plus de 50 % de la population française» avec son réseau mobile. «Nous avons validé la pertinence de notre modèle, avec pour la première fois une contribution positive du mobile», a souligné Thomas Reynaud, directeur financier d'Iliad.
Les investissements sur le semestre sont en léger repli à 450 millions, contre 476 millions d'euros l'an dernier. «Il y a eu un peu moins d'investissement sur l'ADSL, un peu plus sur le mobile. Mais on est clairement en phase d'investissement, le montant sera plus important au deuxième semestre» a indiqué Maxime Lombardini, directeur général d'Iliad. Et Free ne se sent nullement «concerné» par l'annonce, cet été, d'un accord de mutualisation entre SFR et Bouygues Telecom, qui devrait leur permettre de réduire leurs coûts. «Nous veillerons à ce que ces accords de mutualisation ne soient pas verrouillés et qu'ils n'excluent aucun opérateur», a souligné Maxime Lombardini, alors que l'Autorité de la concurrence et l'Arcep doivent encore donner leur feu vert.

Free Mobile ne s'inquiète pas non plus de la multiplication des annonces sur la «4G», où Orange, SFR et Bouygues Telecom essaient de le prendre de vitesse. «40 % des Français sont encore en 2G, 10 ans après le lancement de la 3G! Donc la 4G s'imposera, et nous nous y préparons, mais cela mettra du temps. En tout cas, le combat de Noël ne sera pas le combat sur la 4G», a déclaré Maxime Lombardini, sans dévoiler sa botte secrète. En avril dernier, Xavier Niel, le patron de Free, avait indiqué qu'il préparait une «surprise». «Pour l'instant, on va laisser les camarades faire leurs annonces», avait-il déclaré sur Europe 1, en promettant «quelque chose de nouveau». Pour l'heure, le groupe a déclaré plus de 1000 sites qui pourraient émettre prochainement en 4G, dans la bande de fréquences 2600 Mhz. Pour la 4G, Free s'est aussi dit intéressé par le rachat de fréquences 1800 Mhz qui vont être libérées par Bouygues Telecom et espère récupérer un lot de fréquence sur la bande 700 MHz dont les enchères seraient prévues pour fin 2014.
Le groupe, qui prévoit de se lancer dans les téléphones subventionnés d'ici à la fin de l'année afin d'élargir son marché adressable, n'a plus donné de précisions. Il s'est refusé à tirer des conclusions de l'opération test réalisée en juin sur le site venteprivée, où il avait commercialisé durant deux jours un forfait 6 Go avec mobile inclus pour 39,99 euros par mois.
Certains pensaient que Free avait mangé son pain blanc. Ces bons résultats semestriels, avec une rentabilité améliorée, montrent que ce n'est pas le cas. À la Bourse de Paris, le cours d'Iliad maison mère de Free gagnait en début d'après-midi 2,78 % à 186,55 euros, dans un marché en hausse de près de 2%.