samedi 28 septembre 2013

HIGH TECH

Bitstrips : le nouveau phénomène sur Facebook

Si vous parcourez régulièrement Facebook et les profils de vos amis, vous n'avez sans doute pas pu échapper à Bitstrip, cette application qui permet de facilement représenter des scènes personnalisées sous la forme de cadres de bande dessinée.
Des Google Galss pour les chiens ?

Des harnais informatisés canins ont été mis au point par Google et des chercheurs américains pour que des chiens puissent envoyer des informations à leurs maîtres handicapés ou lors d’enquêtes policières.

 
Des chercheurs de l’université technologique de Georgie ont créé un « ordinateur portable canin » muni d’un harnais qui pourrait permettre aux chiens d’envoyer en temps réel des informations à leur maître. Cet appareil utilise différentes capacités sensorielles du chien, comme le son et la vue.
Ce système entend permettre au chien porteur du harnais informatisé d’envoyer un signal à son maître par le biais d’une oreillette. Le signal est déclenché par le chien avec sa gueule grâce à un capteur situé sur une veste ou sur son collier. Le système pourrait aussi, à l’avenir, permettre de transmettre de la vidéo, via des Google Glass canines qui retransmettraient les images captées par le chien.
 
Un projet nommé Fido
Ce projet nommé FIDO est le fruit d’une collaboration de Google Glass et de l’université de Georgie, aux Etats-Unis. Il pourrait avoir des applications en matière de sécurité, par exemple dans des opérations de recherche de bombes ou de drogue, explique le Daily Mail. Le système pourrait aussi être utilisé par les personnes handicapées.
Le professeur Melody Jackson, qui a travaillé sur le projet mais qui a aussi été dresseuse de chiens pendant 18 ans, détaille le potentiel du système. Il pourra par exemple aider les personnes handicapées à circuler plus efficacement, permettra aux « chiens policiers » d’indiquer à leur maître à distance le type des explosifs retrouvés. FIDO permettrait également aux chiens sauveteurs d’alerter leur maître lorsqu’ils détectent une personne blessée.
Les messages transmis par le chien permettront aussi à l’homme de savoir quand l’animal a faim ou quand il veut sortir, précise la scientifique.


La e-cigarette

La revue a testé une dizaine de modèles et a décelé des "molécules cancérogènes en quantité significative" dans les vapeurs de cigarettes électroniques.
Les cigarettes électroniques "ne sont pas aussi inoffensives" que le disent leurs fabricants et "peuvent émettre des composés potentiellement cancérogènes", assure la revue 60 millions de consommateurs de septembre qui a testé une dizaine de modèles, jetables ou rechargeables.
"Les cigarettes électroniques sont loin d'être les gadgets inoffensifs qu'on nous présente. Ce n'est pas une raison pour les interdire. C'est une raison pour mieux les contrôler", écrit Thomas Laurenceau, rédacteur en chef du magazine de l'Institut national de la consommation (INC). Constatant un étiquetage non conforme au contenu de certains produits, l'INC a alerté les autorités, précise-t-il.
Il dénonce aussi l'absence de bouchon de sécurité sur certaines recharges alors que la nicotine est particulièrement toxique pour les petits. Ingérées, les doses élevées de certains produits de l'étude peuvent tuer un enfant, souligne Thomas Laurenceau.

Des quantités de produits toxiques équivalentes

La revue affirme avoir décelé, grâce à une méthode inédite, des "molécules cancérogènes en quantité significative" dans les vapeurs d'e-cigarettes qui, selon elle, n'avaient jamais été mis en évidence jusque là. "Ainsi dans 3 cas sur dix, pour des produits avec ou sans nicotine, les teneurs en formaldéhyde (couramment dénommé formol) relevées flirtent avec celles observées dans certaines cigarettes conventionnelles."
Également décelée, l'acroléine, une molécule très toxique, émise en quantité très significatives par l'E-Roll, et "à des teneurs qui dépassent même parfois celles que l'on peut mesurer dans la fumée de certaines cigarettes". Ceci vraisemblablement en raison d'un dispositif qui chauffe trop vite. Quant à l'acétaldéhyde, classé cancérogène possible, les teneurs parfois loin d'être négligeables relevées restent très inférieures à celles observées avec les cigarettes de tabac. Des traces de métaux "potentiellement toxiques" ont été détectées dans Cigartex qui libère autant de nickel et de chrome qu'une vraie cigarette et dans la Cigway jetable qui libère plus d'antimoine.

Un million d'adeptes

Le magazine relève aussi que la dose de nicotine des recharges liquides ne correspond pas toujours à ce qui est mentionné, avec des teneurs inférieures dans tous les cas. Autre défaut d'étiquetage : des produits annoncés "sans" propylène glycol qui en contienne ou des fabricants qui "oublient" de mentionner sa présence.
"Le code de la consommation pourrait encadrer la véracité de l'étiquetage et imposer un bouchon de sécurité", relève Thomas Laurenceau. Mais pour le magazine, qui appellent les autorités de santé à réagir, "désormais, il faudra prendre en compte les risques" liés à l'utilisation de l'e-cigarette, qui aurait plus d'un million d'adeptes en France, soucieux de fumer moins voire de s'arrêter.
Le tabac est responsable de 73.000 morts par an en France.


Candy Crush: qu'est-ce qui nous y rend accro ?

Parce que c'est simple et addictif, des jeux comme Angry Birds, Farmville ou Candy Crush séduisent de plus en plus de personnes. Accessibles depuis Facebook et sur smarphone, il est parfois difficile d'arrêter d'y jouer. BFMTV.com vous dit pourquoi.

Vous êtes accro à Candy Crush? Vous n'êtes pas seul. Chaque mois, 44 millions de personnes dans le monde jouent à ce casse brique sur Facebook. Ce jeu qui a pour seule mission de rapprocher des bonbons fluos pour gagner des points et passer au niveau supérieur rencontre un succès fou. Disponible sur téléphone, le jeu truste également les premières places des App Stores Android et Apple.
Alors, qu'est-ce qui nous rend accro à Candy Crush, Angry Birds, Ruzzle, Farmville, Paf le chien ou Draw Something? Comment ces petits jeux pour téléphones et réseaux sociaux ont réussi à nous séduire? Quelles sont les recettes des développeurs? BFMTV.com vous dit pourquoi vous y être accro et les risques qu'entraîne cette addiction.
Jeux simples pour petite compétition entre amis 
Lancer des oiseaux dans Angry Birds, envoyer Paf le chien le plus loin possible ou aligner des bonbons dans Candy Crush, ces différent jeux ont la même recette: être marrants et simples. Autre point commun: ils sont basés sur un réseau social.
Dans Candy Crush, vos amis peuvent vous aider à aller plus vite mais aussi à voir à quel niveau vous êtes: "Il y a un esprit de rivalité, de concurrence lié à Facebook où l'on veut être au même niveau que ses amis", constate Michael Stora, psychologue et spécialiste du monde numérique. "Il faut surveiller les jeux dits gratuits car, à un moment où à un autre, on va vous proposer de payer", prévient Marc Valleur, psychiatre et addictologue. C'est comme cela que l'on se retrouve à payer pour l'agrandissement de sa ferme ou développer le coup d'aile de son oiseau.
 La cible privilégiée: la ménagère
 "Zynga [le développeur de Farmville et Mafia Wars, ndlr] a réussi a capter des gens seuls chez eux qui ne veulent pas jouer à des jeux compliqués. Il n'y a même pas de cédéroms à installer comme pour les Sims", analyse Daniel Ichbiah, auteur de La saga des jeux vidéo.
"Farmville est né en 2009 et, en moins d'un an, il a eu 63 millions d'abonnés. Comme pour la console Wii (Nintendo), ils ont touché un autre public: les ménagères", argumente-t-il. Et si Ruzzle, 94 secondes ou le Sudoko sur téléphone, s'inscrivaient dans la lignée de la belotte ou la réussite sur ordinateur?
 Le sentiment de récompense
 Ces jeux permettent aussi de se heurter au hasard, de se dire "et pourquoi, je n'aurais pas de la chance?". Ces jeux, avec leur légèreté et les petites victoires font du bien. "Les gens se disent: 'J'ai passé une sale journée mais j'ai réussi à passer au niveau 71 dans Candy Crush'", remarque Michael Stora. Pour ce psychologue spécialisé, "l'individu qui a peu de récompense dans la vraie vie reçoit ici une valorisation".
Concrètement, une combinaison astucieuse de bonbons dans Candy Crush vous gratifie d'un message de félicitations. C'est un bruit dans Ruzzle et des messages annonçant un nouveau record dans la plupart de ces jeux. Des petits plaisirs insérés dans une mécanique bien rodée, qui vous tiennent en haleine. Le spécialiste des jeux vidéo Daniel Ichbiah acquiesce: "Lorsque l'on a une récompense, elle est vite dépassée par une nouvelle mission, un nouveau défi dans le jeu."
 La sensation de sociabilisation
 Sur Ruzzle comme Draw Something, les joueurs peuvent converser, en parallèle des parties. Ces jeux deviennent alors des plateformes d'échange. "Candy Crush est beaucoup moins envahissant que World of Warcraft", modère le psychiatre Marc Valleur. Mais pour lui, "le vrai problème est que ces jeux peuvent servir d'illusion de sociabilisation sans réelle profondeur. Cela reste très superficiel."
"Il y a des risques de désociabilisation avec les autres parce que l'on prend plus de plaisir à jouer seul qu'à échanger réellement avec les autres", avertit Marc Schwob, psychiatre et chronobiologiste.
 Prendre le temps de ne rien faire
 "Le jeu en soi n'est pas une mauvaise chose mais il faut de l'autodiscipline. Ce qui m'inquiète, c'est la monomanie qui donne l'impression d'un paradis artificiel et le côté addictif où c'est le jeu qui contrôle l'utilisateur", analyse Daniel Ichbiah, spécialiste des jeux vidéo. Bien que les parties soient courtes, ces jeux restent très chronophages.
Difficile pourtant de résister. Avant de se coucher, dans le bus, aux toilettes, à la caisse du supermarché ou dans la salle d'attente du médecin, la tentation est forte et se loge dans la poche. Mais le chronobiologiste Marc Schwob prévient: "On a besoin de repos, de moments où l'on ne fait rien."



Google s'offre un Doodle pour ses 15 ans

Le géant du web est un adolescent facétieux. Il vous offre un jeu pour célébrer son anniversaire.

Voilà un petit détail qui va faire baisser la productivité dans les bureaux ce vendredi matin... Qui ne tentera pas de taper dans la piñata virtuelle du Doodle du jour?

Google invite les internautes à sa fête d'anniversaire. Le moteur de recherche a 15 ans et s'offre un mini-jeu pour l'occasion. Avec la seule barre espace, il faut donner des coups de bâton dans la piñata pour en faire sortir les bonbons aux couleurs du logo Google. Simple... mais chronophage pour qui se lancerait dans un challenge avec des collègues!

Nouvelles fonctionnalités pour ses 15 ans

Voilà pour le côté fun. Côté business, le géant américain de l'internet Google a célébré ses 15 ans jeudi en annonçant des améliorations de son moteur de recherche, comme la capacité de répondre à des questions plus complexes et un outil de comparaison. "Combien y a-t-il de graisses saturées dans le beurre comparé à l'huile d'olive? Maintenant on peut simplement dire à Google: 'compare le beurre et l'huile d'olive'", a-t-il donné comme exemple Amit Singhal, l'un des responsables de Google Search, sur l'un des blogs dédiés au groupe.

Ses nouvelles fonctionnalités reposeraient sur une nouvelle version de l'algorithme -baptisé "hummingbird" (colibri)- dont la formule est jalousement conservée par Google, explique Danny Sullivan, du blog technologique Search Engine Land, ces mises à jour reposent sur une nouvelle version de l'algorithme à la base du moteur de recherche, jalousement protégé par Google.

Coup de pinceau également annoncé pour une apparence "plus propre et plus simple, optimisée pour (l'écran) tactile".

Pour l'image, Google a emmené des journalistes visiter le garage de Menlo Park, en Californie (ouest), où Larry Page, toujours directeur général du groupe, et Sergey Brin avaient commencé à travailler sur Google en 1998. Une page spéciale a aussi été créée sur le réseau social du groupe, Google+, avec un album photo montrant des vues de la page de recherche originale.

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